Catégories
Uncategorized

L’influence de la garderie sur le langage

Une récente étude de l’Institut de la santé publique de la Norvège a démontré que moins d’enfants parlent tardivement s’ils vont à la garderie.

On peut en lire les détails dans une récente parution d’Early Child Development and Care.

Ayant porté sur 19 919 enfants, cette étude corrélative visait directement le lien entre le développement du langage et la fréquentation d’une garderie.

Si l’on n’a remarqué aucune influence sur l’apparition du langage chez les bébés d’un an, le fait de fréquenter une garderie semble renforcer les six mois suivants pour l’enfant en milieu de garde.

Dans l’ensemble, chez les enfants âgés d’un à trois ans, les compétences langagières seraient mieux développées pour ceux allant dans une garderie avec installations que ceux qui sont en milieu familial ou qui restent à la maison.

Finalement, les enfants de trois ans qui vont à la garderie à temps plein auraient un langage plus développé que ceux s’y rendant à temps partiel.

Catégories
Uncategorized

Les sages-femmes se soulèvent

Nous avons appris récemment que plus de femmes préfèrent encore aujourd’hui accoucher à l’hôpital. Très peu d’entre elles sont suivies par une sage-femme et donnent naissance à leur enfant à la maison.

Or, nous apprenons maintenant que des sages-femmes de l’Angleterre accusent les médecins d’en être la cause, car ceux-ci laissent croire qu’une naissance à la maison est plus risquée.

Selon Mail Online, la professeure Cathy Warwick, la tête dirigeante du Royal College of Midwives (collège des sages-femmes), souligne qu’une femme ne présentant pas de complications peut autant accoucher à la maison qu’à l’hôpital.

Cette année, seulement 2,7 % des femmes ont accouché à la maison, un chiffre que madame Warwick trouve bien décevant.

Pourtant, elle indique les sages-femmes sont compétentes et adéquatement formées pour donner la vie à la maison en toute sécurité.

Soulignons que l’accouchement avec une sage-femme est beaucoup plus commun de ce côté de l’océan, où plusieurs maisons de naissance existent.

Catégories
Uncategorized

Les enfants vivant en immeuble à appartements sont plus exposés à la fumée secondaire

En dehors de tout autre facteur, le milieu de vie semble influer sur l’exposition des enfants à la cigarette.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de trois centres médicaux et universitaires américains, selon Pediatrics.

Ils ont mesuré la teneur en cotinine contenue dans le sang chez 5 000 enfants de 6 à 18 ans. Rappelons que la cotinine est une substance reconnue pour évaluer l’exposition au tabac.

De façon générale, on a remarqué une hausse de 45 % de la cotinine chez les enfants qui vivaient en appartement par rapport à ceux qui vivaient en maison unifamiliale.

Si les enfants vivant en immeuble en appartements sont plus exposés à la cigarette que les autres, il semble que ce soit dû aux conduits d’aération et à la possibilité que la fumée puisse traverser certains murs.

Catégories
Uncategorized

Les enfants susceptibles de mieux réussir si maman est restée un an avec eux

Selon une étude échelonnée sur 50 ans, le congé de maternité aurait une influence sur la réussite et le comportement des enfants en milieu scolaire, rapporte Mail Online

L’impact en serait encore plus grand si la mère a interrompu cette première année de vie pour travailler à temps plein.

Une différence marquée a aussi été notée selon les conditions socio-économiques et si l’enfant grandit dans une famille monoparentale ou non.

Ainsi, les enfants de la classe moyenne et ceux vivant avec leurs deux parents seraient plus affectés par ce retour prématuré au travail que les enfants de la classe ouvrière et ceux de familles monoparentales.

Les enfants issus de la classe supérieure et de la classe moyenne en souffriraient plus, car les avantages que représente une mère au travail ne surpassent pas les effets négatifs qui accompagnent la diminution de l’attention et de la supervision maternelles.

Ces résultats proviennent de l’analyse de 69 études conjointes réalisées depuis les années 60, tous milieux socio-économiques confondus et toutes les mères ayant réintégré le marché du travail avant les trois ans de leurs enfants.

Catégories
Uncategorized

De plus en plus de pères au foyer

Un sondage conduit par une firme d’assurances a été mené auprès d’environ 1 000 Britanniques, nous apprend Mail Online.

De ce nombre, dans 22 % des ménages, c’est la mère qui travaille et pourvoit aux besoins de la famille, tandis que le père s’occupe des enfants et des tâches domestiques.

D’après les résultats, on pourrait maintenant évaluer à 200 000 le nombre de pères britanniques qui demeurent à la maison.

Parmi les personnes sondées, pas moins de 86 % des hommes se sentaient à l’aise à la pensée que leur conjointe soit celle qui détient l’unique salaire de la maisonnée.

De plus, il semble que 44 % d’entre eux seraient très heureux de demeurer à la maison avec les enfants.

Ainsi, le nombre de pères au foyer aurait augmenté d’environ 80 % depuis les 15 dernières années. Parallèlement, le nombre de mères à la maison a diminué.

Par contre, le salaire moyen d’un homme demeure plus élevé que celui d’une femme.

Catégories
Uncategorized

Prendre soi-même sa pression artérielle est plus efficace

The Lancet nous apprend que le traitement de l’hypertension est plus efficace lorsque la personne prend elle-même sa pression artérielle à la maison.
 
