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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le bilinguisme aide à freiner la maladie d’Alzheimer

Une étude canadienne dévoilée dans le magazine Cortex avance que le bilinguisme permettrait de conserver les fonctions cognitives plus longtemps, et ce, même si l’on est atteint de la maladie d’Alzheimer.
 
Les chercheurs ont analysé l’imagerie médicale du cerveau de 40 personnes ayant reçu un diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer.
 
50 % des personnes étaient bilingues, et les autres ne maîtrisaient qu’une seule langue.
Le bilinguisme procurerait des effets qu’aucun médicament ne peut donner.
 
Même si les deux groupes de personnes ont obtenu des résultats similaires concernant leurs performances cognitives, les personnes bilingues avaient pourtant deux fois moins de dommages au cerveau que les unilingues. Cela laisse croire que le fait de parler plus d’une langue freine, en partie, les effets de la maladie.
Les personnes bilingues utilisent constamment leur cerveau, le gardant ainsi actif. C’est aussi pour cette raison que les médecins recommandent souvent de faire des mots croisés et des sudokus, afin de garder le cerveau toujours en activité, pour réduire les effets de l’Alzheimer et d’autres dégénérescences cognitives.
 
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Un test visuel pour détecter la maladie d’Alzheimer

Des scientifiques australiens auraient mis au point un simple test visuel qui permettrait de détecter les signes de la maladie d’Alzheimer.
 
Pour le moment, les essais ont été faits sur un petit groupe de personnes et des recherches supplémentaires sont nécessaires, mais les premiers résultats seraient encourageants.
 
Ce test visuel se base sur le fait que la maladie d’Alzheimer est reconnue pour provoquer des changements non seulement au cerveau, mais aussi aux yeux.
 
Aux États-Unis, on travaille également sur un type de test visuel du même genre.
 
Par ailleurs, le Daily Mail signale une autre étude sur la maladie d’Alzheimer qui affirme que tomber sans raison apparente pourrait être un signe de la maladie.
 
On a remarqué que chez les personnes qui avaient le plus de dépôts au cerveau, une caractéristique de l’Alzheimer, on dénombrait plus de chutes que chez celles qui n’avaient pas ces plaques.
 
Donc, le test visuel et les chutes pourraient devenir des moyens non invasifs pour détecter la maladie dégénérative, qui touche 35 millions de personnes dans le monde.
 
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Le brocoli pourrait contrer la maladie d’Alzheimer

Des scientifiques croient que le brocoli pourrait détenir la clé contre la maladie d’Alzheimer.
 
Selon le Daily Mail, on pense que le sulforaphane, une substance chimique dérivée du brocoli, protègerait les cellules vitales du cerveau contre les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène dangereuses qui sont produites lorsque la nourriture est transformée en énergie.
 
Ainsi, on pense que ce légume vert pourrait réussir là où d’autres traitements ont échoué. Toutefois, des pilules de sulforaphane seraient plus efficaces que de manger du brocoli.
 
Cela pourrait prendre encore une décennie avant de pouvoir mettre sur pied un traitement issu de ces hypothèses. Si le tout fonctionne, cela pourrait même aider à contrer la maladie de Parkinson et certains cancers.

Dernièrement, une étude disait également que le brocoli, tout comme le chou et le chou-fleur, favorisait une plus grande longévité. Ceci en raison des nutriments, comme la vitamine C, et des fibres.

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Une nouvelle technique pour détecter la maladie d’Alzheimer

Lors du congrès annuel de la Société de médecine nucléaire qui a eu lieu au Texas, on a présenté une nouvelle technique d’imagerie par résonnance magnétique du cerveau qui détecte la maladie d’Alzheimer avant même que les premiers symptômes n’apparaissent.
 
Cette méthode, nommée Tomographie par émission de position (TEP), détecte et analyse la protéine bêta-amyloïde qui est responsable de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, cela permet de poser un diagnostic.
 
Jusqu’à présent, aucun remède ne permet de guérir cette maladie, mais détectée à un stade précoce, il est possible de ralentir son développement.
 
« L’imagerie par résonance magnétique qui rend visible l’amyloïde est une technique qui devrait rapidement être éprouvée par des tests cliniques. C’est une avancée remarquable, car ce nouvel outil permettra de mieux déterminer l’avancement de la maladie », indique Christopher Rowe, professeur à l’hôpital d’Austin en Australie.

On espère offrir cette nouvelle technique dans les hôpitaux d’ici un an, rapporte le Telegraph.