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Eva Longoria obtient une maîtrise

La vedette de Desperate Housewives, Eva Longoria, a finalement obtenu sa maîtrise en Études chicanos. Il s’agit d’études sur les populations latines et les Américains d’origine mexicaine. Elles parcourent une variété de domaines, y compris, mais sans s’y limiter, l’histoire, la sociologie, les arts et la théorie critique.

Selon TMZ, Longoria, 38 ans, a passé plus de 3 ans à étudier malgré son horaire chargé. Mercredi (22 mai), elle a écrit sur son compte Twitter : « C’est un grand jour aujourd’hui! Je suis très excitée d’obtenir mon diplôme pour ma maîtrise! On n’est jamais trop vieux ou occupé pour parfaire son éducation! »

La thèse de la brunette était titrée Success STEMS From Diversity : The Value of Latinas in STEM Careers et portait sur le succès de la diversité dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques, et la valeur des femmes d’origine latine dans le milieu.

L’actrice n’en est pas à son premier diplôme, alors qu’elle est déjà titulaire d’un baccalauréat en kinésiologie obtenu à l’Université A&M au Texas.

Après la cérémonie, pas de fête sans fin pour la nouvelle diplômée. Elle s’est contentée d’un souper avec ses parents, qui doivent être bien fiers de leur fille.

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Eva Longoria obtient une maîtrise

La vedette de Desperate Housewives, Eva Longoria, a finalement obtenu sa maîtrise en Études chicanos. Il s’agit d’études sur les populations latines et les Américains d’origine mexicaine. Elles parcourent une variété de domaines, y compris, mais sans s’y limiter, l’histoire, la sociologie, les arts et la théorie critique.

Selon TMZ, Longoria, 38 ans, a passé plus de 3 ans à étudier malgré son horaire chargé. Mercredi (22 mai), elle a écrit sur son compte Twitter : « C’est un grand jour aujourd’hui! Je suis très excitée d’obtenir mon diplôme pour ma maîtrise! On n’est jamais trop vieux ou occupé pour parfaire son éducation! »

La thèse de la brunette était titrée Success STEMS From Diversity: The Value of Latinas in STEM Careers et portait sur le succès de la diversité dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques, et la valeur des femmes d’origine latine dans le milieu.

L’actrice n’en est pas à son premier diplôme, alors qu’elle est déjà titulaire d’un baccalauréat en kinésiologie obtenu à l’Université A&M au Texas.

Après la cérémonie, pas de fête sans fin pour la nouvelle diplômée. Elle s’est contentée d’un souper avec ses parents, qui doivent être bien fiers de leur fille.

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Jouer pour mieux apprendre à lire et écrire

S’adonner à des jeux qui développent les habiletés de langage, lors de séances de courte durée, mais intenses, serait l’une des clés de la réussite, selon le projet de recherche de l’Université de Göteborg en Suède.

En effet, parmi les 370 enfants qui ont participé à l’étude, ceux qui ont pratiqué des jeux de langage durant 25 minutes chaque jour pendant six semaines, répétant l’expérience pendant trois années consécutives, ont eu de meilleurs résultats à des tests, plus de facilité et de meilleures connaissances en matière d’écriture et de lecture, une fois à l’école.

Des recherches antérieures avaient déjà démontré que s’amuser à ce style de jeux dès l’âge de six ans pouvait être très bénéfique. Toutefois, la récente étude suédoise confirme que commencer à s’adonner aux jeux de langage dès quatre ans peut avoir un impact sur le développement précoce de la conscience linguistique et phonologique.

Par conscience phonologique et linguistique, les chercheurs définissent que les petits sont en mesure de s’initier, de manipuler et d’identifier la structure sonore de leur langue, puis de faire des liens entre les lettres et les sons, faire des rimes et des associations entre des mots à un âge précoce.