480 personnes en Angleterre, âgées de 35 à 85 ans, se sont portées volontaires pour cette expérience.
 
Chacune de ces personnes devait avoir un suivi classique avec une prise de pression chez le médecin ou adhérer au programme d’auto monitorage en mesurant elle-même sa pression avec un tensiomètre. Ces personnes ajustaient leur traitement contre l’hypertension en fonction de leurs résultats.
 
Bien entendu, les résultats ont tout de même été envoyés aux médecins par modem pour faire un suivi serré.
 
Après six mois, on a remarqué que chez ceux mesurant leur pression eux-mêmes, l’hypertension avait chuté de 40 % de plus comparativement à ceux ayant eu le suivi régulier. Après 12 mois, ce taux avait grimpé à 44 %.
Catégories
Uncategorized

Accoucher à la maison est plus risqué pour le bébé

De plus en plus, les femmes choisissent d’accoucher dans le confort de leur foyer, à l’aide d’une sage-femme. Toutefois, sachez que cela est beaucoup plus risqué, rappellent des médecins britanniques.

Selon ce que rapporte la revue The Lancet, les médecins affirment que l’enfant a le droit d’être en bonne santé et de recevoir les meilleurs soins dès sa naissance, et que pour cette raison, ce droit doit prévaloir sur le choix de l’endroit de l’accouchement.

Une nouvelle étude révèle que l’accouchement à domicile est trois fois plus risqué qu’à l’hôpital, pour le bébé.

On mentionne que cette option ne devrait se faire uniquement que dans les cas de grossesses sans aucun risque de complications comme l’hypertension artérielle ou l’hémorragie, par exemple.

Bien qu’il s’agisse d’un choix personnel, on mentionne que toutes les femmes devraient être bien informées des risques encourus d’un accouchement à domicile, et que si elles optent pour cette alternative, une sage-femme doit les accompagner tout au long de leur grossesse.

Catégories
Uncategorized

Accoucher à la maison est plus risqué

De nombreuses femmes décident maintenant d’accoucher à la maison. Mais comme cette pratique est moins médicalisée, il existe plus de risques pour le bébé, selon une étude rapportée par l’American Journal of Obtetrics & Gynaecology.

Après avoir analysé 342 056 naissances à domicile et 207 551 naissances en milieu hospitalier, les chercheurs affirment que le taux de mortalité néonatal est plus élevé chez les bébés nés à la maison.

La principale raison de ce phénomène est les problèmes respiratoires qui peuvent survenir. Dans ce cas, on ne réussit souvent pas à réanimer le bébé.

Par contre, pour les naissances à domicile, on note moins de prématurés et moins de bébés de faible poids.

De plus, pour les mères, il y a de bons côtés. Comme elles ne sont pas soumises à des interventions comme des césariennes, des péridurales ou des épisiotomies, elles sont moins susceptibles de connaître des complications durant leur accouchement, comme une hémorragie ou une infection.

Catégories
Uncategorized

Les maisons modernes sont remplies de dangers pour les bébés

Outre les produits chimiques ou les appareils électroménagers, nos maisons regorgent de dangers pour les bébés. La Société française de pédiatrie et l’Association française de pédiatrie ambulatoire tiennent en ce moment un congrès sur le sujet en Europe.
 
Plusieurs dangers guettent les tout-petits, dont les nouvelles technologies. Les cheminées à l’éthanol notamment, les plateaux de verre qui peuvent se briser si l’enfant s’assoit ou saute dessus, les tapis roulants et autres appareils d’exercices, qui bien souvent brûlent les mains des enfants en raison de la friction, sont autan d’exemples de risques potentiels. Un ordinateur portable provoque régulièrement des blessures à la tête, car les enfants trébuchent dans les fils ou le font tomber sur eux. Les déchiqueteuses peuvent également blesser votre enfant.
 
Tous ces outils pour nous rendre la vie plus facile peuvent être dangereux pour les enfants de moins de cinq ans, mentionne Famili.
 
Il est donc recommandé de ranger ces articles hors de la portée des enfants et de toujours demeurer vigilant. Si vous le pouvez, procurez-vous des appareils avec des dispositifs de sécurité, comme les déchiqueteuses qui s’arrêtent lorsque des doigts sont trop près des lames.
Catégories
Uncategorized

Plus de 13 000 enfants handicapés confinés à la maison

Le Parisien nous apprend que plus de 13 000 enfants en France ne sont pas pris en charge par les institutions et la situation serait similaire dans les autres pays.
 
Souvent, ces enfants sont trop handicapés pour aller à l’école ou encore les établissements spécialisés manquent de places. Ainsi, ces enfants sont confinés à la maison avec des contacts sociaux plus restreints que s’ils côtoyaient des jeunes comme eux.
 
En ce moment, ils sont plus de 13 000 en France qui ne sont pas pris en charge. La tâche est donc encore plus lourde pour les parents qui n’ont aucun répit ou qui doivent trouver une personne qui sera capable de s’occuper de leur enfant alors qu’ils sont au travail.
 
Les autistes et ceux souffrant de plusieurs handicaps sont les plus touchés. Les mesures pour augmenter le nombre de places en institutions représentent un pas en avant, mais selon les spécialistes, ce n’est pas encore assez.
 
Chaque année, on estime que 15 000 enfants naissent avec des handicaps en France.