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Les hommes hésitent à demander de l’aide pour des troubles de santé mentale

Les données proviennent d’une analyse des données du Canadian Community Health Survey, un sondage rassemblant des informations de 2002 à 2011 sur des gens de 18 à 74 ans.

Les chercheurs de l’ICES et de l’Hôpital St. Michaels ont évalué les effets de 4 maladies physiques chroniques sur la santé mentale des gens. « Les maladies chroniques peuvent mener à la dépression », a expliqué Dre Flora Matheson, scientifique.

« Nous tentons de déterminer qui recherchera de l’aide pour un trouble de santé mentale afin de mieux les aider », mentionne Matheson. Les 4 maladies physiques analysées étaient l’asthme chronique, la bronchopneumopathie chronique obstructive, le diabète de type 2 et la haute pression.

Les chercheurs ont découvert qu’il existait une division bien nette entre les femmes et les hommes souffrant des mêmes maladies. Les femmes étaient 10 % plus enclines à demander de l’aide psychologique, et le faisaient au moins 6 mois avant les hommes.

Le détail de l’étude a été publié dans la revue britannique Journal of Epidemiology and Community Health.

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L’affection d’une mère favorise la santé des enfants

Une étude récente de l’Université de la Californie, publiée dans la revue Psychological Science, révèle que bien des enfants qui sont élevés dans des familles à faible statut socioéconomique (SSE) sont plus aptes à développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Par contre, une minorité appréciable reste en bonne santé tout au long de leur vie.

La recherche a étudié si l’affection parentale peut atténuer les facteurs socioéconomiques durant l’enfance.

C’est dans le but de favoriser les relations saines et d’éduquer les parents vulnérables à faire preuve de gestes gratuits et être bons pour leurs enfants que l’étude a été élaborée.

Les contraintes de l’enfance, comme la pauvreté et le manque d’éducation des parents, peuvent laisser un résidu biologique qui apparaît dans la quarantaine, confirment les spécialistes. Cependant, il semblerait que les enfants qui n’ont pas manqué d’amour, de soins et d’attention de la part de leur mère ont eu moins de chances d’avoir un diagnostic du syndrome métabolique, qui est un précurseur de la maladie coronarienne, du diabète de type 2 et des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude se poursuivra, puisque celle-ci a examiné 1205 personnes qui sont nées à la fin des années 70, une époque où les pères étant moins présents dans les relations interpersonnelles. Pour le moment, rien n’indique que le rôle du père aimant a eu une influence sur la santé des enfants devenus grands.

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La vie à la campagne et la santé des enfants

On entend souvent que les enfants qui vivent à la campagne ont certains avantages sur la santé, en comparaison à ceux vivant à la ville, notamment quant à leurs moindres risques d’allergies.

Pourtant, on lit sur Nurse.com qu’une récente enquête publique fait état d’une réalité bien différente. Les enfants qui grandissent en région rurale auraient des défis particuliers à affronter.

Entre autres, il semblerait que ces enfants, en comparaison à ceux de la région urbaine, seraient plus enclins à souffrir d’une maladie chronique. Les taux d’asthme, de diabète et d’obésité se sont avérés plus élevés pour eux.

Ces observations ont été réalisées selon une enquête nationale américaine effectuée auprès de parents. Ces derniers ont fourni des renseignements sur la santé de leurs enfants, comme l’indice de masse corporelle, leurs aptitudes et comportements sociaux et la présence d’une maladie chronique.

D’autre part, certains aspects du milieu de vie ont été pris en compte : la qualité de vie de la communauté, le statut socio-économique et la santé des parents eux-mêmes.

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La dépendance est réellement une maladie

L’American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.</pquo;American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.

Crédit photo : smokedsalmon / FreeDigitalPhotos.net

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Plus d’intimidation pour les jeunes obèses

Un enfant obèse serait plus à risque de souffrir d’une maladie chronique, mais aussi d’intimidation que les autres. C’est à ce constat que sont parvenus des chercheurs européens en voulant établir les enjeux de l’augmentation de l’obésité chez les enfants depuis les dernières années.

Pour ce faire, ils ont évalué des données portant sur 8 568 jeunes Irlandais de 9 ans. Il s’agissait de renseignements recueillis par le biais de sondages, lesquels étaient faits dans le cadre scolaire avec les enfants, puis à la maison avec ces mêmes enfants et leurs parents.

Les risques pour la santé des enfants étaient entre autres les problèmes métaboliques, musculosquelettiques et cardiaques, de même que certains types de cancers. Quant à l’intimidation, il semble qu’elle soit l’une des conséquences des stéréotypes liés à l’obésité.

