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Le stress et la pauvreté réduiraient l’espérance de vie

www.nlm.nih.gov rapporte une étude fascinante (et désolante à la fois) qui révèle que dans des conditions de stress similaires, les gens plus aisés vivraient plus longtemps que ceux qui sont moins fortunés.

L’étude britannique laisse croire que la pauvreté et le stress forment une combinaison mortelle, une véritable « bombe à retardement ».

Le Dr Antonio Ivan Lazzarino, de l’Université London, y croit mordicus : « Ces gens ont réellement un taux de mortalité plus élevé. Bien plus que l’on pourrait imaginer en associant simplement ces deux facteurs (pauvreté et stress) ».

Ainsi, les gens qui sont à l’aise financièrement échapperaient à cette combinaison mortelle. Si l’on ne peut affirmer que l’argent fait le bonheur, on peut probablement conclure que celui-ci aide cependant à faire passer la pilule du stress.

L’étude a été publiée dans la plus récente édition en ligne des Archives of Internal Medicine et compare les données de plus de 65 00 personnes de 35 ans et plus durant une période de dix ans (1994 à 2004).

Pour les chercheurs à la tête de l’étude, les résultats sont clairs. La pauvreté et le stress forment une dangereuse combinaison.

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Prééclampsie – cause de maladies cardiaques chez les femmes

Selon medpagetoday, il s’agit d’une étude qui a été réalisée en Norvège par le physicien Roly Skjaerven et ses collègues de l’Université de Bergen.

Les résultats démontrent clairement que les femmes ayant été aux prises avec la prééclampsie prénatale (et non postnatale) et n’ayant eu aucun autre enfant sont des sujets fréquents d’AVC. Elles sont également plus à risque de décès.

La recherche a été menée de longue haleine, soumettant les registres de naissance de 836 147 femmes de la Norvège ayant donné naissance à leur premier enfant entre 1967 et 2002. Lors du dernier suivi, en 2009, il s’est avéré que 4,2 % de ces femmes avaient souffert de prééclampsie prénatale.

En plus, parmi ces femmes, 3891 sont décédées de troubles cardiaques, incluant une défaillance du système circulatoire, une crise ischémique ou une maladie cardiovasculaire. Évidemment, il s’agissait principalement de femmes n’ayant eu qu’un seul enfant et ayant eu des troubles prénataux de prééclampsie.

Les mères ayant eu d’autres grossesses par la suite, bizarrement, avaient un taux pratiquement nul de développer des maladies cardiaques plus tard dans leur vie.

Le Dr Skjaerven, à la suite des résultats, affirme que cela aidera grandement à axer les suivis médicaux. « Plutôt que de revoir systématiquement toutes les femmes ayant souffert de prééclampsie et d’effectuer des suivis réguliers, nous devrions considérer celles n’ayant eu qu’une seule grossesse, surtout celles avec prééclampsie prénatale. »

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Un médicament contre le psoriasis pourrait être utilisé dans des cas d’Alzheimer

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte Santelog.com, alors que des chercheurs de Zurich prétendent pouvoir faire un lien entre un médicament utilisé contre le psoriasis et la maladie d’Alzheimer.

C’est que ce traitement pourrait aussi être utilisé pour contrer les effets de la terrible maladie d’Alzheimer, pour laquelle on cherche toujours activement des traitements efficaces.

Ces conclusions ont été publiées dans le magazine Nature Medicine et révèlent que les chercheurs de l’Université de Zurich ont effectué sur des animaux des tests qui leur permettent de croire au double effet du médicament.

De plus, vu la composition du traitement en question (l’ustekinumab, aussi appelé Stelara), ces conclusions vont de pair avec la théorie qui veut que le développement de la démence soit encouragé par un système immunitaire déficient.

Plusieurs autres études et tests seront effectués sur le sujet, mais les données enregistrées sur des souris permettent de croire que ce type de traitement peut « bloquer » la progression de la maladie d’Alzheimer.

Le même processus pourrait aussi s’appliquer sur des patients souffrant de déficience cognitive légère, ce qui s’avère une excellente nouvelle.

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De bons réflexes pour éviter que les enfants tombent malades durant l’hiver

Se laver les mains souvent : Jusqu’à 10 fois par jour, même. Les mains sont vraiment le facteur de transmission le plus important.

