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Clodine Desrochers: «Elle avait appelé au salon funéraire pour commander mon petit cercueil»

Clodine Desrochers, qui a illuminé nos écrans pendant de nombreuses années avec Les saisons de Clodine, fait graduellement son retour sous les projecteurs, notamment en tant que participante à Sortez-moi d’ici!.

Elle était aussi présente à l’émission La vraie nature, où elle a évoqué à nouveau sa malformation congénitale au niveau du système digestif, une condition que les médecins étaient incapables d’identifier à sa naissance.

Une période très difficile qui a plongé sa mère dans une dépression graduelle, craignant éventuellement de perdre sa fille, allant même jusqu’à lui magasiner des effets pour ses funérailles.

«Même que ma mère, elle avait appelé au salon funéraire pour commander mon petit cercueil. Mais tu sais, mon père rappelait par après pour dire: Écoutez, là, Jane ne va pas très bien. Elle avait acheté ma petite robe», témoigne Clodine.

Heureusement, la troisième opération de Clodine s’est bien déroulée. Lorsque le docteur est venu annoncer la grande nouvelle à ses parents, qu’elle était maintenant hors de danger, sa mère a perdu connaissance et a dû être hospitalisée dans la même chambre qu’elle.

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Capture TVA

Des confidences bouleversantes qui nous vont directement au cœur!

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Magalie Lépine-Blondeau aborde la maladie de son père en compagnie de sa soeur

Magalie Lépine-Blondeau était présente à l’émission Tout le monde en parle en compagnie de sa sœur Eugénie Lépine-Blondeau. Les deux femmes y étaient pour parler de la maladie de Parkinson, dont leur père, Marc Blondeau, ancien président directeur général de la Place des Arts, est atteint.

Un diagnostic qui est survenu dans son cas à l’âge de 62 ans et qui a profondément affecté la famille Lépine-Blondeau.

Capture Radio-Canada

Les deux jeunes femmes souhaitaient parler de ce trouble neurologique dégénératif qui connaît la croissance la plus rapide au monde et qui reste souvent mal compris, en plus d’être entouré de tabous.

Pour le moment, Marc Blondeau semble garder le moral et bien se porter malgré les circonstances, si l’on se fie au témoignage de Magalie, elle qui estime qu’un bon entourage peut jouer un rôle majeur dans le quotidien d’une personne aux prises avec la maladie de Parkinson.

«(…) Avoir un tissu social, avoir des activités sociales, avoir un entourage présent, aimant, c’est presque une prescription. C’est-à-dire que ce n’est pas un remède, ça demeure une maladie incurable, mais ça aide vraiment à vivre, même physiquement», lance-t-elle.

Par ailleurs la comédienne est désormais la nouvelle porte-parole de Parkinson Québec, un organisme dédié à aider les personnes atteintes de la maladie de Parkinson et leurs proches aidants.

Magalie Lépine-Blondeau, porte-parole de Parkinson Québec
Crédit photo: Julie Perreault

Ce n’est pas tout, car en compagnie de sa sœur, elle animera un Balado sur Odhio en mai, qui mettra en lumière différents aspects de la maladie de Parkinson, qu’ils soient de nature scientifique, sociale, familiale ou médicale.

Mentionnons que cette maladie touche plus de 23 000 personnes au Québec, dont 20% sont âgés de moins de 50 ans.

Capture Radio-Canada

Le 11 avril prochain se tiendra la Journée mondiale de la maladie de Parkinson.

Il est possible de faire un don dès maintenant en vous rendant sur le site officiel de Parkinson Québec.

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Des maladies respiratoires infantiles en rapide progression en Chine

L’Organisation mondiale de la santé a contacté les autorités chinoises afin de recueillir davantage d’informations sur l’augmentation récente de maladies respiratoires touchant les enfants, rapportent notamment le Washington Post et l’Associated Press.

Cette situation a suscité l’inquiétude de la communauté internationale. La démarche de l’OMS fait suite à des rapports faisant état d’une augmentation des maladies respiratoires et de la pneumonie chez les enfants. Cette tendance a mis à rude épreuve les infrastructures médicales destinées aux enfants dans toute la Chine.

Face à ces inquiétudes sanitaires, l’OMS a demandé aux autorités chinoises de fournir des données cliniques et épidémiologiques supplémentaires afin de mieux comprendre la situation. L’OMS signale que le nombre de cas de syndrome grippal dans le nord de la Chine est anormalement élevé par rapport aux années précédentes. L’OMS a également encouragé les citoyens chinois à prendre des mesures préventives, telles que l’utilisation de masques et le lavage des mains, afin de réduire la propagation de la maladie.

