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Le désinfectant pour les mains n’empêche pas les enfants d’être malades

Les distributeurs de désinfectant à base d’alcool dans les salles de classe ne font pas en sorte que les élèves manquent moins de jours d’école ou sont moins atteints de maladies respiratoires ou gastro-intestinales, remarque Patricia Priest de l’Université d’Otago.

Pour en arriver à cette conclusion, des distributeurs ont été installés dans les classes de certains jeunes au primaire âgés de 5 à 11 ans et provenant de 68 écoles en Nouvelle-Zélande.

Parmi eux, un groupe d’enfants a reçu une formation d’hygiène de 30 minutes et des éducateurs leur ont montré à utiliser le désinfectant chaque fois qu’ils éternuaient, toussaient ou entraient et sortaient de la classe après leurs pauses, explique Science World Report.

Selon un sondage effectué auprès des infirmiers des écoles que fréquentaient les 2443 enfants participant à l’étude, il n’y a pas eu de différence sur le taux d’absentéisme pour cause de maladies par rapport aux autres élèves.

Dans la revue PLoS Medicine, la scientifique Priest conclut donc que ces dispositifs sont inutiles en classes et ne suffisent pas pour réduire la propagation des maladies infectieuses dans les pays industrialisés. 

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Faut-il laisser bébé manger avec ses doigts?

Selon une étude britannique de l’Université de Nottingham, publiée récemment dans le British Medical Journal, un bébé qui mange avec ses doigts aurait une alimentation plus saine à l’âge adulte.

Parmi les 155 enfants examinés, âgés de 20 mois à six ans et demi, 92 bébés ont été sevrés grâce à la méthode nommée Baby led weaning (bébé se sèvre seul), qui consiste à laisser l’enfant manger seul de petits morceaux d’aliments solides à texture fondante. Les 63 autres ont été nourris avec des aliments réduits en purée, donnés à la petite cuillère.

Il semblerait que les enfants qui découvraient la nourriture avec leurs petits doigts étaient davantage attirés par les glucides, comme le pain ou les pâtes, alors que ceux sevrés à la petite cuillère préféraient les produits sucrés.

Ce constat permet d’établir une relation avec le surplus de poids. En effet, l’étude a démontré que 8 des bébés nourris à la cuillère ont fait de l’embonpoint, contre un seulement parmi ceux qui mangeaient avec les doigts.

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The Body Shop prend soin de nos mains

La marque de cosmétiques The Body Shop présente sa toute nouvelle gamme de soins pour les mains qui améliorera tant la peau que les ongles.

La marque tente de répondre à tous les besoins de nos mains en offrant plusieurs gammes différentes, une à la rose sauvage, une au chanvre et une à l’amande.
 
La gamme rose sauvage s’adresse aux mains à la peau mature, promettant de leur redonner un aspect de jeunesse. Les produits sont composés d’extraits de nénuphar, et aident à uniformiser l’apparence du teint, prévenir les taches brunes et offrir une sensation d’hydratation et de protection sur les mains.
 
La gamme au chanvre s’adresse aux peaux très sèches qui ont été exposées à des conditions extrêmes. Les produits permettent donc de rétablir l’équilibre d’hydratation naturel de nos mains qui se sont desséchées au fil du temps.
 
Finalement, la gamme amande prend soin de nos ongles et de tous les types de peau. Elle renforce donc les ongles fragiles et cassants, et adoucit la peau des mains.
 
Les nouvelles gammes de produits pour les mains The Body Shop sont offertes dans les boutiques de la marque.
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Danger avec les désinfectants pour les mains

Beaucoup de gens croient à tort que les désinfectants pour les mains remplacent efficacement le lavage avec de l’eau et du savon.

Mais selon le MedicalNewsToday, ces désinfectants augmentent plutôt le risque d’infection virale qui cause une inflammation du système digestif.

Bien que les désinfectants pour les mains soient plus pratiques, ils ne sont jamais aussi efficaces que de l’eau et du savon. Ils ne devraient être utilisés que dans les cas « d’urgence ».

De plus, leur usage irrationnel, de même que l’usage excessif des antibiotiques, nous rendent moins résistants aux germes.

Les désinfectants pour les mains augmentent les risques d‘infection de type gastro-entérites qui sont facilement transmissibles. Elles causent des diarrhées, nausées et douleurs abdominales et ont été observées en plus grand nombre dans les centres où on utilisait surtout les désinfectants à main plutôt que l’eau et le savon.

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L’hygiène des mains à l’école

Se laver les mains demeure une excellente prévention contre la propagation des maladies. On lit dans l’American Journal of Infection Control qu’une meilleure connaissance de cette forme d’hygiène a un impact majeur sur la transmission des infections à l’école primaire.

Des programmes scolaires apprenant aux écoliers comment bien laver leurs mains en viendraient même à faire baisser le taux d’absentéisme. Cela a été démontré dans plus d’une étude.

Le taux d’absentéisme peut donc chuter de 66 % à la suite de l’implantation d’un tel programme, et le nombre d’enfants ne manquant pas du tout l’école durant l’année grimperait jusqu’à 20 %.

On explique finalement que les effets positifs du lavage des mains chez les enfants d’âge scolaire sont aussi importants que ceux observés chez des travailleurs du milieu de la santé, entre autres.

