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Trop de calcium nuirait à la santé cardiaque

Prendre suffisamment de calcium dans un régime alimentaire équilibré, c’est bien. En prendre trop pourrait cependant s’avérer plus néfaste qu’autre chose, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

C’est une étude-analyse des National Institutes of Health qui dévoile cet état de fait, en ciblant particulièrement les suppléments de calcium vendus en capsules.

Selon ces spécialistes, trop de calcium pourrait avoir un impact négatif sur le cœur.

« L’effet d’un supplément de calcium sur le cœur et d’éventuelles maladies cardiaques a toujours été un peu une thèse non prouvée. Il se pourrait que les suppléments fassent dépasser les doses nécessaires et adéquates de calcium dont on a besoin, mais les raisons qui expliquent l’impact d’un trop-plein de calcium sur le cœur demeurent incertaines », explique Howard Sesso de Harvard.

Ce phénomène serait vérifiable chez l’homme, et beaucoup moins chez la femme, apprend-on. Bien que les raisons restent à être éclaircies, les chercheurs croient fermement à cette cause à effet.

On conseille donc d’inclure du calcium à son alimentation, mais de demander l’avis d’un praticien avant de se tourner vers les suppléments.

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Les Québécois n’ont pas le réflexe oméga-3

Les Québécois sont réprimandés dans une nouvelle étude qui dévoile que ceux-ci ne mangent pas assez d’oméga-3, malgré toutes les campagnes vantant et rappelant leurs bienfaits sur la santé et l’organisme en général.

C’est dans le cadre du mois de la santé du cœur, en février, que différents spécialistes tiennent à faire ce rappel. Du lot, l’équipe d’Adrien Gagnon, le célèbre producteur de produits naturels, croit qu’il est important de rappeler aux Québécois que les oméga-3 peuvent améliorer grandement leur santé, et peut-être même leur sauver la vie…

Le constat québécois concernant les risques de maladies ou de problèmes cardiaques fait peur. En effet, on apprend que près de 9 Québécois sur 10 affichent des facteurs de risque cardiaque comme le tabagisme, l’inactivité physique, le surpoids, la haute tension ou encore des taux de mauvais cholestérol trop élevés.

Le résultat est qu’un décès sur trois (Canada) est causé par un problème cardiaque. On recommande donc de commencer l’activité physique et de mieux contrôler ce que l’on mange, mais aussi de veiller à consommer suffisamment de poisson (qui renferme ces fameux oméga-3).

Il est aussi possible de consommer des oméga-3 en suppléments, retrouvés un peu partout en magasin et en pharmacie.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Certains fruits et légumes pourraient protéger de la maladie de Lou Gehrig

Une nouvelle étude laisse croire que certains types de fruits et légumes pourraient prévenir efficacement la maladie de Lou Gehrig, dévastatrice s’il en est une, rapporte The National Library of Medicine.

On parle notamment de ceux riches en antioxydants, ces derniers étant de plus en plus louangés pour leurs propriétés sur l’organisme, notamment dans la prévention du cancer.

Ce sont maintenant leurs effets sur la maladie de Lou Gehrig qui sont observés, indiquent les chercheurs de Harvard en tête de l’étude.

Pour le Dr Alberto Ascherio, professeur d’épidémiologie et de nutrition, en plus d’être coauteur de cette nouvelle étude, il est important de trouver des outils pour contrer cette terrible maladie.

Il explique : « La maladie de Lou Gehrig est une maladie dégénérative dévastatrice qui se développe généralement entre 40 et 70 ans, et affecte davantage les hommes que les femmes. Comprendre l’impact de la nourriture consommée sur ce type de maladie est très important ».

Du nombre donc, on conseille fortement les fruits dits « colorés » comme la mangue et certains légumes comme les épinards et les carottes, pour ne nommer que ceux-là.

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Encore des munitions pour les végétariens

Les végétariens auront de nouvelles munitions pour faire la promotion de leur style de vie, alors qu’une nouvelle étude britannique vient louanger ce régime alimentaire sans viande.

L’étude, rapportée notamment par Radio-Canada, cible cependant particulièrement la santé cardiaque, qui serait grandement améliorée chez les végétariens.

On parle même d’une réduction des risques de développer une maladie cardiovasculaire de 32 %. Un pourcentage très élevé qui prouve encore une fois les bienfaits de ce mode de vie alimentaire.

L’étude en provenance de la réputée Université Oxford, en Angleterre, se base sur une enquête EPIC, qui analysait les cas de près de 45 000 sujets. Après avoir épluché toutes ces données, les conclusions sont sans appel pour le professeur Tim Key.

« Les résultats montrent clairement que le risque de maladies cardiovasculaires est d’environ un tiers plus bas chez les végétariens comparativement aux non-végétariens. »

Il est tout de même bon que chacun fasse ses propres choix alimentaires et ne choisisse pas le végétarisme sans conviction. Par contre, on se rend bien compte de l’impact des viandes (rouges, notamment) sur la santé, à long terme et en grande quantité.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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Avertissement important pour les voyageurs hivernaux

Les amateurs de voyages hivernaux, particulièrement les migrateurs qui se dirigent vers les États du sud lors des froids sibériens québécois, feraient bien de lire ce qui suit.

