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Un homme a vécu secrètement chez Jennifer Lopez

Le 8 août dernier, des agents de sécurité ont eu toute une surprise au domicile de Jennifer Lopez dans le Long Island. John M. Dubis, 49 ans, y vivait clandestinement depuis une semaine. Il avait même porté l’audace jusqu’à publier des photos de lui sur place sur sa page Facebook.

L’homme troublé a été immédiatement arrêté, et sa caution a été fixée à 100 000 $. Comme il ne possède pas cet argent, il attend donc, depuis, le jugement en prison.

Heureusement, lors de cet incident, Lopez était absente. Elle a acquis cette maison de près de 10 millions de dollars en mai dernier.

L’homme est accusé de cambriolage, d’outrage et d’harcèlement criminel. Il a plaidé non coupable. Il devra subir un examen psychiatrique.

Ce n’est pas la première fois que ce fan cause des ennuis à Lopez, puisque plus tôt cette année elle avait obtenu une ordonnance restrictive contre lui, lui interdisant tout contact avec elle ou sa mère.

Lopez n’est pas la seule star chez qui un fan dérangé s’est installé. En septembre 2011, Pamela Anderson, qui elle était présente, a trouvé une fan dérangée qui s’était installée en secret dans sa chambre d’ami depuis quelques jours.

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Bagages livrés à domicile : la nouvelle tendance pour voyager léger

Se rendre à l’aéroport sans ses encombrantes valises puis les retrouver une fois arrivé à destination, c’est possible grâce à des entreprises spécialisées dans le transport d’effets personnels et l’enregistrement déporté des bagages. LibertyBag et Bagages du Monde, notamment, proposent plusieurs offres aux particuliers désireux de voyager léger.

La compagnie américaine JetBlue a innové, cet été, en proposant à ses clients de livrer leurs bagages à leur domicile, et ce, dans un rayon de 64 kilomètres autour de l’aéroport.

En France aussi, les passagers peuvent prétendre à ce type de prestation. Plusieurs compagnies aériennes offrent cette option à leurs passagers, à l’instar de Corsair, Air Caraïbes ou encore Air France.

Et pour cause, elles ont signé des accords, entre autres avec la société LibertyBag, spécialisée dans l’enregistrement déporté des bagages. Explication : c’est chez le particulier que s’effectuent la pesée des sacs et la remise de la carte d’embarquement. Les valises sont récupérées par la société, qui se charge de les emmener à l’aéroport à votre place (50 euros par tranche de 5 sacs).

La prise en charge des bagages

Eric Gueye, directeur général, souligne que les passagers « n’ont plus à se rendre à l’aéroport trois ou quatre heures avant le départ. Ils passent directement au filtre de contrôle de la police. Et encore, nous travaillons à un filtre prioritaire qui leur permettra d’accéder directement à la salle d’embarquement et au duty-free. »

Ce « door-airport » existe aussi en version allégée, c’est-à-dire sans l’enregistrement des bagages à domicile. Cette option est généralement prise par les clients qui souhaitent emprunter les transports en commun une fois débarrassés de leurs sacs. Ils les retrouvent alors à l’aérogare, où ils entament le parcours lambda d’un passager : enregistrement, filtre de contrôle de la police ou douane, et salle d’embarquement.

La livraison à domicile s’effectue en Île-de-France, mais également en province grâce à un partenariat avec la Poste. En effet, les bagages sont acheminés par Chronopost. Enfin, l’option « door to door » (« livraison de porte-à-porte ») est actuellement offerte partout aux Antilles.

LibertyBag étend son champ d’action à de nouvelles compagnies aériennes, dont KLM et Lufthansa. Les accords seront opérationnels dès septembre 2013. À noter que la société finalise aussi un partenariat avec une compagnie américaine dont le nom n’a pas encore été dévoilé. Cette entente permettra à LibertyBag de proposer ses services jusque sur le sol étasunien.

