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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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La calvitie liée aux problèmes cardiovasculaires

Des chercheurs japonais viennent confirmer une théorie lancée il y a quelque temps, à savoir qu’un lien est observable entre la calvitie chez l’homme et d’éventuels problèmes cardiovasculaires.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte cette nouvelle, dans laquelle les chercheurs en tête de l’étude précisent toutefois que ce lien serait vérifiable seulement chez les hommes qui perdent leurs cheveux sur le sommet du crâne.

Une précision étonnante, mais la recherche se base sur l’analyse de six autres études, impliquant au total 37 000 hommes. On peut donc parler de profondeur pour l’étude publiée notamment dans le journal BMJ Open.

Le Dr Tomohide Yamada, de l’Université de Tokyo, rappelle qu’il est difficile d’expliquer ce lien, mais que la résistance à l’insuline, les infections chroniques et une sensibilité à la testostérone peuvent expliquer le phénomène. Ces facteurs sont d’ailleurs tous reliés aux maladies cardiovasculaires.

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les hommes inquiets par ces révélations ne sont toutefois pas sans recours.

On suggère notamment de prendre la chose au sérieux et de se mettre à l’exercice physique, de surveiller son alimentation et de limiter le stress en général.

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L’ostéoporose chez les hommes : un phénomène méconnu

Lorsqu’on parle d’ostéoporose, on pense immédiatement à la femme. Cependant, Top Santé rapporte des propos de spécialistes américains qui veulent sensibiliser la population au problème chez les hommes, qui s’avère bien réel.

Le problème, c’est que les hommes eux-mêmes ignorent souvent qu’ils souffrent de la maladie ou qu’ils sont à risque de la développer. La gent masculine doit donc s’éveiller au phénomène, mais selon le professeur Robert Adler, les médecins aussi…

« Je pense que pour la majorité des praticiens, l’ostéoporose est une pathologie qui ne touche que les femmes. Rares sont les patients hommes à qui l’on propose de faire un test d’ostéodensitométrie, un examen qui permet de mesurer la densité osseuse », explique le spécialiste de l’hôpital pour vétérans de Richmond, aux États-Unis.

Pourtant, les facteurs de risque sont les mêmes, peu importe le sexe de la personne. Notamment, le manque de vitamine D et de calcium, le tabagisme, le vieillissement et l’absence d’activité physique sont des facteurs qui peuvent influencer le développement de la maladie.

Un travail colossal de sensibilisation et de prévention reste donc à faire.

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Conserver sa jeunesse grâce à une pilule ne relèverait plus de la fiction

C’est une nouvelle étonnante que celle rapportée par Top Santé, voulant que des chercheurs aient mis au point un nouveau traitement anti-âge qui semble sortir tout droit d’un livre de science-fiction.

En effet, la « pilule de jouvence » serait bel et bien sur le point d’être proposée par une équipe de chercheurs australiens, qui présentent leurs récentes découvertes dans une étude.

Cette dernière, publiée dans la revue Science, explique qu’une enzyme aux propriétés anti-âge, la SIRT1, a été testée et serait en mesure de ralentir les effets du vieillissement, mais aussi de prévenir certaines maladies et d’assurer une plus grande longévité.

On apprend aussi que cette enzyme est naturellement produite chez l’humain grâce, notamment, à l’exercice physique et un bon régime alimentaire.

« … le principe de ces médicaments n’est pas de traiter une maladie en particulier, mais de pouvoir en prévenir une vingtaine », lance avec optimisme le professeur David Sinclair de Harvard.

Une bien bonne nouvelle qui pourrait se traduire par l’apparition d’une pilule « magique » anti-âge sur le marché d’ici les cinq prochaines années.

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Pourquoi le thé vert est-il conseillé en prévention de l’Alzheimer?

On sait que le thé, notamment le thé vert, est fortement conseillé par divers spécialistes de la santé. Les vertus de la boisson sont désormais bien connues, et sa popularité est grandissante.

On avance d’ailleurs que le thé vert serait excellent pour prévenir le développement de la maladie d’Alzheimer, mais on en sait peu sur le processus qui mène à ce fait.

Santé Log rapporte une étude sur le sujet, qui explique plus en détail les effets du thé vert sur l’organisme.