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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.
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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.
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Le cerveau des enfants bilingues est meilleur

Radio-Canada rapporte qu’une étude de l’Université York de Toronto, effectuée auprès de 104 enfants de 6 ans, démontre que les jeunes qui apprennent deux langues, quelles qu’elles soient, saisissent mieux la structure d’une langue. Cette assimilation serait d’ailleurs une habileté importante, en matière d’alphabétisation.

Même si certains sont portés à dire que les enfants bilingues rencontrent plus de difficultés à maîtriser le vocabulaire, il semblerait que le bilinguisme leur procure un avantage marqué en ce qui a trait aux habiletés cognitives supérieures et au développement cérébral.

Rappelons que des chercheurs de l’Institut Rotman de Toronto avaient démontré, en 2010, que le fait de parler deux langues quotidiennement retardait de plusieurs années l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées.

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Le cerveau des enfants bilingues est meilleur

Radio-Canada rapporte qu’une étude de l’Université York de Toronto, effectuée auprès de 104 enfants de 6 ans, démontre que les jeunes qui apprennent deux langues, quelles qu’elles soient, saisissent mieux la structure d’une langue. Cette assimilation serait d’ailleurs une habileté importante, en matière d’alphabétisation.

Même si certains sont portés à dire que les enfants bilingues rencontrent plus de difficultés à maîtriser le vocabulaire, il semblerait que le bilinguisme leur procure un avantage marqué en ce qui a trait aux habiletés cognitives supérieures et au développement cérébral.

Rappelons que des chercheurs de l’Institut Rotman de Toronto avaient démontré, en 2010, que le fait de parler deux langues quotidiennement retardait de plusieurs années l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées.

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Les jeunes enfants maîtrisent plus l’informatique que tout le reste

Selon ce que rapporte Le Parisien, les enfants âgés de deux à cinq ans peuvent être très à l’aise avec la technologie.

Une étude révèle que dans ce groupe d’âge, 69 % sont très à l’aise avec l’informatique et maîtrisent parfaitement le fonctionnement d’une souris d’ordinateur.

Parmi ces jeunes enfants, 58 % jouent à des jeux sur l’ordinateur et 28 % sont en mesure de composer un numéro de téléphone sur un cellulaire.

Devrait-on s’en alarmer? Peut-être, selon les chercheurs, qui ont constaté que dans ce même groupe d’âge, seulement 20 % savent nager et 11 % sont capables de lacer leurs chaussures tout seuls comme des grands. Ils ont donc moins de difficultés avec l’informatique.

Une petite donnée rassurante toutefois, il existe encore 77 % des jeunes enfants qui sont capables de résoudre un casse-tête.

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Un grand espoir pour le VIH/sida

L’ASC Chemical Biology rapporte qu’un transfert du VIH/sida d’une cellule à une autre a été interrompu grâce à une molécule mise au point par une équipe en France.
 
Cette molécule affecte le récepteur DC-SIGN qui est habituellement utilisé par le virus pour se propager dans le corps.
 
L’équipe de l’Université Joseph Fourier étudie le DC-SIGN qui se trouve sur la surface des cellules. Il est celui qui est en contact avec l’extérieur et se retrouve sur l’épiderme et les muqueuses, qui sont les portes d’entrée des pathogènes dans le corps.
 
Le DC-SIGN semble être une voie prometteuse et inexplorée jusqu’à présent. Avec la mise au point de cette molécule qui a été capable d’arrêter le transfert du VIH aux autres cellules, cela représente un énorme espoir pour combattre cette maladie qui fait des millions de victimes chaque année, surtout en Afrique.
 
De plus, cette découverte pourrait aussi servir dans le traitement des infections comme l’hépatite C, la dengue, l’Ebola, le SRAS et la tuberculose.
 
Jusqu’à présent, les tests se sont avérés prometteurs in vitro. Maintenant, des essais sur des animaux devront être pratiqués. Le chemin avant son autorisation aux humains est encore long et rien ne garantit que l’on obtiendra les mêmes résultats à cette étape, même si on en garde l’espoir.