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Un vaccin prometteur contre la maladie d’Alzheimer

Depuis des années, les chercheurs tentent de mettre au point un vaccin contre la maladie d’Alzheimer.
 
Jusqu’à présent, les résultats ont été plutôt décevants, surtout en raison des nombreux effets secondaires indésirables qu’ils causaient. Pour la première fois, on semble voir la lumière au bout du tunnel.
 
Selon The Lancet Neurology, le vaccin actif CAD106 a obtenu un véritable succès sans causer d’effets indésirables sur les humains.
 
Ce vaccin cible la protéine bêta-amyloïde et a déclenché une réponse immunitaire sur 80 % des patients.
 
Rappelons qu’une des théories de la maladie d’Alzheimer est que la protéine en question cause une accumulation sous forme de plaques. En ce moment, il n’existe aucun remède contre la maladie, on peut seulement réduire les symptômes.
 
Des essais cliniques plus importants doivent maintenant être faits avec le vaccin ACD106 afin de confirmer les premiers résultats.
 
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Une nouvelle technique pour diagnostiquer l’Alzheimer

Une nouvelle technologie a été mise au point par des chercheurs pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer à un stade précoce.
 
La nouvelle technologie demande l’injection d’un composé radioactif dans le cerveau des patients.
 
Le composé est le florbetabène. Il se lie aux plaques amyloïdes, qui peuvent ensuite être repérées grâce à l’imagerie médicale du cerveau.
 
L’identification de ces plaques est le seul moyen pour confirmer un diagnostic d’Alzheimer, alors qu’il était seulement possible de le faire après la mort auparavant.
 
200 personnes ont participé à cette recherche qui a comparé les données des personnes de leur vivant, et ensuite après leur décès.
 
Avec le PET scan florbetabène, on détecte les plaques amyloïdes avec une sensibilité de 77 % et une spécificité de 94 %. Les résultats après la mort, pour la sensibilité, ont été de 100 %.
 
Il s’agirait donc d’une méthode simple et non invasive pour diagnostiquer la maladie à un stade précoce.
 
Cette méthode sera présentée lors de la réunion annuelle de l’American Academy of Neurology.
 
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Nouveaux facteurs génétiques liés à la maladie d’Alzheimer

L’atrophie de l’hippocampe est un marqueur biologique de la maladie d’Alzheimer, les chercheurs tentaient donc de trouver l’origine du phénomène pour mieux comprendre la maladie
 
Une équipe internationale de chercheurs est parvenue à découvrir des facteurs génétiques liés à l’atrophie de l’hippocampe, rapporte le Nature Genetics.
 
Les génomes et les imageries cérébrales de 9232 personnes de 56 à 84 ans ont été analysés. Les résultats confirment une réduction du volume de l’hippocampe avec l’âge, mais on a procédé à des analyses pour détecter d’éventuelles associations entre certaines mutations et l’atrophie de l’hippocampe.
 
Des facteurs non identifiés encore déclenchent les mutations génétiques qui provoquent une réduction du volume de l’hippocampe et modifient des gènes importants jouant des rôles majeurs dans la mort cellulaire, le développement embryonnaire, le diabète et la migration neurale.
 
« Cette étude marque un tournant majeur, car elle confirme que des facteurs génétiques sont associés à une structure cérébrale, l’hippocampe, impliquée dans les démences et, d’une façon beaucoup plus générale, dans le vieillissement cérébral », explique Christophe Tzourio qui a dirigé les travaux.
 
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Percée dans la lutte contre l’Alzheimer

Des chercheurs viennent de faire une percée encourageante dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer.
 
Le médicament bexarotène, déjà reconnu comme traitement du cancer de la peau, agirait contre de nombreux effets de la maladie d’Alzheimer.
 
Le bexarotène s’attaquerait à l’accumulation de fragments de la protéine bêta-amyloïde, qui joue un rôle-clé dans l’apparition de la maladie d’Alzheimer.
 
De premiers résultats obtenus sur des souris sont prometteurs. La molécule fait disparaître jusqu’à 75 % de la bêta-amyloïde.
 
Maintenant, on doit confirmer si les résultats seront les mêmes sur les humains. De premiers essais cliniques pourraient être effectués d’ici l’année prochaine.
 
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La maladie d’Alzheimer se propage d’une zone à l’autre du cerveau

Les nouvelles hypothèses se confirment, la maladie d’Alzheimer se développerait à partir d’une seule zone du cerveau et se propagerait ensuite à d’autres.
Selon la revue PLoS ONE, la maladie agit comme une infection. Seulement, c’est la protéine tau qui se propage en étouffant et en détruisant les cellules nerveuses et les neurones. Elle se répand en utilisant les liens entre les cellules cérébrales.
 
En parvenant à bloquer ce processus, on freinerait cette maladie dégénérative.
 
« La meilleure façon de soigner l’Alzheimer pourrait être de l’identifier et de le traiter tout au début pour bloquer sa progression, car aux premiers stades, la maladie est plus sensible aux thérapies. Si nous trouvons le mécanisme par lequel tau se propage d’un neurone à l’autre, on pourra potentiellement empêcher cette protéine anormale de passer d’une cellule nerveuse à l’autre par les synapses en recourant peut-être à une forme d’immunothérapie », explique la Dre Karen Duff.
 
