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L’accouchement à domicile devrait-il être encouragé?

« Le choix devrait revenir aux mères », révèle une étude britannique, parue le 19 avril dans le British Medical Journal, qui appuie les conclusions d’une méta-analyse de la Cochrane Review.

Au Royaume-Uni, l’accouchement à domicile en compagnie d’une sage-femme est davantage monnaie courante qu’en France ou au Québec. Bien que le tout soit légal chez les Français, il manque de professionnelles de la naissance à domicile, et peu de femmes semblent vouloir adopter la méthode.

Les données de plus de 65 000 femmes anglaises ont été analysées par l’étude, qui tentait de faire un rapport entre les coûts, la sécurité, les risques (mortalité périnatale, complications chez la mère), les méthodes d’accouchement (sage-femme ou obstétricien) et les lieux (maison, hôpital, maison de naissance).

Il s’est avéré que l’accouchement à domicile (1300 € en moyenne) était environ 6000 € moins cher qu’à l’hôpital (1988 €) et environ 4000 € moins dispendieux que dans une maison de naissance avec une sage-femme (1767 €).

En examinant une foule d’éléments et de relations de cause à effet, les chercheurs ont conclu que pour les femmes qui sont enceintes de leur premier enfant, l’accouchement à la maison demeure l’option la moins coûteuse, mais le risque de complications est plus élevé.

Pour celles qui accouchent de leur deuxième enfant et au-delà et qui ont une grossesse sans complication, l’accouchement à la maison est un excellent choix sur les points de la rentabilité et de la sécurité.

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Le lait maternel passe-t-il le test d’alcool?

Pendant neuf mois, vous vous êtes privée d’alcool, mais allez-vous continuer aussi longtemps parce que vous allaitez?

Certaines réussiront à poursuivre le défi, d’autres ne verront pas de problème à boire un verre entre amis, toutefois elles laisseront passer quelques heures avant de donner leur lait ou le tireront leur lait préalablement.

Dorénavant, il n’y a plus de raisons d’hésiter, de s’inquiéter ou de se priver d’un petit verre de vin, car avec le test américain d’alcool pour le lait maternel Milkscreen, il est possible de savoir en deux minutes à peine si le taux d’alcool est trop élevé dans votre sang pour donner le boire à votre petit.

C’est en y déposant quelques gouttes de votre lait que la languette du test changera ou non de couleur en à peine quelques secondes, et pourra ainsi détecter la présence de 13,1 mg d’alcool ou plus par décilitres de lait.

Si la languette change de couleur, le lait ne peut être bu par votre bébé. Si la couleur reste inchangée, le lait peut être consommé, explique La Presse.

Il est possible de se procurer 8 languettes Milkscreen au coût de 15,49 dollars dans les Pharmaprix. D’ici quelque temps, d’autres détaillants offriront sûrement le test maison.

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Votre maison pourrait vous rendre malade

Votre maison vous rendrait-elle malade? C’est en effet une possibilité, si bien que certains médecins doivent en tenir compte lorsque des allergies et infections sont persistantes.
 
En Europe, certains employés du milieu de la santé se rendent même dans les résidences des patients, à la recherche d’allergènes et pour faire parfois des prélèvements. Ceci permet d’effectuer ensuite un meilleur diagnostic et de mieux conseiller la personne malade.
 
La moisissure, les acariens et les solvants sont des sources de pollution intérieures, de même que certains matériaux de construction et une mauvaise ventilation pourraient être très problématiques pour vous.
 
En sachant mieux ce qui peut vous rendre malade, les médecins sont ainsi en mesure de vous prescrire de meilleurs traitements. De votre côté, vous pourriez aussi effectuer les changements adéquats pour améliorer votre santé.
 
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Obésité infantile: la cuisine maison comporte moins de risques

Un enfant qui mange un repas préparé par sa mère, à la maison, a moins de chance de souffrir d’obésité, expliquent des chercheurs de l’Université de Grenade. 

Les résultats de l’étude, publiée dans la dernière édition de la revue Nutrición Hospitalaria, soulignent le fait que ce repas comporte un meilleur équilibre nutritionnel. 
 
« La mère est la personne de la famille qui connaît le mieux les besoins de ses enfants et a les meilleures connaissances nutritionnelles pour la préparation des repas des enfants », expliquent les chercheurs.
 