Le cas du fret

Il existe aussi d’autres possibilités, dont l’utilisation du fret. Bagages du Monde, qui travaille aussi avec des compagnies aériennes, est une société spécialisée dans le « transport d’effets personnels ». Thierry Bandiera, responsable juridique au sein de l’entreprise, a déclaré : « Généralement, les compagnies envoient leurs passagers vers ce type de services lorsqu’il y a un surplus de bagages. Ils sont alors dirigés vers nos agences situées dans les aérogares. »

Malgré tout, certains voyageurs (beaucoup d’expatriés, de jeunes en stage à l’étranger pour une longue période, etc.) anticipent et font appel directement à ce genre de société bien avant leur départ. Les valises peuvent ainsi arriver à destination parfois 24 heures, voire 48 heures avant les vacanciers. « Il se peut qu’on livre des skis dans une station en Suisse, par exemple, avant que les clients arrivent. On les récupère seulement une fois qu’ils sont repartis. C’est une manière pour eux de voyager léger », a confié Thierry Bandiera.

Il a de plus précisé que la livraison à domicile en fret demeure possible uniquement à l’intérieur de l’Union européenne. En effet, à l’extérieur, il est demandé aux clients d’avoir une adresse fiscale dans le pays où ils envoient leurs valises.

Bagages du Monde ne s’arrête pas là et étonne avec un service insolite à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle : celui de garde-manteaux au niveau des consignes sécurisées. « Si vous devez vous envoler vers une destination ensoleillée en plein hiver, on peut vous garder votre manteau, que vous retrouverez en rentrant », a souligné Thierry Bandiera.

La livraison des bagages à domicile ne concerne pas que le transport aérien. La SNCF est également sur le marché. En 2012, elle a géré pas moins de 266 000 sacs. D’après une étude réalisée l’été dernier, 97 % des personnes ayant fait appel à ce service le réutiliseraient.

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Échange 3 pièces parisien contre maison en Californie : le troc pour les vacances a la cote

Troquer sa maison normande contre une villa californienne, c’est possible. L’échange d’appartements et de maisons, le temps des vacances, est même une formule en plein essor, sous l’effet de la crise et du développement d’internet. Plus de 150 000 trocs de maisons et appartements sont attendus dans le monde en 2013.

La pratique est née dans les années 50, dans les milieux universitaires aux États-Unis. « Pas étonnant : les Américains sont très mobiles et ont peu de lien affectif avec leur logement », relève Josette Sicsic, spécialiste des comportements touristiques.

Le phénomène a ensuite gagné l’Europe. « Il a été fortement dynamisé avec l’arrivée d’internet à la fin des années 90, qui a permis de diffuser en ligne les annonces. Et ces dernières années, la crise a joué comme accélérateur », note Mme Sicsic.

Le numéro un mondial HomeExchange, né en 1992, revendique 75 000 échanges en 2012 et en prévoit jusqu’à 90 000 en 2013 entre ses 47 000 membres, via une quinzaine de sites dont TrocMaison. HomeLink, né en 1953, a enregistré 35 000 échanges l’an dernier.

Certains sites sont spécialisés, comme LoveHomeSwap, qui donne dans les maisons de prestige. Tous se rémunèrent grâce aux frais d’adhésion. Pas de commissions prélevées sur les trocs puisque ceux-ci sont gratuits.

« Les locataires peuvent aussi échanger. Ce n’est pas une sous-location », précise Alexandra Origet du Cluzeau, directrice de la communication de HomeExchange.

Les champions de cette pratique sont les Américains. Suivent dans l’ordre les Français, les Espagnols, les Canadiens et les Italiens, selon une étude récente de l’Université de Bergame (Italie).

La motivation première est d’éviter une dépense, mais il y en a d’autres, comme la recherche d’une expérience culturelle authentique et conviviale.

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Denise Richards poursuit des entrepreneurs

Denise Richards a déposé une poursuite contre des entrepreneurs qui auraient bâclé les rénovations de sa maison et causé des dommages matériels.

Elle réclame 1 million en dommages et intérêts.

Selon la poursuite obtenue par TMZ, ces entrepreneurs ont bâclé son système d’air conditionné, la laissant vivre dans d’étouffantes chaleurs en raison de l’absence de ventilation dans la maison.

De plus, les câbles électriques et le toit auraient aussi été endommagés. Elle ajoute également que les entrepreneurs ont démoli des pièces de sa maison qu’ils ne devaient pas toucher, simplement pour pouvoir lui demander plus. La facture s’élève à 3 millions de dollars au lieu du 1,6 million de dollars estimé au départ.