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Nouvel espoir pour la maladie d’Alzheimer

Pour la toute première fois, des scientifiques sont parvenus à créer en laboratoire des cellules endommagées par la maladie d’Alzheimer.
 
Cette première pourra maintenant aider les chercheurs à mieux comprendre comment la maladie affecte le système nerveux et ainsi trouver des traitements plus efficaces.
 
Jusqu’à présent, les recherches ne pouvaient se faire qu’avec des cellules non neurales ou sur un modèle animal.
 
Une équipe de l’Université de la Californie a donc trouvé le moyen de développer un mode de culture de cellules humaines.
 
L’Alzheimer est caractérisée par une perte de neurones et de synapses, ce qui entraîne une perte progressive de la mémoire et des difficultés avec la langue et les émotions.
 
Il n’existe aucun remède pour soigner cette maladie. Le seul traitement offert aux patients est la prise de médicaments qui peuvent ralentir la progression de la maladie.
 
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Les électrochocs pour freiner la maladie d’Alzheimer

Le New Scientist nous apprend que les électrochocs pourraient être utilisés pour freiner la maladie d’Alzheimer.
 
Une petite étude effectuée sur six patients démontre que de petites impulsions régulières au cerveau freinent le rétrécissement de la partie liée à la mémoire.
 
Même si cette technique a été testée sur seulement six personnes pour le moment, les résultats sont étonnants.
 
On note non seulement que le rétrécissement s’arrête, mais que cette partie s’agrandit de 5 % dans un cas et de 8 % chez une autre personne.
 
Jusqu’à présent, certains médicaments peuvent ralentir la progression de la maladie, mais leurs effets s’estompent avec le temps, et l’Alzheimer reprend alors rapidement le dessus.
 
Ce sont des chercheurs canadiens qui ont implanté des électrodes profondément dans le cerveau des patients pour donner de minuscules impulsions 130 fois par seconde.
 
On utilise déjà ce genre de méthode pour soulager les symptômes de la maladie de Parkinson, comme les tremblements et les raideurs.
 
Bien entendu, des études plus vastes sont nécessaires avant de pouvoir recommander les électrochocs comme traitement de l’Alzheimer.
 
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La maladie d’Alzheimer peut faire oublier de manger

Le journal Neurology affirme que la maladie d’Alzheimer peut faire en sorte que les gens oublient de se nourrir. Ce phénomène peut entraîner une mauvaise nutrition et, par conséquent, des problèmes de santé.
 
Selon l’équipe de chercheurs de l’Université du Kansas, les impacts de la maladie d’Alzheimer demeurent complexes. Cela cause des changements dans le cerveau, qui peuvent entrainer une perte de poids, notamment parce que les personnes oublient de manger.
 
Toutefois, la perte de poids pourrait aussi être un symptôme direct de la maladie. Voilà pourquoi les recherches doivent se poursuivre. Il demeure certain qu’une mauvaise nutrition entrainera une mauvaise santé par la suite.
 
Quoi qu’il en soit, un mode de vie sain avec une bonne alimentation et de l’activité physique régulière réduit les risques de développer la maladie plus tard.
 
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Un médicament contre la pression artérielle réduit les risques d’Alzheimer

Un nouveau médicament contre l’hypertension aiderait à réduire les risques de maladie d’Alzheimer de 50 %, selon une étude rapportée par le Journal of Alzheimer’s Disease.
 
Les patients qui sont sur ces médicaments plus récents sont moins susceptibles de développer une forme de démence que ceux qui prennent les médicaments plus anciens.
 
Cette étude ouvre la voie à de nouveaux traitements possibles, bien qu’il reste plusieurs études à faire, en plus des essais cliniques.
 
Les personnes qui souffrent d’hypertension sont reconnues pour avoir plus de chances de développer la maladie d’Alzheimer et d’autres démences, mais certains médicaments peuvent les protéger.
 
Sur les 40 000 personnes de plus de 60 ans avec une pression artérielle élevée qui ont été suivies, le quart avait une forme de démence.
 
Cependant, les personnes qui étaient traitées avec les inhibiteurs ARBs avaient 53 % moins de risques d’être atteintes d’une forme de démence, alors que les patients sur les inhibiteurs ACE avaient 24 % moins de risques.
 
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Vaste étude sur la maladie d’Alzheimer

Une vaste étude québécoise sur la prévention de la maladie d’Alzheimer est sur le point de prendre forme.
 
Pendant dix ans, l’équipe de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, affilié à l’Université McGill, suivra 250 adultes de plus de 60 ans, en santé, mais à risque de développer la maladie. C’est-à-dire qu’ils ont chacun un proche (parents, sœurs, frères) atteint de la maladie d’Alzheimer.
 
On souhaite déterminer des facteurs préventifs de la maladie qui pourraient freiner, ou du moins retarder, l’apparition des premiers symptômes. Cela aurait un impact majeur sur la société et le système de santé.
 
Des imageries cérébrales et des analyses du liquide céphalorachidien seront faites régulièrement au cours de ces dix années.

 

Les personnes qui souhaitent participer à cette étude peuvent appeler au 1-855-888-4485.