Une étude l’Université de Sydney démontre qu’en cas de lombalgie aiguë, le paracétamol n’aide pas les patients souffrants. En effet, il semblerait que la douleur n’est pas apaisée avec ce médicament qui n’aide pas à reprendre du poil de la bête rapidement.
Des tests sur un groupe qui avait de forts maux de dos et qui prenait le placebo ont prouvé que ces personnes récupéraient plus vite après avoir pris le « faux médicament » que celles qui prenaient le paracétamol.
Bien que ce soit la première étude à parvenir à de tels constats, par ailleurs publiés dans The Lancet, elle remet en question le paracétamol et ses vertus analgésiques, explique Santé Log.
Il a également été remarqué qu’outre le nombre différent de jours (17 contre 16) de récupération entre les patients qui prenaient le placebo et le paracétamol, les effets négatifs sur les niveaux de douleur, de handicap, de mobilité, de qualité de sommeil ou de vie demeuraient les mêmes dans les groupes avec ou sans paracétamol.
Rappelons qu’un médicament efficace devra être trouvé, car la lombalgie est la principale cause d’invalidité sur la planète. « La lombalgie est la maladie chronique qui entraîne le plus d’arrêts de travail chez les personnes de plus de 45 ans. C’est aussi la 3e cause de handicap chronique chez les 45-64 ans. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la lombalgie touche à un moment donné environ 33 % de la population », écrit Top Santé.
En attendant de dénicher la pilule magique, les spécialistes conseillent un suivi efficace avec un médecin.
La pathologie la plus diagnostiquée serait la scoliose (70 % des cas), affirme le site Santélog.
Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs espagnols ont fait une série de tests mesurant et calculant le poids des sacs à dos de 1403 enfants âgés de 12 à 17 ans.
Les parents sont donc bien avertis de surveiller le poids de ces sacs, mais gardez le secret, car certains petits pourraient avoir un vilain plaisir à se servir de cet argument pour rapporter moins de devoirs à la maison!