Richards vit dans une spacieuse maison avec ses trois enfants, Sam, 9 ans, Lola, 8 ans, et Eloise, 2 ans. Elle a aussi la garde temporaire des jumeaux de son ex, Charlie Sheen, le temps que leur mère, Brooke Mueller, reprenne sa vie en main. Ainsi, on ajoute à la maisonnée Max et Bob, 4 ans.

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Denise Richards poursuit des entrepreneurs

Denise Richards a déposé une poursuite contre des entrepreneurs qui auraient bâclé les rénovations de sa maison et causé des dommages matériels.

Elle réclame 1 million en dommages et intérêts.

Selon la poursuite obtenue par TMZ, ces entrepreneurs ont bâclé son système d’air conditionné, la laissant vivre dans d’étouffantes chaleurs en raison de l’absence de ventilation dans la maison.

De plus, les câbles électriques et le toit auraient aussi été endommagés. Elle ajoute également que les entrepreneurs ont démoli des pièces de sa maison qu’ils ne devaient pas toucher, simplement pour pouvoir lui demander plus. La facture s’élève à 3 millions de dollars au lieu du 1,6 million de dollars estimé au départ.

Richards vit dans une spacieuse maison avec ses trois enfants, Sam, 9 ans, Lola, 8 ans, et Eloise, 2 ans. Elle a aussi la garde temporaire des jumeaux de son ex, Charlie Sheen, le temps que leur mère, Brooke Mueller, reprenne sa vie en main. Ainsi, on ajoute à la maisonnée Max et Bob, 4 ans.

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Un prototype pour élever des larves comestibles chez soi

Tandis que la consommation d’insectes gagne en popularité à l’heure où celle de viande fait débat, Katharina Unger, une designer autrichienne, propose un prototype d’incubateur domestique simple et pratique qui pourrait bien faire mouche.

Unger adopte la mouvance de l’entomophagie et invite à remplacer notre consommation de viande par celle d’insectes, de façon à respecter l’environnement et à nourrir une population mondiale croissante, tout en adoptant une alimentation équilibrée.

Après la sauterelle, la fourmi, le ver ou le scarabée, voici la grande entrée de la mouche, ou plus exactement de la larve. Unger a conçu le « Farm 432 », un prototype d’incubateur domestique pour élever des « mouches soldats noires », une espèce spécifique dont les larves seraient extrêmement nutritives.

À partir d’un gramme d’œufs de mouche, on obtient 2,4 kg de larves comestibles. Un atout non négligeable, sans compter que la larve serait bien plus riche en protéines que la viande de bœuf et bien moins grasse. « Un peu gluant mais appétissant », comme dirait l’autre.

Lors d’une entrevue menée par Science et Avenir, Katherina Unger affirme : « Il faudra encore effectuer des tests plus poussés, mais une mise sur le marché est envisageable dans les prochaines années ».

Pour consulter le site internet de Katharina Unger : www.kunger.at.

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Les sachets de thé bon marché pourraient être néfastes pour vous

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui s’est penchée sur le dossier des sachets de thé, plus particulièrement ceux moins dispendieux, en analysant les sachets de marques maison retrouvés dans les divers supermarchés.

Les conclusions peuvent sembler alarmantes pour les consommateurs, qui croient que chaque sachet en vaut probablement un autre.

Les chercheurs Laura Chan, Aradhana Mehra et Paul Lynch, de l’Université de Derby, ont donc procédé à plusieurs tests et en arrivent à la conclusion que plusieurs sachets de thé bon marché contiennent, notamment, trop de fluor.

Le fluor peut s’avérer essentiel pour la santé des dents et des os, mais une trop grande quantité (soit 4 milligrammes par jour) peut occasionner des douleurs, des problèmes musculaires et des maladies dentaires, ironiquement.

Plusieurs marques ont été montrées du doigt, et les chercheurs tiennent maintenant à ce que les taux de fluor soient toujours inscrits sur chaque emballage.

D’ici là, malheureusement, on suggère de se tourner vers des compagnies productrices de sachets de thé reconnues, malgré le prix parfois plus élevé.