L’équipe de recherche a suivi 718 écoliers âgés de 9 à 17 ans dans 13 écoles publiques et privées de la province de Grenade, rapporte Santelog.com.
 
Par ailleurs, l’étude souligne que les mères qui laissent leurs enfants à la cantine ne doivent pas culpabiliser.
 
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Les maisons d’enfance de Lennon et McCartney sauvées

Les fans peuvent se réjouir! Les anciens domiciles de John Lennon et Paul McCartney sont désormais protégés de la démolition par le gouvernement. C’est le ministre britannique du Patrimoine, John Penrose, qui en a fait l’annonce hier (29 février).

C’est d’ailleurs le groupe The National Trust, qui a déjà restauré les deux maisons, qui gère ce patrimoine unique.

L’organisme propose même aux touristes une visite groupée des lieux, dont le départ se fait en autobus du centre-ville.

Lennon a habité de 1945 à 1963 sur l’avenue Menlove, dans un duplex. Quant à McCartney, il a demeuré tout près, sur Forthlin Road, pendant 9 années.

C’est dans ces maisons que les deux artistes ont composé leurs premières chansons. Ils ont d’ailleurs écrit l’un des succès des Beatles, Please Please Me, chez Lennon.

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Le plomb peut contaminer les maisons et la santé de bébé

Plutôt que d’attendre que le bébé naisse et soit prisonnier d’une maison contaminée par le plomb, les spécialistes croient que l’inspection des domiciles susceptibles d’être contaminés par le plomb est favorable et devrait même être incorporée dans les tests prénataux de routine.

Une inspection de ce genre peut être évaluée à 200 $ par maison. L’exposition la plus fréquente au plomb se trouve aujourd’hui dans les résidences construites avant 1950.

Aux États-Unis, le gouvernement fédéral a fixé le niveau de préoccupation pour l’exposition au plomb à 10 µg/dl. Les Centers for Disease Control and Prevention, eux, ont recommandé que cela soit abaissé à 5 µg/dl.

« Il n’y a pas de niveau sécuritaire pour les enfants. L’exposition au plomb, même à faibles niveaux, est fortement associée à une diminution de l’intelligence, à un mauvais rendement scolaire, à un trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention et à un risque accru d’incarcération à l’âge adulte », a déclaré le Dr Daniel Berg des Centres de soins pour la famille à Saint-Louis.

Au moment où un enfant a été exposé à 10 µg/dl de plomb, il y a déjà eu une perte de plus de sept points de QI, ajoute-t-il.

L’étude visait à déterminer si un modèle de prévention primaire pourrait prévenir les intoxications aux enfants à risque avant leur naissance. On a réussi à prouver qu’un enfant avait une concentration de plomb moyenne moins élevée dans le sang si la maison où il vivait avait été examinée et remise en état.

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Les déménagements nuisent à la santé des enfants

Une étude écossaise publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health suggère que plusieurs déménagements, avant l’âge de 18 ans, peuvent créer le blues de la maison.

Cela peut engendrer un impact sur la santé physique, de la détresse psychologique globale et peut augmenter la probabilité qu’un enfant consomme des drogues illicites.

La garde partagée, due aux nombreux divorces au cours des dernières années, n’a d’ailleurs pas aidé la situation.

Pour en arriver à ces conclusions, pendant une vingtaine d’années, 850 jeunes personnes ont été suivies.

Il semblerait que les enfants qui avaient 4 frères et sœurs ou plus avaient plus de chances de garder le même domicile jusqu’à 18 ans. Ceux qui avaient trois frères et sœurs ou moins, ou encore des parents célibataires ou des beaux-parents, déménageaient beaucoup plus souvent.

Le changement d’école fréquent serait l’un des principaux motifs du développement d’une mauvaise santé chez les jeunes. Ceux qui avaient déménagé trois fois ou plus étaient d’ailleurs deux fois plus à risque d’avoir consommé des drogues illicites, et près de trois fois plus susceptibles d’avoir eu des pensées suicidaires que ceux qui étaient restés dans la même maison.

Les spécialistes rappellent que le déménagement n’est pas toujours une expérience positive et que cela peut s’avérer stressant, surtout pour les enfants. Un soutien doit être donné à ces derniers, au cours d’une délocalisation de la famille, afin de s’assurer que d’importants liens sociaux et les relations avec les professionnels de santé ne soient pas brisés.