Radio-Canada rapporte une vague de cas observables de choléra, une maladie ancienne qui semble revenir en force dans certains pays.

Notamment, la République dominicaine connait une escalade de choléra qui laisse certains experts perplexes.

Même chose pour certaines régions situées dans l’est de Cuba, ainsi qu’en Haïti. Cette dernière destination est d’ailleurs populaire ces temps-ci, certaines organisations et agences offrant des forfaits touristiques qui proposent de venir en aide à la population locale, en plus du voyage.

Cependant, loin de vouloir alarmer les voyageurs canadiens, les spécialistes de l’Île-du-Prince-Édouard rappellent que les risques de contracter la maladie demeurent faibles, quoique bien réels.

Même son de cloche du côté des agences de voyages. « On dit la même chose à tous nos clients, peu importe la destination qu’ils choisissent. On les avise, on leur conseille de consulter une clinique de voyage ou le département de santé publique pour avoir des informations à jour concernant les précautions, les vaccins ou les médicaments à prendre avant leur départ ou pendant leur voyage », lance Charline Fortier de Maritime Travel.

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La solitude et la santé

On parle beaucoup des différents facteurs qui peuvent engendrer ou déclencher des problèmes de santé. Même chose du côté de la nutrition, les gens surveillant maintenant tout ce qu’ils mangent, de façon obsessive pour certains.

À passer tout ce temps à analyser et éviter certains de ces facteurs, on oublie trop souvent d’autres caractéristiques qui sont nocives pour la santé, à commencer par le stress… et la solitude.

C’est ce qui ressort des conclusions rapportées par Santé Log, alors que des chercheurs de l’Université d’État d’Ohio et des National Institutes of Health affirment que le stress est non seulement un ennemi à abattre, mais aussi ce qui le déclenche.

Et l’un des plus grands déclencheurs de stress serait la solitude. Les gens qui vivent seuls et qui en souffrent seraient plus enclins à développer certaines maladies. Ainsi, le stress créé par cet état de fait serait une porte ouverte aux ennuis de santé.

Pour parvenir à ce constat, les auteurs de l’étude ont étudié les réponses biologiques de plusieurs sujets, dont certains menaient une vie sociale épanouie, et d’autres une vie d’isolement.

Pour ces chercheurs, les faits sont là : le corps réagit et fluctue bel et bien selon le type de vie sociale d’un individu.

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Les personnes âgées pourraient bien manger ce qu’elles veulent

Une étude parue dans la plus récente édition du Journal of Nutrition Health and Aging, rapportée Santé Log, conclut que les personnes âgées pourraient probablement manger ce qu’ils veulent sans trop de conséquences.

En effet, l’étude des chercheurs de Penn State tend à conclure que le régime alimentaire des individus passés 75 ans n’a que très peu d’impact sur la vie de ceux-ci.

On constate d’abord avec étonnement que la consommation de sucre et de graisses n’aurait plus beaucoup d’impact sur les risques subséquents de maladies cardiaques et autres.

D’autres tests effectués sur des sujets de plus de 75 ans, notamment des régimes et changements alimentaires, n’auraient eu que très peu d’impact sur la perte de poids et la santé des patients en général.

La majorité des 449 personnes âgées analysées dans cette étude n’a vécu à proprement parler aucun changement de bilan de santé, malgré des variations de style de vie.

L’auteur en chef de l’étude explique : « Nous ne savons pas si les participants avaient ces habitudes alimentaires durant toute leur vie d’adulte, mais nous le soupçonnons. Il y a peu d’avantages, sauf affection grave, à priver une personne âgée du plaisir d’un aliment qu’elle aime ».

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Percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer à Québec

Plusieurs médias, dont Santé Log, annoncent ce matin une nouvelle percée en matière de recherche et traitement de la maladie d’Alzheimer.

Cette avancée, qui semble donner un vent d’optimisme dans la communauté scientifique malgré la controverse, s’effectue dans notre cour, au Québec.

Ce sont en effet des chercheurs de l’Université Laval qui sont derrière cette nouvelle fracassante, eux qui auraient réussi à trouver un processus naturel de l’organisme qui permettrait de mieux se défendre contre la terrible maladie dégénérative.

On prétend que cette découverte pourrait paver la voie à un nouveau vaccin contre l’Alzheimer, ainsi qu’à un traitement pour ceux qui en souffrent déjà.

Serge Rivest de l’Université Laval, chercheur travaillant sur le dossier de l’Alzheimer depuis une décennie, explique : « Ce vaccin pourrait être administré aux personnes déjà atteintes pour stimuler leur immunité naturelle. Il pourrait aussi être donné aux personnes qui ne sont pas encore malades, mais qui présentent des facteurs de risques d’Alzheimer. Je crois que nous sommes près du but ».

Voilà des propos stupéfiants et bien rassurants, alors que l’Alzheimer représente toujours une menace terrifiante pour la population vieillissante.