Tandis que l’OMS continue de superviser la situation, la communauté internationale continuera de la suivre de près, en attendant des données complètes de la part des autorités chinoises dans le secteur de la santé et en cherchant à rester informée de tout changement susceptible d’affecter la santé mondiale.

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Malgré des ennuis de santé, Billy Tellier garde le moral!

Billy n’a pas perdu son humour malgré la maladie.

Billy Tellier n’a pas eu de chance récemment!

Effectivement, l’humoriste a eu plusieurs ennuis de santé en même temps…

Cependant, il a pris tout cela avec humour et c’est ainsi qu’il a partagé sur son compte Instagram une vidéo afin d’expliquer sa situation, assortie de petites blagues qui démontrent bien qu’il a gardé le moral malgré tout!

«En fin de semaine, j’ai eu une sinusite, une bronchite et un streptocoque. On m’a prescrit ce merveilleux suppositoire réutilisable qui est zéro confortable ainsi que ces pilules à avaler de la grosseur d’un kayak. Heureusement, je serai en forme pour mon show samedi à Trois-Rivières, mais le problème c’est comment ça se fait que nous autres les adultes on a plus accès à la pénicilline aux bananes? Hein? Je propose de partir une pétition! Qui embarque?», a-t-il dit dans la vidéo en question.

Rappelons que Billy Tellier est présentement en tournée pour son spectacle Hypocrite(s) – Le malheur des uns fait le bonheur des autres à travers le Québec.

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Habsolument Fan

Le Canadien pose un geste incroyable et réalise le rêve d’un homme atteint de la trisomie

Je dois vous avouer qu’il est assez rare que je deviens les yeux dans l’eau en regardant une vidéo sur les médias sociaux.

Cependant, le Canadien de Montréal vient de réussir à me faire craquer en publiant une vidéo extrêmement touchante.

Kent Hughes est allé à la rencontre de Clayton, un homme atteint de la trisomie et qui rêvait pouvoir devenir un jour gérant de l’équipement du Tricolore. 

Le DG lui a offert le plus beau jour de sa vie en lui accordant un contrat d’une journée pour qu’il puisse son rêve. 

Canadien de Montréal Twitter

Il s’est ensuite dirigé vers le Centre Bell pour aller visiter les installations du club. 

Canadien de Montréal Twitter

Fidèle à son habitude, Jonathan Drouin a été exceptionnel et n’a pas hésité à aller passer du temps avec lui. 

Clayton semblait tellement heureux ! 

Canadien de Montréal Twitter

Difficile de ne pas verser une larme en visionnant les images ! 

Voyez la vidéo plus bas : 

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Ton Barbier

Ashton Kutcher s’est confié au sujet de sa maladie

L’acteur Ashton Kutcher a déposé une confidence à Bear Grylls, pendant le tournage de son émission «En pleine nature avec Bear Grylls». Kutcher s’est confié au sujet d’une maladie auto-immune qui s’est attaquée à lui.

La maladie en question a privé la vedette hollywoodienne de certains de ses sens, dont la vue, l’ouïe ainsi que son équilibre. Le problème, ou la maladie auto-immune, était une rare (et bizarre) forme de vascularite (provoque l’inflammation des parois des vaisseaux sanguins).

Lorsque ce phénomène s’est présenté il y a deux ans, l’acteur de 44 ans a eu la frousse de ne jamais renouer avec son ouïe, sa vue et ses jambes. La peur de ne jamais utiliser ses jambes à nouveau l’a d’ailleurs fait réaliser à quel point on devait apprécier ce que l’on avait.

Kutcher a été remis complètement plus d’un an à la suite de cette maladie, lui qui a cheminé énormément à la suite de celle-ci. Il a précisé avoir grandi grâce à cette vascularite, qui lui a permis de voir la vie de façon plus positive.

Il prône désormais le moment présent, puis il ne prend plus rien pour acquis dans sa vie.

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Divertissement

Brad Pitt souffre d’une rare maladie de la vue

Brad Pitt a confessé dans une entrevue qu’il souffre de prosopagnosie, une rare maladie de la vue qui cause une difficulté ou une incapacité à reconnaître les visages

La star hollywoodienne a révélé au magazine GQ que ses symptômes remontent à longtemps. C’est en 2013 que Brad Pitt a pris conscience de ce trouble neurovisuel.

GQ

L’acteur oscarisé pour son rôle dans le film Once Upon a Time in Hollywood a dit s’inquiéter de paraître «distant, inaccessible et égocentrique» lorsqu’il s’efforce de reconnaître les visages, selon l’article de l’édition du mois d’août du magazine masculin.

En 2013, lorsqu’il a parlé pour la première fois de cette maladie, il disait à l’époque au magazine Esquire que «tant de gens me détestent parce qu’ils pensent que je leur manque de respect».