On comprend maintenant que la boisson contrecarre la formation des plaques amyloïdes caractéristiques de l’Alzheimer. Les éléments actifs du thé vert viennent donc jouer dans les plates-bandes de la maladie, en bloquant ou en nuisant à certaines étapes-clés de la formation de l’Alzheimer.

L’étude des chercheurs du Michigan, publiée dans les Actes de l’Académie des sciences américaine, conseille donc vivement à la population d’intégrer le thé, et le thé vert, à son régime alimentaire.

On accorde au thé vert plusieurs autres vertus santé et thérapeutiques, notamment en ce qui concerne le cancer et sa prévention.

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L’hyperactivité favoriserait les idées suicidaires

L’étude proposée par l’Hôpital pour enfants de Boston émet un constat inquiétant après avoir suivi 232 enfants atteints du TDAH jusqu’à l’âge adulte.

Le principal responsable de la recherche, le Dr Barbaresi, est particulièrement inquiet des résultats, puisque l’échantillonnage a été prélevé sur une population de classe moyenne ayant facilement accès aux soins de santé. Malgré cela, seulement 37 % des enfants participant à l’étude n’ont pas développé de trouble mental additionnel à l’âge adulte.

Le TDAH touche 3 garçons pour 1 fille et atteint plus ou moins 7 % des enfants. Alors que la pensée populaire juge que l’affection est « surtraitée », le Dr Barbaresi pense tout le contraire.

D’une part, le TDAH ne diminue pas nécessairement à l’âge adulte. La recherche démontre que 29 % des jeunes étaient toujours aux prises avec le trouble. Chez 57 % des cas étudiés, un trouble psychiatrique s’est déclaré dès l’âge adulte, ou plus tôt.

Il s’agissait principalement de toxicomanie, de troubles de la personnalité, d’anxiété ou dépression majeure, ou encore d’épisodes hypomaniaques et de suicide.

Le Dr Barbaresi insiste auprès des parents. Il est primordial de maintenir un suivi serré jusqu’à l’adolescence, puis il faut observer de près les signes de toxicomanie, de dépression et d’anxiété, même chez les plus jeunes.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Anastacia reçoit un autre diagnostic de cancer

La chanteuse Anastacia vient de recevoir une bien mauvaise nouvelle : le cancer du sein qui l’affligeait en 2003 est de retour.

C’est le diagnostic reçu par la chanteuse, quelque temps avant que s’entame sa tournée européenne, qui devra maintenant être repoussée afin de lui permettre de se concentrer à combattre la maladie.

L’interprète de I’m Outta Love, 44 ans, déclare : « Je me sens tellement mal de laisser tomber tous mes incroyables fans qui avaient hâte à la tournée It’s a Man’s World Tour. Ça me brise le cœur de les décevoir ».

Un autre communiqué, publié cette fois sur la page Facebook d’Anastacia, stipule : « Maintenant, plus que jamais, elle est déterminée à vivre selon sa philosophie : ne laissez jamais le cancer avoir le meilleur de vous. Une survivante née, Anastacia n’a qu’un but, retrouver le chemin de la santé, une pleine rémission, avec le soutien de sa famille, de ses amis et de tout le monde autour d’elle ».

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La journée internationale des maladies rares : une belle occasion

Le 28 février est la journée internationale des maladies rares, qui devrait permettre à plusieurs personnes de s’unir afin de faire avancer leurs causes respectives, rapporte Santé Log.

Cette journée devient une fort belle occasion pour les intervenants, les spécialistes, les praticiens et les patients eux-mêmes de faire front commun afin de sensibiliser les gens à certaines maladies méconnues ou mal interprétées par le public en général.

La journée internationale des maladies rares en sera cette année à sa 6e édition, et les organisateurs veulent créer des ponts entre les différentes personnes touchées de près ou de loin par ce genre de maladies, pour qu’elles puissent échanger de l’information pertinente à leur cas.

On définit une « maladie rare » par un trouble de la santé ou une affection qui menace la vie ou sa qualité d’un ou plusieurs individus, dans une proportion d’environ 1 sur 10 000.

Près de 8000 maladies et troubles de la santé se qualifient dans cette catégorie, et on déplore que les patients touchés souffrent trop souvent en silence et dans la solitude.

Pour obtenir plus d’informations sur la journée internationale des maladies rares ou sur son organisation, visitez le www.alliance-maladies-rares.org.

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Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.