Les recherches de spécialistes canadiens avancent à grands pas afin de pouvoir traiter une maladie neurologique qui entraîne des mouvements involontaires et incontrôlables chez les personnes atteintes.
L’étude d’une certaine protéine qui permet la réaction du cerveau vis-à-vis le stress a permis à l’équipe du professeur Ray Truant, du Département de biochimie et des sciences biomédicales de l’Université McMaster à Hamilton, en Ontario, de découvrir comment avoir accès à des cellules, et ainsi pouvoir les contrôler.
Les résultats de cette étude, parue dans le journal britannique Human Molecular Genetics, pourraient permettre la création d’un traitement contre les cellules de la maladie de Huntington.