Dans les faits, lorsqu’il voit un visage, Brad Pitt dit que les traits du visage sont pour lui «un mystère». Il ajoute : «Je ne peux pas saisir un visage, et pourtant je viens du design et de l’esthétique… C’est pourquoi je reste à la maison», assure la vedette de 58 ans.

Depuis des années maintenant, Brad Pitt et son ex-femme Angelina Jolie se font la guerre devant les tribunaux sur divers sujets. Le couple est en instance de divorce depuis 2019 et se bat pour la garde de leurs enfants. Ils s’affrontent aussi en affaire. La plus récente dispute a lieu en France pour le Château Miraval en Provence.

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Art de vivre

Il s’appelait François

(CHRONIQUE)

Survivre à la leucémie de mon grand frère

Le plus vieux souvenir au fond de mon ventre est celui de mon grand frère François m’annonçant qu’il va mourir.

On dessinait sur une ardoise, assis par terre. J’avais les doigts sales et tout sentait la poussière. Mon frère a dit que son sang était malade. C’est mon seul souvenir de lui avec des cheveux.

En 1989, à l’âge de cinq ans, il était méconnaissable quand il a cessé de respirer. Notre père a donné un coup de poing dans un mur de l’hôpital. Il a demandé à nettoyer son fils lui-même, une dernière fois, avant qu’on ne l’emporte pour toujours. Je n’étais pas présent, je ne peux qu’imaginer ce cauchemar, depuis mon enfance. Encore aujourd’hui, j’ignore ce qui pourrait être plus difficile à vivre que ça pour un parent.

Ma vie entière s’est construite sur cette terre brûlée. Ce sont les souvenirs d’un chagrin immense: l’anéantissement de mes parents, la paralysie des oncles et des tantes, puis les préposées qui refont les lits dans les chambres voisines. 

Pour ne pas m’étouffer, je me suis accroché longtemps aux souvenirs de l’époque heureuse. J’ai gardé des Polaroids et des jouets usés dans une boîte. J’ai porté avec moi des jeux de mains secrets et des moments passés seuls sans les adultes. Je l’ai aimé, mon frère. Il avait des yeux sévères et rassurants, il était mon monde.

Après son départ, j’ai détesté l’onde de choc de son cancer. Sa mort a pris toute la place à la maison. Nos parents ne nous regardaient plus dans les yeux. Il n’y avait pas d’air à respirer dans cette maison de cœurs sombres. Trop jeune, camouflé dans la chambre d’à côté, j’ai entendu mon père dire à ma mère: ce qui me fait le plus mal, c’est que je me rappelle de son sens de l’humour. J’aurais préféré ne jamais entendre ça.

30 ans plus tard

Je dévisage souvent les adultes de 36 ans et je me dis qu’il leur ressemblerait. Des fois, ma mémoire est douloureuse et je me demande: Jusqu’où est-ce que je dois me rappeler de toi, mon frère?

Sa vie résonne jusqu’à nous et dans ma paternité, je me demande comment léguer cette histoire à mes enfants, sans leur transmettre un chagrin qui ne leur appartient pas. Il y a tout de même une ressource inespérée au fond de tout ça: j’ai appris à vivre avec la mort. François a créé cet espace dans ma tête pour accueillir tous les deuils, les comprendre et leur donner du temps. Toute ma vie, j’ai pu saluer nos fantômes et ils ne me faisaient pas peur. Voilà quelque chose à léguer, peut-être.

Depuis quelques années, je peux dire que j’ai fait la paix avec mon grand frère. Je fais des efforts et je traîne chaque jour plus loin son souvenir. Et quand j’oublie brièvement de penser à lui, ce sont encore les impacts de sa disparition qui me surprennent de nulle part. Mais je vais bien. Je me suis accordé le droit de vivre, d’aimer et d’être aimé. Je dors dans une maison chaude où chacun a de l’air pour exister. C’est un privilège et je ne l’oublie jamais.

Trente ans plus tard, toutes les joies qui passent et tous les rires d’enfants remplissent l’espace de la vie annulée de mon frère. Dans les moments les plus difficiles, j’arrive à tenir bon parce que je m’accroche un peu pour nous deux, dans le fond. Et chaque hiver où le silence me soigne, chaque diplôme à bout de force, chaque amour comme chaque grande peur sont vécus dans son ombre enveloppante.

Mon fils cadet a six ans et me demande qui est le petit garçon sur la photo encadrée dans la cuisine.

Je lui dis qu’il s’appelait François.

