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Le café à la rescousse du foie

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le café, qui dévoile un autre bienfait de la boisson réconfortante. Manifestement, les années noires de la caféine sont révolues, et le café est presque unanimement conseillé par les divers spécialistes dans le domaine.

Cette fois, on vante les mérites du café pour ses effets protecteurs sur le foie, qui bénéficierait d’une baisse des risques de maladie grave chez les consommateurs de la boisson chaude.

En provenance de la fameuse clinique Mayo, l’étude a été présentée à la Semaine des maladies digestives, qui se déroulait cette fois à Orlando.

Elle fait état de réduction des risques de maladies reliées à la cirrhose, à l’insuffisance hépatique ainsi qu’au cancer.

Les spécialistes en tête de l’étude, à commencer par le Dr Craig Lambert, croient qu’il s’agit d’une découverte importante, puisqu’ils sont constamment à la recherche d’outils pour prévenir les maladies du foie.

La découverte des bienfaits d’un geste aussi simple et répandu que boire du café est donc une bénédiction pour ces chercheurs.

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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.

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Manger des poivrons réduirait les risques de Parkinson

Manger des poivrons n’est pas un réflexe qu’adopte une majorité de citoyens, avouons-le, mais cette nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine pourrait bien vous convaincre de développer cette habitude.

On rapporte dans ces recherches, publiées par une équipe de chercheurs basés à Seattle, que les poivrons peuvent faire baisser les risques de développer la maladie de Parkinson, notamment grâce… à la nicotine.

Oui, la nicotine, celle que l’on combat si âprement dans cette ère moderne, pourrait bien s’avérer utile pour une fois dans sa vie. Toutes blagues à part, on parle bien évidemment de la nicotine « alimentaire », et l’étude rapportée ici ne constitue certainement pas une raison pour recommencer à fumer!

Mieux vaut donc trouver sa nicotine dans des légumes frais, comme les poivrons et les tomates, suggèrent les experts.

« Notre étude est la première à se pencher sur la nicotine alimentaire et les risques de développement de la maladie de Parkinson. Similairement à plusieurs études qui indiquent que l’usage du tabac réduit les risques de Parkinson, nos découvertes suggèrent également un effet protecteur provenant de la nicotine, mais sans les produits chimiques toxiques, grâce aux poivrons et à la tomate », explique la Dre Susan Searles de l’Université de Washington à Seattle. 

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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Combattre la maladie par la nourriture

Êtes-vous du genre à croire fermement que la nourriture ingérée est capable de protéger de certaines maladies ou encore de favoriser la rémission? Ou croyez-vous que ce genre de raisonnement date des calendes grecques et que les médicaments sont la seule solution aux problèmes de santé ?

Peu importe le camp dans lequel vous logez, vous voudrez sans doute jeter un coup d’œil à cette nouvelle étude sur le sujet, des recherches rapportées par Nutrition News.

Des chercheurs viennent de démontrer que certains aliments, dont la pomme, peuvent non seulement prévenir le développement de certaines maladies, mais aussi en traiter ! Ce serait vrai pour certains cas de diabètes, de haute pression, et même de cancer…

Par exemple, la pomme renferme certains éléments extrêmement bénéfiques pour la santé, tels que les oligosaccharides, qui permettraient de tuer littéralement certaines cellules cancéreuses.

Ces théories seraient notamment observables en ce qui concerne le cancer du côlon, toujours selon les chercheurs.

Donc, il appert que les aliments peuvent véritablement influencer notre état de santé et même contribuer à la guérison, et qu’une pomme par jour ne fait pas qu’éloigner le docteur, mais aussi certaines maladies graves.

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La vitamine E serait une arme redoutable pour lutter contre les troubles liés à l’obésité

L’obésité est un problème en soi et peut occasionner plusieurs problèmes, mais d’autres troubles de la santé peuvent survenir à cause d’une masse corporelle trop élevée.

Notamment des symptômes et maladies que l’on n’associait pas toujours à l’obésité il n’y a pas si longtemps, mais qui sont pourtant encouragés par cet état de fait, par exemple certaines maladies du rein.

Voilà que des spécialistes de la Case Western Reserve University croient pouvoir démontrer que plusieurs problèmes de santé liés à l’obésité, à commencer par ces problèmes aux reins, pourraient être contrés ou prévenus par une consommation accrue de vitamine E.

Cette dernière serait donc très efficace en prévention de plusieurs maladies, rapporte Science Daily, et les chercheurs se réjouissent de ce constat.

La vitamine E peut être retrouvée de façon naturelle dans les huiles végétales, les noix et les grains, les légumes à feuilles vertes ainsi que dans plusieurs céréales fortifiées.

Les conclusions officielles de ces chercheurs américains doivent être dévoilées aujourd’hui (24 avril) lors du congrès annuel de l’American Society for Biochemistry and Molecular Biology.

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Une étape importante est franchie dans le traitement et la prévention du paludisme

Le paludisme est une maladie ancienne tenace qui ne veut tout simplement pas mourir. Si elle est moins connue dans notre coin de pays, elle frappe néanmoins plusieurs endroits sur la planète de façon violente et agressive.

