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Les personnes ayant grandi à la campagne sont plus à risque de souffrir d’Alzheimer

Les personnes nées à la campagne et qui y ont grandi sont deux fois plus à risque de souffrir de la maladie d’Alzheimer, révèle le Telegraph.
 
Une équipe de l’Université d’Édimbourg a analysé 51 articles scientifiques basés sur des données de dossiers médicaux de 12 580 personnes.
 
Les personnes de la campagne souffrent plus de la maladie d’Alzheimer que les personnes qui ont grandi en ville, mais on ignore pourquoi.
 
Les scientifiques émettent certaines hypothèses pouvant expliquer le phénomène, comme l’accessibilité des soins ou une exposition à des substances de la campagne qu’on ne retrouve pas en ville.
 
Les études devront être approfondies pour trouver les mécanismes sous-jacents de cette découverte.
 
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La vitamine C et le bêta-carotène peuvent aider à prévenir l’Alzheimer

Le Journal of Alzheimer’s Disease dévoile une nouvelle étude mentionnant que des niveaux trop bas de certains antioxydants pouvaient influencer l’apparition de la maladie d’Alzheimer.
 
On a mesuré les niveaux de vitamine C, E, de bêta-carotène, de lycopène et de coenzyme Q10 sur 74 patients avec un léger Alzheimer et 158 patients en bonne santé.
 
On a noté des différences pour la vitamine C et du bêta-carotène, qui étaient nettement moins élevés chez les patients malades.
 
On croit donc que l’apport de ces deux éléments aide à prévenir l’apparition et le développement de la maladie d’Alzheimer.
 
Les résultats doivent maintenant être confirmés par des études plus approfondies.
 
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Pourquoi les femmes sont-elles plus touchées par la maladie d’Alzheimer?

Aux États-Unis, les deux tiers des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer sont des femmes. Avec le vieillissement de la population, on s’attend à ce que le nombre de cas double d’ici 2050.
 
Ainsi, un comité d’experts s’est réuni afin de discuter, de tenter de combler les lacunes des connaissances et de trouver les axes des recherches futures.
 
« Il y a encore d’importantes lacunes dans nos connaissances sur le rôle du sexe dans l’apparition et la progression de la maladie d’Alzheimer, et ces recommandations constituent un guide utile pour la recherche future », mentionnent les auteurs dans le Journal of Women’s Health.
 
Alors que nous savons que la maladie d’Alzheimer est liée à l’âge, les données démontrent que le sexe joue aussi un rôle dans l’apparition, mais aussi dans la sévérité des symptômes.
 
Les femmes sont plus touchées, et on ignore encore pourquoi, mais une des explications serait le fait que les femmes vivent en moyenne plus longtemps que les hommes.
 
Des études doivent être menées sur le sujet pour trouver les raisons de ce phénomène.
 
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Une enzyme qui accentue le déclin cognitif

Le Journal of Neuroscience mentionne que l’enzyme BACE1 est déjà connue pour favoriser la formation de plaques B-amyloïdes qui caractérisent la maladie d’Alzheimer.
 
Seulement, cette enzyme a aussi une autre responsabilité dont on ignorait l’existence jusqu’ici, et cela entraîne également un déclin cognitif. Donc, la BACE1 a une double action sur le déclin cognitif.
 
Ce double effet affecte non seulement le développement des plaques B-amyloïdes, mais régule également le processus cellulaire qui favorise la perte de mémoire. Il faudrait donc trouver le moyen d’empêcher totalement les cellules de fabriquer cette enzyme.
 
« La perte de mémoire est un gros problème, non seulement dans la maladie d’Alzheimer, mais plus largement avec le vieillissement de la population. Il nous a fallu comprendre le rôle complet de BACE1 dans la perte de mémoire, en dehors de la production de B-amyloïde », mentionne le professeur Xu Huaxi.
 
Les recherches se poursuivent donc.
 