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La maison natale de Victor Hugo ouvrira ses portes le 13 septembre à Besançon

La maison natale de Victor Hugo ouvrira ses portes au cœur de Besançon (Doubs) le 13 septembre prochain, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. Ce lieu historique où l’écrivain a vu le jour le 26 février 1802 offre une tribune pour les combats et les engagements de Victor Hugo, aujourd’hui incarnés par des associations telles que Reporters sans frontières ou Amnistie internationale. 

Véritable lieu de mémoire, la maison de Victor Hugo ne se présentera pas comme un musée classique. Le site mettra certes à la disposition du visiteur des archives et des documents d’époque, mais se placera également comme un espace de réflexion sur les engagements de l’écrivain. 

Les combats de Victor Hugo seront incarnés et actualisés par des associations humanitaires et des organismes tels que Reporters sans frontières, ATD Quart Monde, Unicef et Amnistie internationale. La liberté de la presse, les droits de l’enfant ou encore la liberté des peuples seront mis de l’avant dans une scénographie contemporaine. 

La maison de Victor Hugo est parrainée par Robert Badinter, ardent défenseur de l’abolition de la peine de mort. Ce lieu a également bénéficié de l’appui de l’historien et biographe de l’écrivain Jean-Marc Hovasse. 

(Maison natale de Victor Hugo, 140, Grande Rue, Besançon, ouverte à partir du 13 septembre tous les jours sauf le mardi. Entrée gratuite jusqu’au 31 décembre 2013. Payante à partir du 1er janvier 2014. Site Internet : www.besancon.fr.)

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Le troc de maison, une pratique en toute confiance

Troquer sa maison avec des inconnus pendant les vacances serait une activité à moindre risque. C’est l’opinion de 75 % des membres de HomeExchange.com, selon lesquels « on peut faire confiance à la plupart des gens ».

D’ailleurs, le taux de satisfaction après expérience s’avère important : 93 % des personnes interrogées se déclarent satisfaites, et 81 % ont renouvelé l’opération après le premier échange.

L’étude dévoile par ailleurs le profil majoritaire des utilisateurs du site d’échange de maisons en ligne. Éduqué (62 % ont fait des études supérieures), ouvert sur le monde (98 % déclarent leur intérêt pour l’héritage culturel du pays, 84 % fréquentent les musées et les parcs naturels de leur destination), l’utilisateur type est aussi concerné par le commerce équitable (63 %) et l’alimentation bio (73 %).

Cette étude a été menée par des chercheurs de l’Université de Bergame en Italie auprès des 46 000 membres de HomeExchange.com (trocmaison.com en version française), d’avril à mai 2013, avec un taux de réponse de 16 % (7000 réponses). Les États-Unis, la France, l’Espagne, le Canada et l’Italie sont les pays les plus représentés parmi les membres du site.

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Idée préconçue sur les pères à la maison

Le regard des autres a son importance, même si on dit le contraire. Plus encore lorsqu’il s’agit de faire tomber des stéréotypes. Tim J. Myers, auteur du livre Glad to be Dad (Heureux d’être papa), fait le tour de la question sur SheKnows.

Pour commencer, il a lui-même mis de côté beaucoup de choses pour être un père à la maison pour ses trois enfants. Il a dû faire face aux railleries des autres hommes, même de ses amis, qui ont ouvertement remis sa virilité en question. Quant aux femmes, elles en ont fait un héros, ce qu’il déplore tout autant.

Myers affirme que de faire des tâches ménagères et s’occuper des enfants ne fait pas de lui un héros, puisque les femmes le font naturellement. Pour lui, il s’agit simplement de prendre son rôle de père au sérieux, ce que la majorité des hommes refusent encore de faire, parce qu’intérieurement, ils ont peur d’être pris pour un homme « efféminé ».

Tim Myers a été joueur de football. Il travaille aujourd’hui à temps plein et joue encore au basketball lorsqu’il a le temps. Mais comme son livre l’indique, aimer ses enfants, adorer jouer avec eux, prendre soin d’eux lorsqu’ils sont malades et ramasser derrière eux devrait venir tout aussi naturellement pour un homme que pour une femme. Il suffit de mettre de côté ce gros égo de mâle pour y arriver!