C’est notamment le cas dans plusieurs régions d’Afrique, alors que beaucoup de cas sont encore rapportés, notamment chez les enfants. Le problème devient d’autant plus inquiétant que plusieurs médicaments et traitements proposés deviennent de moins en moins efficaces, la maladie devenant immunisée contre plusieurs d’entre eux.

Il faut maintenant se tourner vers de nouvelles méthodes innovatrices et ingénieuses, un défi relevé par deux Africains.

Ces derniers ont réussi à créer un nouveau savon bien spécial à base de karité, de citronnelle et de quelques herbes, rapporte Top Santé.

Ce savon aurait la propriété de protéger des moustiques porteurs de la maladie, et ainsi de prévenir le risque de la développer.

Les deux inventeurs de ce savon ont remporté un prix pour leur découverte, assorti d’une bourse de 25 000 $. Il s’agit d’une belle avancée dans le traitement du paludisme, un effort spectaculaire qui pourrait venir en aide à des milliers de personnes.

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Une étape importante est franchie dans le traitement et la prévention du paludisme

Le paludisme est une maladie ancienne tenace qui ne veut tout simplement pas mourir. Si elle est moins connue dans notre coin de pays, elle frappe néanmoins plusieurs endroits sur la planète de façon violente et agressive.

C’est notamment le cas dans plusieurs régions d’Afrique, alors que beaucoup de cas sont encore rapportés, notamment chez les enfants. Le problème devient d’autant plus inquiétant que plusieurs médicaments et traitements proposés deviennent de moins en moins efficaces, la maladie devenant immunisée contre plusieurs d’entre eux.

Il faut maintenant se tourner vers de nouvelles méthodes innovatrices et ingénieuses, un défi relevé par deux Africains.

Ces derniers ont réussi à créer un nouveau savon bien spécial à base de karité, de citronnelle et de quelques herbes, rapporte Top Santé.

Ce savon aurait la propriété de protéger des moustiques porteurs de la maladie, et ainsi de prévenir le risque de la développer.

Les deux inventeurs de ce savon ont remporté un prix pour leur découverte, assorti d’une bourse de 25 000 $. Il s’agit d’une belle avancée dans le traitement du paludisme, un effort spectaculaire qui pourrait venir en aide à des milliers de personnes.

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Le poisson-zèbre vient en aide aux humains

Top Santé révèle des études qui dévoilent des faits étonnants concernant le poisson-zèbre, qui pourrait bien venir en aide aux humains sans le savoir.

C’est qu’on attribue à ce poisson des caractéristiques qui permettraient de mieux comprendre certains phénomènes et le développement de certaines maladies chez l’humain, notamment grâce à un génome presque identique à celui de l’homme.

En fait, on estime que le génome du poisson-zèbre est à 70 % similaire au nôtre, selon la plus récente recherche publiée dans la revue Nature.

Les conclusions proviennent de chercheurs de l’Université de Cambridge, qui révèlent que plusieurs chercheurs à travers le monde travaillent déjà avec le poisson-zèbre dans leurs travaux.

Le poisson-zèbre, originaire de l’Inde, serait particulièrement efficace dans la compréhension des maladies génétiques.

« L’idée est d’utiliser un organisme modèle comme le poisson-zèbre pour essayer de voir exactement ce que ces gènes font (…), de passer en revue chaque gène du génome et de regarder ce qu’une perte de fonction provoque chez le poisson », résume le chercheur Ross Kettleborough.

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Viande et santé : les antibiotiques sont-ils à blâmer?

NPR.org rapporte des conclusions révélatrices dans le dossier de la viande et de ses effets sur la santé. Comme vous le savez probablement, les experts suggèrent de limiter la consommation de viandes rouges, et plusieurs maladies et problèmes de santé comme les troubles cardiovasculaires et le cancer sont associés à la viande.

Le hic, c’est qu’il est difficile pour les chercheurs et spécialistes d’expliquer les raisons précises qui rendent la viande si « dangereuse » pour la santé en cas de surconsommation. On sait qu’il y a des risques, mais on ignore véritablement pourquoi…

Voici une théorie inspirée en provenance des États-Unis, publiée dans une étude de la FDA. Pour ces chercheurs, il faudrait peut-être se tourner vers les antibiotiques administrés aux animaux de ferme pour comprendre le phénomène.

Lorsque les éleveurs utilisent massivement ces antibiotiques, cela aurait pour effet de rendre les bactéries comme l’E. coli ou la salmonelle résistante aux traitements éventuels sur les patients qui contractent ces maladies, en plus d’être bien évidemment des éléments inquiétants à retrouver dans son assiette.

Les antibiotiques pourraient-ils aussi expliquer les risques de cancer accrus chez les consommateurs de viandes diverses?

Plusieurs groupes de pression s’indignent du phénomène et accusent les éleveurs d’abuser de ces substances sans aucune considération pour les consommateurs humains.