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La maladie d’Alzheimer serait moins agressive à un âge plus avancé

La revue PLoS ONE dévoile une étude américaine disant que la maladie d’Alzheimer serait moins agressive chez les aînés plus âgés.

Les personnes entre 60 et 70 seraient frappées plus durement par la maladie. En effet, selon les résultats obtenus avec des imageries et les niveaux de biomarqueurs sur 723 patients de 65 à 90 ans, le déclin cognitif serait plus important chez les « jeunes aînés » que chez les 80 ans et plus.

Pourtant, un des facteurs de risque de cette maladie est l’âge. C’est réellement la progression de la maladie qui est plus lente et moins agressive.

« Les patients présentent généralement une détérioration marquée année après année. Pourtant, les patients les plus âgés ne montrent pas la même progression et cela explique parfois pourquoi ces patients ne reçoivent pas les soins appropriés et voient leur qualité de vie dégradée », explique le professeur, chercheur et auteur des travaux, Dominic Holland.

Par contre, on note que les aînés, au-delà de 80 ans, peuvent souffrir de démence mixte, soit la maladie d’Alzheimer combinée à une autre pathologie neurologique.

Crédit photo; FreeDigitalPhotos.net

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Nouvel espoir de traitement de la maladie d’Alzheimer

Lors de la Conférence internationale de l’Alzheimer’s Association, des chercheurs ont présenté leurs premiers résultats, forts prometteurs, sur les effets des immunoglobulines intraveineuses (IgIV) sur la maladie d’Alzheimer.
 
Les IgIV auraient la capacité de s’attaquer aux plaques de protéines amyloïdes dans le cerveau des patients atteints d’Alzheimer.
 
L’étude a été faite sur trois ans en tout. Aux deux semaines, 24 patients recevaient des doses de IgIV, alors que d’autres avaient un placebo. Avec les IgIV, on a pu conserver totalement les capacités cognitives des patients.
 
« Le traitement est censé effacer les protéines toxiques appelées bêta-amyloïde dans le cerveau et permettre aux neurones de fonctionner à nouveau correctement », mentionne la Dre Anne Corbett.
 
La recherche n’en est qu’aux premiers stades, mais pour le moment, le tout semble prometteur. Si les résultats se confirment après les nombreux essais cliniques, on pourrait voir apparaître ce traitement d’ici dix ans.
 
Les IgIV sont fabriquées à partir d’anticorps de dons de sang et sont utilisées pour combattre des formes rares d’infections graves ou certaines maladies auto-immunes. Elles inciteraient le système immunitaire à s’attaquer aux plaques qui s’accumulent dans le cerveau des patients.

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Syndrome de Down : un médicament à la rescousse de la mémoire

La qualité de vie des gens atteints du syndrome de Down pourrait être grandement améliorée, car un médicament pourrait stimuler la fonction de leur mémoire et ainsi leur permettre de retenir une foule d’informations importantes. Chose qu’ils ne réussissent plus à faire.

« Jusqu’à maintenant, il n’y avait jamais eu de résultats positifs dans les tentatives d’améliorer les capacités cognitives chez les personnes atteintes du syndrome de Down au moyen de médicaments », explique Alberto Costa, auteur de l’étude de l’École de médecine de l’Université du Colorado.

Les résultats de la recherche qui a duré plus de quatre ans sont publiés dans la revue Translational Psychiatry.

Parmi les 38 adolescents qui ont participé à l’étude, la moitié a pris de la mémantine, et l’autre un placebo pendant 16 semaines. Ceux prenant de la mémantine ont montré une amélioration significative de la mémoire épisodique verbale. L’un des plus graves cas de l’étude a d’ailleurs vu ses compétences de mémoire être améliorées de 10 fois.

M. Costa, qui avait effectué des expériences positives en 2007 sur des souris, dit avoir pour objectif d’entreprendre des tests sur des enfants d’âge scolaire qui sont en pleine période de développement et sur lesquels il serait facile d’avoir un suivi et de percevoir des résultats rapidement.