D’autre part, les enfants accusant un surpoids semblaient plus propices à souffrir d’inégalités sociales et de problèmes d’éducation et psychologiques.

On a finalement remarqué, comme lu sur Eurekalert, que le surpoids était un problème touchant plus souvent les filles que les garçons.

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Répercussions graves des maladies chroniques

Selon une étude de l’Université Karlstad en Suède parue dans Acta Paediatricia, les enfants qui souffrent d’une maladie chronique ont beaucoup plus de risques de vivre des mauvais traitements que les autres.

Les enfants qui vivent avec des problèmes de santé vivent 88 % plus souvent des sévices corporels que les autres. Ils ont aussi plus tendance (154 % plus de risques) à vivre de la violence conjugale à l’âge adulte.
 
Pour arriver à ces chiffres, on a fait remplir un questionnaire à 2 510 enfants âgés de 10, 12 et 15 ans provenant de 44 écoles. Parmi les participants, près d’un sur quatre vivait avec une maladie chronique.
 
Les problèmes de santé relevés étaient vastes. On y retrouvait l’asthme, les allergies, le surpoids, la maladie mentale, les handicaps physiques ainsi que les déficiences visuelles et auditives.
 
La violence vécue par ces jeunes une fois qu’ils sont en couple à l’âge adulte ne semble pas différer selon la gravité du problème de santé.
 
Avec cette recherche, on espère mieux venir en aide aux enfants afin de prévenir les problèmes conjugaux mentionnés lorsqu’ils seront adultes.

Les études subséquentes porteront par ailleurs sur la façon dont la famille vit les problèmes de santé de l’enfant et quel soutien professionnel sont requis.

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Un autre avantage à suivre le régime méditerranéen

Le Dr Francesco Sofi et son équipe de l’Université de Florence ont réussi à prouver que les personnes qui suivent exclusivement un régime méditerranéen étaient moins à risque de souffrir de maladies dégénératives, comme les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

Le Dr Sofi a étudié 12 recherches sur les habitudes alimentaires et l’impact sur l’état de santé de plus de 1,5 million de participants.

Il a observé que le taux de mortalité liée à des maladies cardiovasculaires chutait de 9 % chez le groupe composé de sujets qui adoptaient cette diète. Le risque de maladies de Parkinson et d’Alzheimer diminuait de 13 % et de 6 % pour le cancer.

Composé essentiellement d’huile d’olive, de poisson, d’un peu de vin rouge, d’une abondance de fruits et de légumes, le régime méditerranéen avait déjà été reconnu pour diminuer l’incidence de maladies cardiovasculaires.

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Les médecins canadiens sont submergés

Le Sondage national des médecins (SNM) de 2007 publié aujourd’hui (11 juin) nous apprend que les médecins canadiens doivent de plus en plus composer avec les maladies chroniques dont souffrent les patients qu’ils traitent.

80 % des répondants à l’enquête ont affirmé que les besoins croissants en matière de soins aux patients chroniques prennent la plus grande partie de leur temps, alors qu’ils doivent traiter des patients souffrant de diabète, de cancer, de maladies du coeur et de problèmes de santé mentale.

Malheureusement, les médecins interrogés jugent que le système de santé canadien n’est pas organisé afin de traiter ces patients dans un délai raisonnable. « Le Canada devrait mettre en place une approche coordonnée et pancanadienne concernant les effectifs médicaux afin d’éduquer, de former, de recruter et de retenir un nombre suffisant de médecins pour répondre aux besoins d’une population vieillissante qui présente des problèmes de santé de plus en plus complexes, » a souligné la Dre Louise Samson, présidente du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

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Plus de malades chroniques au Québec

Une étude réalisée par l’Institut de la statistique du Québec démontre que le nombre de Québécois aux prises avec une maladie chronique est à la hausse, rapporte La Presse.

De 2000 à 2005, le pourcentage de la population atteint d’une maladie chronique a monté de 26,5 % à 29,3 %. Cette progression serait normale étant donné le vieillissement de la population.

Toutefois, le fait d’améliorer ses habitudes de vie contribuerait à prévenir la maladie chronique. Le tabagisme, le manque d’exercice, l’obésité, la consommation abusive d’alcool augmentent le risque de développer un tel dysfonctionnement.

Les cas d’arthrite et d’hypertension sont davantage à la hausse que les cas de cancer, de diabète, d’hypertension, de maladies cardiaques ou pulmonaires et de troubles de l’humeur. Notons que l’obésité augmente le risque de souffrir d’arthrite.

Ce phénomène existe partout au Canada. La hausse du nombre de malades chroniques est toutefois plus grande au Québec.