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Art de vivre

Nathan Ouellet a plus que jamais besoin de vous

Vous vous souvenez peut-être de Nathan Ouellet, le jeune jumeau qui habite la même ville que nous et qui est atteint d’amyotrophie spinale de type 1. Rappelons que cette maladie s’attaque aux motoneurones en les atrophiant. Cette maladie dégénérative n’offre aucune perspective de survie au-delà de 2 ans si elle n’est pas traitée. Pour l’instant, le traitement que reçoit Nathan s’administre par ponction lombaire à raison de 3 fois par année, pour toute sa vie. Ce traitement permet seulement de ralentir le développement de la maladie. Il n’offre aucune perspective d’amélioration de l’état de Nathan en plus d’être extrêmement invasif et douloureux.

Rappelons également qu’un traitement qui n’est pas encore homologué par Santé Canada, mais disponible dans plusieurs autres pays, existe et permet aux enfants atteints de SMA-1 de faire des progrès. Le traitement consiste à réintroduire le gène manquant, permettant ainsi à l’enfant de rattraper une bonne partie de son retard et par la suite d’avoir une espérance de vie ainsi qu’une condition de vie qui n’a rien à voir avec ce qui lui était destiné avec le traitement par ponction lombaire. Le gros hic, c’est que le médicament coûte 2,8 millions de dollars et qu’il doit être administré à l’enfant avant ses 2 ans. Imaginez une seconde que votre enfant est face à une mort certaine, souffrante et en bas âge et qu’on chiffre sa vie à 2,8 millions de dollars. C’est ce à quoi font face les parents de Nathan.

Jusqu’à avant-hier, Geneviève et Marc-André, les parents de Nathan, avaient réussi à amasser un peu plus de 800 000$. Plusieurs personnes de notre communauté s’impliquent et tentent de faire des activités de financement tout en respectant les limites que nous impose la pandémie. De ce fait, plusieurs activités de financement qui permettraient de récolter des sommes significatives comme un souper spaghetti, par exemple, ne sont pas possibles. 

Hier, les parents de Nathan ont lancé un cri du cœur via la page Facebook Réaliser l’impossible avec Nathan. Ce dernier est hospitalisé à Québec depuis une semaine pour un de ses traitements par ponction lombaire et les parents ont appris que Nathan devra maintenant avoir un appareil BIPAP la nuit pour lui permettre de respirer comme il se doit, ainsi qu’un tube d’alimentation. 

Nathan aura 1 an le 20 octobre prochain et le temps presse. Plus la maladie dégénère, plus il sera difficile pour Nathan d’avoir une vie qui se rapproche de la normale.

Sa survie dépend de nous tous. Elle dépend des dons que l’on peut faire, des partages de leur GoFundMe sur nos réseaux sociaux, des discussions qu’on a avec nos amis pour parler de sa situation. Faire connaitre la cause de Nathan est plus important que jamais.

Dans leur cri du cœur, les parents de Nathan invitent les donateurs à participer au 100$ challenge. Jusqu’à maintenant, 20 000 personnes ont donné via la plateforme GoFundMe. Si chacun de ces 20 000 donateurs donne 100$ et invite deux personnes de son entourage à faire de même, l’objectif sera atteint. Vous pouvez participer en vous rendant sur leur page Facebook, en faisant un don sur le GoFundMe de Nathan, en prenant une capture écran de votre don et en partageant sous leur publication en nominant deux personnes à votre tour. Ce genre de challenge a déjà permis d’amasser beaucoup d’argent, pensons seulement au Ice Bucket Challenge

Nathan est présentement à l’hôpital depuis 1 semaine. À son retour à la maison, il aura besoin d’une machine pour…

Posted by Réaliser l’impossible avec Nathan on Sunday, September 27, 2020

Embarquons dans ce challenge et prouvons qu’il est possible de changer la vie de ce beau coco. Soyons, tous ensemble, des instigateurs de miracles.

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Un nouveau-né de 30 heures atteint du coronavirus

Selon ce que rapporte la BBC, la mère du nouveau-né était elle-même infectée avant de donner naissance à son enfant.

Le bambin est né à l’hôpital pour enfants de Wuhan en Chine. Il ou elle est le ou la plus jeune malade atteint(e) du virus potentiellement mortel au monde.

La mère de l’enfant a reçu son diagnostic positif le 2 février dernier. Le bébé est né en santé, pesant 3,23 kg. Il est maintenant placé en observation et sa condition est stable. Il ne fait pas de fièvre et n’a pas de toux.

Ce sont des rayons X qui ont démontré les signes d’infection, alors que l’enfant avait de la difficulté à respirer.

Selon les autorités hospitalières, l’enfant est le second traité pour le coronavirus. Un autre bébé né le 13 janvier a aussi contracté la maladie deux semaines plus tard.

L’épidémie de coronavirus a maintenant touché 28 353 personnes dans le monde. La grande majorité des cas est en Chine. 565 personnes sont décédées de cette maladie qui n’a aucun traitement connu.

Photo : Sebastian Gollnow/DPA/Cover Images