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Le sel ne serait pas lié à la pression et aux troubles cardiaques

Une nouvelle étude dévoilée par le Journal of the American Medical Association mentionne que réduire la consommation de sel ne réduit pas les risques de maladies cardiovasculaires.

Après avoir suivi 4 000 personnes qui n’avaient aucun problème cardiaque au début de l’étude, les chercheurs constatent que celles qui consommaient le moins de sodium avaient 4,1 % plus de risques de mourir d’une maladie cardiaque, alors que celles qui en consommaient le plus avaient 0,8 % de risques.

De plus, on ajoute que l’apport en sel ne serait pas lié à l’augmentation de la pression artérielle.

On ajoute cependant que l’on doit être prudent lorsqu’on recommande de réduire la consommation de sodium, car cela pourrait avoir autant de bons que de mauvais effets sur la santé des gens.

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Prévenir les maladies cardiovasculaires chez les femmes

Une récente étude menée au Canada démontre qu’il serait possible de prévenir les maladies cardiovasculaires chez les femmes.

Selon l’étude JUPITER, qui s’est penchée sur l’évaluation des risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral (AVC), 50 % de tous les événements cardiovasculaires surviennent chez des personnes en santé et ayant même un taux de cholestérol normal ou bas.

Pour cette étude, les chercheurs se sont intéressés à un nouveau marqueur de risque, soit la protéine C réactive (hsCRP) qui se retrouve naturellement dans le corps et qui est un marqueur reconnu pour les inflammations et l’augmentation des risques d’événements cardiovasculaires.

Ainsi, il serait possible de réduire de 46 % les risques de crises cardiaques, d’AVC et même de décès chez les Canadiennes en bonne santé en effectuant un dépistage du taux de hsCRP et en diminuant le cholestérol par des médicaments, même si celui-ci est à un taux normal.

Ceci est une percée majeure dans la lutte contre la première cause de décès chez les Canadiennes. Chaque année, on enregistre 14 000 décès au Canada à la suite d’un AVC et 300 000 personnes doivent vivre avec les conséquences de cet événement.

Les femmes seraient plus sujettes de mourir d’une crise cardiaque ou d’un AVC que les hommes. Elles ont même dix fois plus de chances de mourir de ce genre d’événements cardiovasculaires que d’un cancer du sein.