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Obésité infantile : la malbouffe dans les écoles n’y est pour rien

Bien que le pourcentage d’enfants obèses aux États-Unis ait triplé entre le début des années 70 et la fin des années 2000, une nouvelle étude révèle que le gain de poids n’a aucun lien avec la malbouffe offerte à l’école.

Jennifer Van Hook, professeure en sociologie et démographie à la Pennsylvania State University et auteure de cette étude, s’est dite surprise de ce résultat.

Son étude a suivi un échantillon national représentatif d’élèves de la maternelle à la huitième année. Elle a remarqué que malgré la disponibilité accrue de la malbouffe en milieu scolaire, le pourcentage d’élèves qui étaient en surpoids ou obèses n’a pas augmenté, mais même diminué entre la cinquième et la huitième année, passant de 39,1 % à 35,4 %.

Van Hook explique que les écoles ne représentent qu’une petite partie de l’alimentation des jeunes, et leur horaire chargé fait qu’ils ne peuvent pas manger à tout moment de la journée. Le réel danger se situe beaucoup plus à la maison, selon elle.

La professeure rappelle que pour lutter contre l’obésité, il faut inculquer de bonnes et saines habitudes alimentaires lorsque l’enfant a moins de 5 ans. Si les enfants ont pris de bonnes habitudes, la sorte de nourriture offerte dans les écoles n’influencera aucunement le comportement de ces derniers.

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Un logiciel 3D de Google favorise le bien-être d’enfants autistes

Bien des parents d’enfants autistes vous confirmeront que leur bambin est exclu de son environnement et a peu d’intérêt pour des passe-temps ou pour un domaine d’apprentissage, mais voilà qu’une solution semble avoir été découverte par des chercheurs de l’Université de l’Utah.

Google SketchUp, qui est un logiciel de modélisation 3D, d’animation et de cartographie orienté vers l’architecture, se caractérise par des outils simples (rotation, extrusion, déplacement, etc.). Cela en fait un logiciel de 3D très différent des modeleurs 3D classiques.

Outil principal utilisé pour une nouvelle étude, le logiciel a fait place au renforcement positif des aptitudes, des relations interpersonnelles et de la confiance en soi chez les enfants autistes. Tout cela grâce à la pensée visuo-spatiale, les ordinateurs et autres médias électroniques.

Pendant plus d’un an, plusieurs enfants ont participé à des ateliers de Spectrum projet de Google, une initiative visant à enseigner des compétences professionnelles aux enfants atteints d’autisme. Après quelques semaines, les parents de ces enfants ont remarqué une grosse différence : une grande amélioration du comportement de leur enfant.

L’étude, qui se concentre sur les effets des ateliers sur les élèves participants, ainsi que sur plusieurs générations au sein des familles, a permis de redonner espoir aux parents et grands-parents qui croyaient que c’était peine perdue. Il a permis aux enfants autistes de découvrir quelque chose d’inconnu en eux : une passion, un champ d’intérêt. Cette passion s’est transformée en réel sujet quotidien de conversation à l’école et à la maison, ce qui a favorisé les relations interpersonnelles.

Le programme a été présenté lors de conférences nationales, et une trousse pédagogique gratuite sera développée afin que les enseignants puissent commencer un programme similaire dans leurs propres classes.

L’étude est publiée dans le numéro de décembre du Family & Consumer Sciences Research Journal.

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L’école à la maison, pour tous?

Faire l’école à la maison est une tendance de plus en plus populaire. Mais qu’en est-il des résultats et de possibles répercussions? Des chercheurs de l’Université Concordia (Montréal) et de l’Université Mount Allison (Nouveau-Brunswick) ont comparé ce mode de scolarisation à celui, plus traditionnel, transmis en établissement scolaire.

Le constat est on ne peut plus surprenant, lisons-nous sur RIRE, le réseau d’information pour la réussite éducative. Il semble tout d’abord que les résultats scolaires de l’enfant peuvent être meilleurs, s’il est convenablement encadré par son parent, dans un contexte d’école à la maison.

Toutefois, les chercheurs soulignent l’importance de la socialisation, qui est nécessaire au développement de l’enfant et qui n’est offerte que par l’école traditionnelle.

Les avantages pédagogiques de l’école à la maison sont tout de même mis de l’avant. En fait, le processus d’apprentissage de l’enfant peut y être accéléré, en comparaison à celui d’un élève de l’école habituelle.