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Un nouvel analyseur de pleurs de bébé

Comprendre les pleurs de bébé… ne serait-ce pas magnifique? Nous ne sommes apparemment plus si loin de ce qui semblait relever de la science-fiction il y a quelques années à peine, lit-on sur Medical News Today.

Pourtant, des chercheurs de l’Université Brown et de la Women & Infants Hospital du Rhode Island ont mis au point un outil qui le rend possible. L’appareil analyse les différentes acoustiques produites et les compartimente par son, par volume, par silence et par caractéristique de fréquence.

L’intérêt des chercheurs ne date pas d’hier. Ce sont en fait de vieilles recherches des années 1960 qui ont été reprises. À ce moment, le phénomène du « cri du chat » avait attiré l’attention des spécialistes.

La maladie du cri du chat, ou syndrome de Lejeune, est un trouble génétique rare qui est dû à une délétion d’une partie du chromosome 5. Le nom de cette maladie vient du cri monochromatique aigu qui permet son diagnostic. La plupart des enfants atteints décèdent à un jeune âge, et les survivants ont un profond retard mental.

Comme cette maladie est détectable par les cris, on pense que plusieurs autres pourraient ainsi être découvertes très tôt après la naissance d’un bébé, pour ainsi lui offrir un soutien le plus tôt possible.

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Écoles spéciales pour enfants spéciaux

Tel que mentionné sur Parenting Squad, il est important de poser certaines questions selon les besoins spécifiques de votre enfant. Que ce soit un handicap physique, de sévères allergies ou une maladie telle que la fibrose kystique, certaines écoles sont mieux adaptées que d’autres.

D’abord, renseignez-vous sur l’accessibilité. Ce ne sont pas toutes les écoles qui disposent d’une rampe d’accès ou d’un terrain de jeu accessible pour les fauteuils roulants.

Vérifiez le nombre d’élèves par classe. Moins il y en aura, moins un enfant souffrant de troubles respiratoires aura de chance de contracter un virus. En bonus, votre enfant bénéficiera d’une plus grande attention de la part du professeur.

Assurez-vous qu’une infirmière y est à l’emploi tous les jours. En cas de besoin, elle pourra administrer les soins et médicaments de façon sécuritaire et professionnelle.

La propreté, plus difficilement vérifiable, est aussi un facteur très important, surtout pour les enfants vivant avec des allergies et des maladies respiratoires. Plusieurs écoles gardent des animaux-mascottes dans certaines classes. Les oiseaux et les rongeurs sont souvent porteurs de bactéries nuisibles.

Finalement, peut-être y a-t-il un professeur qui est aussi parent d’un enfant qui souffre de la même affection que le vôtre? Informez-vous. Il se pourrait que votre petit puisse profiter grandement d’une personne connaissant parfaitement sa situation.

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Maladie infantile : un moyen de prévenir l’ataxie télangiectasie?

L’ataxie télangiectasie, aussi nommée syndrome de Louis-Bar, est une maladie destructrice qui mène les enfants à perdre progressivement l’usage de leurs jambes, les confiant à un fauteuil roulant avant l’adolescence, et à développer des troubles de l’élocution graves. L’espérance de vie dépasse dorénavant le cap des 25 ans. Un bébé sur 40 000 environ peut en être atteint.

Publiés en ligne dans la revue Nature Medicine, les résultats d’une étude effectuée sur des souris par des chercheurs de l’Université Rutgers démontrent qu’il y aurait sûrement un moyen de prévenir et éventuellement inverser les symptômes les plus débilitants de cette maladie.

De nouvelles informations sur la façon dont cette maladie génétique attaque le cervelet, la coordination, l’équilibre et le tonus musculaire sont ressorties.

Il semblerait qu’une protéine connue sous le nom HDAC4 était au mauvais endroit chez les jeunes adultes décédés de la maladie. Cette protéine, connue pour réguler le développement musculaire, s’est retrouvée dans le noyau de la cellule nerveuse au lieu d’être dans le cytoplasme auquel elle devrait appartenir.

Pour les chercheurs, bien qu’il soit impossible de remplacer les cellules qui sont perdues dans le cerveau, l’étude permettrait de « prendre les cellules qui restent dans le cerveau de ces enfants et les faire mieux fonctionner. Cela pourrait améliorer énormément la qualité de vie de ces enfants », ont-ils affirmé.

Ils ajoutent que si leurs résultats s’avèrent entièrement prometteurs, leur étude pourrait également éclaircir les mécanismes d’autres maladies neurodégénératives, comme l’Alzheimer.

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Les signes vitaux pour déceler les maladies infantiles

Des chercheurs ont établi trois signes vitaux menant à une évaluation claire de la gravité d’un cas. Les maladies infantiles pourraient donc être analysées efficacement et des soins adéquats seraient administrés au bon moment.

Comme expliqué sur EurekAlert, il s’agit du battement cardiaque, de la température corporelle et de la saturation en oxygène. Le modèle a été testé auprès de 873 enfants.

L’évaluation de ces trois signes vitaux serait donc très utile pour déterminer si un enfant doit être admis à l’hôpital ou si son état de santé tendra à se détériorer les jours suivants, par exemple.

Toutefois, leur calcul demeure compliqué lorsqu’il faut le faire manuellement. On prévoit donc une future application pour iPhone qui intègrera ces données, de même que l’âge du patient.

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Avancée majeure quant à une maladie infantile

Une percée génétique a permis de comprendre un syndrome infantile, lit-on dans le New England Journal. La découverte de ce qui cause l’hypercalcémie idiopathique a permis de mettre au point un test pour la déceler.

Rappelons que cette maladie héréditaire consiste en l’incapacité du corps à diviser la vitamine D. Entraînant un taux anormal de calcium dans le sang, ce syndrome se reconnaît par plusieurs symptômes, dont un retard intellectuel.

Le premier test génétique ciblant cette maladie infantile pourrait donc changer beaucoup de choses. Les chercheurs espèrent qu’il sera accessible aux enfants atteints. Cette découverte représente un pas majeur dans la compréhension et le possible traitement de cette maladie.

On estime que 1 personne sur 47 000 souffre de l’hypercalcémie idiopathique. Cela représente 600 Canadiens.