Top Santé rappelle cependant d’éviter les punitions trop longues lorsque l’enfant est petit et de demeurer dans la simplicité (assis sur une chaise sans bouger). Au contraire, plus l’enfant grandit, plus il doit être privé pour comprendre.
Jamais 2 sans 3
Ne répétez jamais plus de deux fois avant de sévir, au risque de perdre votre crédibilité. La 3e fois, c’est la punition illico.
Comprendre la raison
Donner une punition sans avoir au préalable informé l’enfant de ce qui se passerait « si » laissera le jeune dans la perplexité. Punir sans expliquer n’enseigne rien.
Vous n’êtes pas le gros méchant loup
Selon la psychologue Etty Buzyn, il est important de parler au nom des deux parents pour que l’enfant comprenne qu’il y a consensus et qu’il a dépassé les limites de l’un et de l’autre.
S’il est fâché, c’est non seulement normal, mais nécessaire pour qu’il retienne la leçon. Il apprendra aussi à gérer ses émotions.
Évidemment, l’humiliation et la gifle sont à proscrire, mais dans un excès, sachez présenter vos excuses.