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Les petits propagateurs de la grippe

Le nez qui coule, les mains souvent sales qui touchent à tout : il est facile de pointer les tout-petits du doigt lorsqu’on cherche les coupables d’une épidémie de grippe.

Or, une étude parue dans l’American Journal of Epidemiology fait porter le chapeau à des groupes d’âge plus avancés. Il semble que les adolescents et les jeunes adultes sont les plus grands responsables de la propagation de ce virus saisonnier.

Selon des données de l’Agence de santé publique du Canada, les taux de contamination chez les Canadiens de 10 à 19 ans et de 20 à 29 ans augmentent avant que la grippe atteigne les adultes d’autres groupes d’âge et les jeunes enfants.

La prévention au sein de ces deux groupes d’âge serait donc des plus efficaces pour contrer les épidémies, beaucoup plus que de viser les petites mains sales et le nez coulant des bébés.

Ces observations proviennent de la compilation de résultats positifs de tests de laboratoire sur l’influenza. Par exemple, lors de l’épidémie de la H1N1 en 2009, les cas ont grimpé chez les préadolescents et les adolescents quelques jours avant que les autres groupes soient atteints à leur tour.

La raison en serait que les enfants d’âge scolaire et les jeunes adultes sont tout simplement plus en contact avec d’autres personnes que les bébés.

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Se désinfecter les mains protègerait peu des infections

L’équipe du Dr Ronald Turner de l’Université de Virginie a présenté les résultats de ses recherches à la 50e Interscience Conference on Antimicrobial Agents and Chemotherapy.

Ils affirment que se désinfecter les mains, avec les produits à base d’alcool qui étaient recommandés durant la pandémie de la grippe A (H1N1), ne protégeait pas de la maladie. En fait, ces désinfectants ne sont pas si efficaces contre la propagation du rhume et de la grippe.

Durant la pandémie, on a demandé à un groupe de 100 personnes de se désinfecter les mains toutes les trois heures pendant dix semaines. Un autre groupe ne se désinfectait pas les mains.  

Dans le premier groupe, 42 personnes ont été infectées par les virus du rhume et de la grippe, dont 12 ont eu la H1N1. Dans le groupe témoin, il y a eu 51 infections, dont 15 à la H1N1. Une différence qui n’est pas assez significative pour parler de protection contre les virus.

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Des mains propres gardent en santé et améliorent la productivité

Des chercheurs allemands ont évalué 129 employés selon leur taux d’absentéisme. Après quelques tests, ils ont constaté que d’avoir les mains propres éloignait les symptômes du rhume, de la fièvre et de la toux.
 
Les employés qui gardaient leurs mains propres, notamment avec les solutions hydro-alcooliques, restaient en santé et voyaient leur productivité au travail être améliorée, mentionne la revue BMC Infectious Diseases.
 
Aux États-Unis, l’Environmental Working Group a dressé une liste de produits hydro-alcooliques fiables. Ils ont créé une base de données nommée Skin Deep relatant leurs risques sur la santé comme leur incidence sur des cancers, les allergies, leur toxicité, etc. Cette liste peut être consultée en ligne.
 
Parmi les produits les mieux cotés, on retrouve le Purple Prairie Botanicals Hand Sanitizer.
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Un nombre record de Canadiens se lavent les mains

Un sondage, réalisé par Harris/Decima pour la mousse nettoyante antibactérienne Dial Complete (MD), révèle qu’un nombre record de Canadiens se lavent les mains afin de se protéger contre la grippe.

Face à une éventuelle épidémie de grippe A (H1N1), il est rassurant de voir que les gens ont adopté de saines habitudes, mentionne la firme de sondage. 89 % des Canadiens se lavent les mains et les femmes sont plus nombreuses (92 %) à adopter ce geste que les hommes (85 %).

Le sondage révèle également que les Québécois sont moins inquiets face à la menace de la grippe A (H1N1). 3 Québécois sur 10 se disent inquiets contre 6 personnes sur 10 dans les Prairies.

De plus, s’il y avait une épidémie, les Albertains mentionnent qu’ils demeureraient à la maison et ne fréquenteraient plus leurs amis à 49 %, leur restaurant préféré à 59 % et ne se présenteraient pas au travail à 47 %.

Toutefois, la maladie ne semble pas vouloir freiner la joie de vivre des Québécois, qui eux n’adopteraient pas des précautions aussi draconiennes. Ils porteraient un masque à 52 %, mais ceux qui ne fréquenteraient plus leur restaurant préféré ne sont qu’à 37 % ici.

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Le gel pour les mains : inefficace

Une étude menée dans un hôpital du Nebraska a démontré que le recours des médecins au gel à base d’alcool pour nettoyer leurs mains ne réduirait pas le nombre d’infections transmises aux patients, rapporte La Presse.

Le nettoyage au gel ne serait pas suffisant. Les germes demeurant sur les bagues et dans les ongles trop longs, difficiles à nettoyer, une manipulation maladroite des cathéters et une mauvaise désinfection des locaux de traitement encourageraient la propagation d’infections.

Les instances médicales font face à un problème important. Selon les Centers for Disease Control and Prevention américains, la transmission de micro-organismes contagieux serait responsable de 1,7 million d’infections et de 99 000 décès par année.