D’ici cinq ans, l’expert désire aussi savoir si la mémantine peut freiner et même stopper l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes atteintes du syndrome de Down.

Mentionnons que tous les enfants souffrant de la maladie de Down finissent par être atteints d’Alzheimer dans la trentaine.

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Une variante génétique très rare sème l’espoir contre la maladie d’Alzheimer

Dans le monde, 30 millions de personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer, mais un peu plus de 1500 Islandais déteindraient la clé d’un nouvel espoir.
 
En fait, 0,5 % des Islandais seraient porteurs d’une variante génétique rare qui freine la production de B-amyloïde, un peptide qui forme des plaques dans le cerveau des patients atteints de la maladie.
 
Cette variante divise par cinq les risques de développer la maladie d’Alzheimer à l’âge de 85 ans.
 
Cette étude, parue dans la revue Nature, confirme aussi du même coup que le peptide B-amyloïde est en cause ans la maladie d’Alzheimer.
 
Seulement de 0,2 à 0,5 % des Finlandais, Suédois et Norvégiens seraient aussi porteurs de cette variante génétique.
 
On remarque également que les Islandais qui ont la variante génétique vivent plus longtemps et ont une meilleure qualité de vie.
 
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L’exercice est primordial dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer

Le Journal of Biological Chemistry publie une nouvelle étude qui confirme non seulement les bénéfices de l’exercice physique contre la maladie d’Alzheimer, mais mentionne que l’exercice est même particulièrement important.
 
L’activité physique est même plus bénéfique que le régime alimentaire sur l’Alzheimer.
 
L’étude de l’Université de Kyoto a comparé les effets de l’alimentation et d’un régime contrôlé à l’exercice volontaire et la pratique renforcée sur des souris.
 
On constate sans l’ombre d’un doute que l’exercice physique est plus bénéfique, car il réduit la formation de plaques B amyloïdes, ces dépôts dans le cerveau qui caractérisent notamment la maladie d’Azheimer.
 
Avec l’exercice physique, on assiste à une dégradation de cette accumulation de plaques. Ainsi, l’exercice devrait être la priorité chez les personnes âgées.
 
En général, la maladie d’Alzheimer survient chez les personnes de plus de 65 ans.
 
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Avoir une réponse sur le bout de la langue n’est pas un signe d’Alzheimer

Il arrive à tout le monde d’avoir une réponse, un mot ou un nom sur le bout de la langue, comme le dit l’expression, ou encore d’oublier ce que l’on vient de lire ou encore où nous avons posé un objet.
 
Fait rassurant, selon une étude parue dans l’Aging, Neuropsychology and Cognition, cela n’a rien d’inquiétant, car tout le monde oublie.
 
Cependant, si ces absences augmentent d’une façon considérable, c’est là qu’il serait judicieux d’en parler à son médecin. Sinon, rien d’alarmant.
 
105 adultes en bonne santé et instruits ont participé à la recherche. Ils devaient dresser la liste de leurs absences de mémoire dans les 24 dernières heures, en plus de se soumettre à divers tests.
 
Plus de la moitié des répondants ont noté avoir eu ce genre de distraction. En effet, ce n’est rien de moins qu’une distraction ou un manque de concentration qui peut faire en sorte que l’on oublie ce qu’on vient tout juste de faire.
 
Reconnaître ce fait permettrait de cibler des programmes d’entraînement de la mémoire pour la vie quotidienne, car les programmes actuels ne sont pas adaptés pour ces petites défaillances.
 
« À l’heure actuelle, plusieurs programmes se concentrent sur les différences constatées dans la mémoire et la pensée issues d’études de laboratoire », explique Cindy Lustig, professeure de psychologie et auteure principale de l’étude.
 
Ces absences de mémoire touchent 61 % des personnes de plus de 65 ans et ne sont pas un signe précurseur de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences.