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L’arsenic dans le riz inquiète toujours les spécialistes

On parlait récemment de cette étude qui rapportait la présence d’arsenic dans certains types de riz, les taux retrouvés variant selon la région géographique où la culture du riz est effectuée.

Voilà maintenant qu’une nouvelle étude, rapportée par Medical News Today, fait état d’une inquiétude marquée et profonde de la part de plusieurs spécialistes concernant ce phénomène, spécialement lorsque la consommation de riz d’un individu est forte.

C’est une équipe de l’Université de Manchester qui tient à prévenir les populations d’un risque sur le plan génétique chez l’homme, un risque directement associé à une consommation massive de riz « contaminé ».

On attribue certaines statistiques alarmantes de cas de cancers dans certaines parties du monde à ce genre de problème alimentaire, et les chercheurs britanniques auteurs de l’étude souhaitent voir une meilleure régulation et supervision de la culture et de la vente du riz partout dans le monde.

Plusieurs autres recherches restent à faire dans ce dossier, qui s’avère très inquiétant, avouons-le.

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Les statines pourraient réduire les risques de Parkinson

Les statines font l’objet de débats un peu partout dans le monde, et même au sein de la communauté scientifique. Malgré tout, elles sont reconnues comme un traitement efficace contre des taux de cholestérol trop élevés et sont prescrites abondamment afin de réduire les risques d’AVC.

Même si on ne connaît pas encore le fin mot de l’histoire, une nouvelle étude taïwanaise rapportée par The National Library of Medicine propose un nouvel avantage lié à l’utilisation des statines.

Selon les chercheurs de l’Université Nationale de Taiwan, les statines permettraient une réduction substantielle des risques de développer la maladie de Parkinson, une découverte étonnante et encourageante.

Les auteurs de l’étude croient que les statines solubles sont en mesure de traverser les barrières du cerveau et d’ainsi diminuer l’inflammation et les comportements qui influencent le développement du Parkinson.

« Nous sommes plus que surpris de démontrer cette relation. Notre analyse est observationnelle… et des essais cliniques plus poussés ciblant l’association entre l’utilisation des statines et la maladie de Parkinson sont encore nécessaires », explique en conclusion le Dr Jou-Wei Lin, auteur principal de l’étude.

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Les allergies alimentaires de bébé causées par l’eczéma?

Une récente étude, dont les résultats sont expliqués sur MedicalNewsToday, vient dévoiler un lien entre l’eczéma et les allergies alimentaires chez les bébés.

Les chercheurs du King’s College de Londres et de l’Université de Dundee disent que cette étude, publiée dans le Journal of Investigative Dermatology, ajoute le rôle de la barrière cutanée (protection de la peau) dans ce processus de développement de ces allergies aux preuves déjà établies.

Comme les bébés de 3 mois observés étaient exclusivement nourris au sein, il a pu être établi que la réponse immunitaire était déclenchée via la peau, et non pas par l’estomac comme il était précédemment cru.

Les chercheurs du Medical Research Council et l’Institut national de recherche en santé (INDH) ont constaté que les nourrissons atteints d’une défense cutanée altérée, surtout s’ils souffrent aussi d’eczéma, sont 6 fois plus susceptibles que les autres d’être sensibilisés à une variété d’aliments comme le blanc d’œuf, le lait de vache et les arachides.

Le Dr Carsten Flohr, clinicien chercheur et maître de conférences au King’s College de Londres a déclaré : « Il s’agit d’une étude très intéressante, fournissant une preuve supplémentaire qu’une barrière cutanée altérée et l’eczéma pourraient jouer un rôle clé dans le déclenchement de la sensibilité alimentaire chez les bébés, ce qui pourrait aboutir à l’apparition d’allergies alimentaires. Ça ouvre la possibilité que si nous pouvons réparer la barrière cutanée et prévenir l’eczéma efficacement, nous pourrions aussi être en mesure de réduire le risque d’allergies alimentaires ».

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Autisme : de la mère à l’enfant

Les spécialistes de l’Institut Mind, de l’Université Davis de Californie, ont réussi à mettre le doigt sur des anticorps qui empêchent le cerveau des fœtus de se développer normalement alors qu’ils en ciblent les protéines.

Présentée sur le site de Santelog, cette trouvaille fort prometteuse devrait non seulement permettre un diagnostic précoce de la maladie, mais aussi aider à la mise sur pied d’un éventuel traitement.

Présents dans le sang maternel, ces anticorps seraient responsables de la forme d’autisme de type MAR (Maternal Autoantibody-Related). Les femmes ayant ces anticorps auraient 21 fois plus de risques de donner naissance à un enfant souffrant de cette forme de la maladie.

La transmission se produit alors que les anticorps traversent le placenta pendant la grossesse. Pendant les six premiers mois avant la naissance, ce sont les anticorps de la mère qui règnent dans le sang du bébé. Après ces six mois, le système immunitaire du bébé prend le relais. Les anticorps se mettent alors à attaquer les cellules du cerveau, dont certaines agissent comme antigènes.

Le combat antigènes et anticorps se retourne alors contre l’organisme comme une maladie auto-immune.

La prochaine étape est de concevoir un test de dépistage de l’autisme MAR, et peut-être même un test permettant aux mères ayant déjà un enfant autiste de pouvoir prédire leurs risques d’avoir un second enfant atteint.

spécialistes de l’Institut Mind, de l’Université Davis de Californie, ont réussi à mettre le doigt sur des anticorps qui empêchent le cerveau des fœtus de se développer normalement alors qu’ils en ciblent les protéines.

Présentée sur le site de Santelog, cette trouvaille fort prometteuse devrait non seulement permettre un diagnostic précoce de la maladie, mais aussi aider à la mise sur pied d’un éventuel traitement.

Présents dans le sang maternel, ces anticorps seraient responsables de la forme d’autisme de type MAR (Maternal Autoantibody-Related). Les femmes ayant ces anticorps auraient 21 fois plus de risques de donner naissance à un enfant souffrant de cette forme de la maladie.

La transmission se produit alors que les anticorps traversent le placenta pendant la grossesse. Pendant les six premiers mois avant la naissance, ce sont les anticorps de la mère qui règnent dans le sang du bébé. Après ces six mois, le système immunitaire du bébé prend le relais. Les anticorps se mettent alors à attaquer les cellules du cerveau, dont certaines agissent comme antigènes.

Le combat antigènes et anticorps se retourne alors contre l’organisme comme une maladie auto-immune.

La prochaine étape est de concevoir un test de dépistage de l’autisme MAR, et peut-être même un test permettant aux mères ayant déjà un enfant autiste de pouvoir prédire leurs risques d’avoir un second enfant atteint.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Manger des noix : un bénéfice à tous points de vue

Plusieurs études et analyses ont démontré les bienfaits des noix et leurs effets sur la santé.

Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

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Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Une étude confirme les dangers… de la retraite!

Une vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Aide pour les poumons de bébés prématurés

La DBP est une affection parfois mortelle et fort commune chez les nourrissons prématurés. Les chercheurs de l’Université de Californie, à Los Angeles, se sont penchés sur le problème et ont levé le voile sur les propriétés médicinales de la curcumine de safran.

Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

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Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Hausse du cancer de la peau « des conducteurs »

Coauteure de l’étude parue dans le Journal of the American Academy of Dermatology, la docteure Susan T. Butler avise des dangers sous-estimés de l’exposition au soleil en voiture.

« L’augmentation des cancers de la peau sur le côté gauche du corps pourrait bien s’expliquer par notre exposition aux rayons UV quand on conduit une voiture. »

Quand on apprend que fenêtres latérales des voitures laissent passer 63 % des UVA, on comprend mieux pourquoi il y a un réel intérêt de se protéger. En fait, les chiffres livrés par les dermatologues américains sont effrayants : près de 53 % des cancers de la peau aux États-Unis se développent à gauche, soit du « côté conducteur ».

Le Journal of the American Academy of Dermatology met en garde contre ce danger sous-estimé qui vient des UVA et des UV de grande longueur d’onde, qui sont considérés comme des agents cancérigènes depuis seulement une dizaine d’années.

La meilleure façon d’éviter cette surexposition reste de mettre de la crème solaire avant de partir et de renouveler l’application toutes les 2 heures.

Faites bien attention, certaines crèmes ne contiennent pas de protection contre les UVA et UVB, mais seulement contre un des deux. Assurez-vous que celle que vous choisirez vous protégera des deux types de rayons UV.

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Nouveau traitement pour l’épilepsie

Eisai est heureuse que FYCOMPA (pérampanel), un médicament indiqué comme traitement d’appoint dans la gestion des crises partielles d’épilepsie chez les patients adultes, ait été autorisé par Santé Canada.

Il s’agit d’un médicament visant les gens atteints d’une épilepsie qui n’est pas maîtrisée de façon satisfaisante par un traitement conventionnel.

« FYCOMPA représente une approche novatrice dans le traitement de l’épilepsie et une option dont les patients et médecins canadiens avaient grand besoin », déclarait le Dr Jean-François Clément, spécialiste de l’épilepsie à l’Hôpital Charles-Lemoyne associé à l’Université de Sherbrooke.

« Lorsque FYCOMPA est ajouté à leur schéma thérapeutique actuel, une réduction significative des crises est observée chez les patients. »

Il s’agirait d’une grande victoire pour la communauté épileptique, alors qu’elle célèbre aujourd’hui l’autorisation de FYCOMPA.

« L’accès à de nouvelles options est la clé. Chaque patient répond différemment à un traitement, et notre but en tant que communauté est de nous assurer que les outils soient disponibles, afin que la vie des patients puisse être productive et gratifiante », a souligné Gail Dempsey, présidente de l’Alliance canadienne de l’épilepsie.

Pour plus d’informations : www.eisai.com.

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L’Alzheimer et le cancer ne font pas bon ménage

Le site nbcnews.com offre un article à propos d’une recherche italienne sur les deux maladies.

Le Dr Massimo Musicco, du Conseil national de recherche à l’Institut de technologie biomédicale de Milan, explique : « Le cancer et l’Alzheimer sont vus complètement séparément par les chercheurs. Certaines connaissances que nous avons concernant le cancer peuvent être utilisées pour mieux comprendre la maladie d’Alzheimer, et même chose dans l’autre sens ».

Souffrir d’une de ces maladies minimiserait la possibilité de souffrir de l’autre. « Il existe aussi des données convaincantes voulant que la maladie de Parkinson soit liée à un risque moindre de cancer », a déclaré la Dre Jane Driver, qui étudie le vieillissement à l’Hôpital Brigham and Women de Boston.

Récemment, des données très similaires ont été observées concernant la schizophrénie et l’Alzheimer. « L’étude ne prouve pas la protection d’une maladie par une autre ni que les patients de l’une devraient se juger à l’abri de l’autre. Mais j’espère que ceci convaincra tous les sceptiques qu’il y a une véritable association inverse entre la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et probablement d’autres maladies neurologiques et le cancer », a déclaré la Dre Driver.