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Le sport rend plus pacifique

On aura désormais un argument de plus pour inciter notre enfant à bouger. Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv ont démontré clairement que le sport a des impacts importants sur le bien-être de l’enfant, non seulement quant à sa santé physique, mais aussi mentale.

Pratiquer une activité sportive aurait effectivement des influences sur le comportement, la cognition et les émotions. Cela serait d’autant plus important chez les garçons, lisons-nous sur Medical News Today.
 
Dans le cadre de cette recherche ayant porté sur 649 enfants, on a relevé que les impulsions d’agressivité étaient plus faibles lorsque ceux-ci participaient à un programme constant d’activités sportives diverses.
 
On a aussi remarqué que la pratique d’un sport sur une base continuelle, chez un enfant, menait à une plus grande maîtrise de soi et allait de pair avec une meilleure discipline. Entre d’autres mots, cela libère l’esprit des enfants en jouant le rôle d’un exutoire.

Selon les experts, le sport pourrait même s’avérer plus efficace que la thérapie habituelle, soit par la parole. Si cette dernière encourage l’enfant à maîtriser son comportement, elle ne réduit pourtant pas les émotions négatives comme le fait l’activité sportive.

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La prématernelle pourrait être améliorée

Il semble que les enfants auraient tout avantage à fréquenter la prématernelle pendant deux ans au lieu de l’année habituelle. De plus, les éducateurs devraient consacrer leurs plus grands efforts sur le vocabulaire, la lecture et la maîtrise de soi.

Ce sont là les plus grands bienfaits qu’un enfant retire de ses années en milieu préscolaire, selon des chercheurs de l’Université de l’État du Michigan.

En fait, c’est à cet âge que les enfants vont jeter les bases de leur éducation à venir. Leurs notions de lecture, par exemple, seront mises en place par l’apprentissage de l’alphabet et la compréhension de la formation des mots.

On pourrait donc bonifier ce passage pour les tout-petits, car un programme d’apprentissage établi selon les trois paramètres cités (lecture, vocabulaire, maîtrise de soi) pourrait avoir des répercussions directes sur la réussite scolaire future.

Cette étude, parue dans Early Childhood Research Quarterly, est l’une des premières à évaluer la maîtrise de soi chez des enfants de cet âge. Les enfants observés avaient de trois à quatre ans. Ils étaient donc à leur première ou deuxième année de prématernelle.

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Maîtrise de soi de l’enfant : le meilleur indicateur?

Selon des chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord, certains paramètres comportementaux de l’enfant prévoiraient sa vie adulte.

Dans cette étude, 1 000 enfants de la Nouvelle-Zélande on été suivis pendant près de 30 ans.

Les participants ont été évalués par des adultes s’occupant d’eux, comme leurs parents et leurs enseignants notamment. Ils se sont aussi évalués eux-mêmes.

Parmi les critères de l’évaluation, on devait relever des signes d’hyperactivité, d’incapacité à maîtriser sa colère, de manque de motivation, d’agitation et d’impulsivité, par exemple.

Selon les corrélations observées dans cette recherche, les enfants qui ont accusé les plus faibles résultats ont plus souvent eu des problèmes respiratoires, d’hypertension artérielle et de cholestérol ainsi que des MTS à l’âge adulte.

Il semble même que ces enfants deviendraient plus fréquemment des parents seuls et qu’ils auraient plus de problèmes d’alcool, de drogue et judiciaires.

Les résultats de cette étude sont parus dernièrement dans le Proceedings of the National Academy of Sciences.

Le problème à la source relevé dans cette recherche semble être la maîtrise de soi, un facteur qui peut facilement être amélioré.