Changer souvent la brosse à dents : Dans les salles de bains chauffées, celles-ci peuvent être un réservoir à germes. On les change chaque quelques mois, et impérativement après qu’un des membres de la famille ait été malade.

Ne pas surchauffer la maison : Le chauffage assèche les muqueuses, ce qui les rend vulnérables à l’infection.

Aérer : Lorsqu’il ne fait pas trop froid, on ouvre les fenêtres pendant quelques minutes.

Éliminer le tabac : Pas besoin de commentaires…

Surveiller le taux d’humidité : Il faut un taux d’humidité parfait, ni trop ni pas assez. Utilisez un humidificateur ou un déshumidificateur au besoin.

Couvrir sa bouche avant de tousser ou d’éternuer : Il faut apprendre ceci aux petits très rapidement.

Nettoyer le nez : Les solutions salines sont simples, peu chères (on peut même les faire soi-même) et elles fonctionnent vraiment. Il faut les utiliser deux fois par jour.

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Mangez-vous suffisamment de fibres?

S’il y a quelque chose de pas très glamour au royaume alimentaire, ce sont bien les fibres. Cependant, elles sont si utiles à l’organisme que tout le monde devrait s’interroger à savoir si sa consommation de fibres est suffisante.

Plusieurs études et sondages, en France notamment, démontrent qu’un fort taux de la population en général ne reçoit pas son apport quotidien de fibres nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme. Cependant, on note une certaine amélioration par rapport aux années précédentes.

C’est ce que nous raconte Topsante.com, alors que des sondages démontrent des écarts importants entre les 25 grammes de fibres recommandés quotidiennement et la dure réalité des consommateurs interrogés.

Pourtant, les sources de fibres sont nombreuses et vont de pair avec plusieurs autres aspects essentiels à une alimentation saine. D’une pierre deux coups, donc, lorsque vous mangez des pâtes (complètes), du riz (complet), des légumes (secs), du pain, des biscottes et des céréales (complètes), pour ne nommer que ceux-là.

Peut-être serez-vous plus motivé par les fibres en apprenant que celles-ci peuvent vous protéger des maladies cardiovasculaires, du diabète de type 2 et de plusieurs autres problèmes de santé majeurs.

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Diminuer le nombre de cigarettes fumées par jour aurait bel et bien un impact

En cette ère moderne où le tabagisme est l’ennemi numéro un à abattre, on prône constamment l’importance d’arrêter de fumer. Il n’y a plus de demi-mesure dans les campagnes de publicité ou de sensibilisation : soit vous fumez, soit vous arrêtez.

Mais qu’en est-il de ralentir le rythme? Baisser le nombre de cigarettes consommées par jour ne peut-il pas déjà être un bon début? Si la communauté scientifique est réticente à cautionner ce genre de raisonnement, une nouvelle étude viendrait corroborer la théorie.

Santelog.com rapporte en effet que selon une étude israélienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology, réduire le nombre de cigarettes permet d’augmenter son espérance de vie ainsi que de faire baisser significativement les risques d’accident cardiovasculaire (15 % moins de risque de décès).

Les spécialistes en tête de l’étude, ainsi que plusieurs autres praticiens à travers le monde, s’entendent pour dire que plusieurs patients ne semblent pas être capables d’arrêter de fumer complètement.

Lorsque la dépendance est trop forte ou que l’habitude est ancrée depuis trop longtemps dans les habitudes d’une personne, se concentrer sur le ralentissement (en nombre) de la consommation pourrait bien être mieux que rien.

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La FDA suggère de voir un médecin avant de consommer des boissons énergisantes

Les boissons énergisantes se retrouvent encore pointées du doigt pour certains cas de décès et de maladies, entre autres aux États-Unis.

Cette fois, l’Agence fédérale américaine de l’alimentation et des médicaments, la FDA (www.fda.gov) , n’hésite pas à lancer une alerte ainsi qu’une série de recommandations.

L’une d’entre elles est de carrément consulter son médecin de famille avant de se lancer dans la consommation de ces produits dits énergisants.

Tout ceci fait suite aux récents scandales qui ont éclaboussé la marque de boissons Monster, à qui l’on attribue la faute pour certains décès qui se sont produits récemment.

Cette fois, c’est la boisson 5-Hour Energy qui se retrouve au banc des accusés, alors que cette dernière serait responsable de certains cas de maladies et de morts subites. Plusieurs autres cas d’hospitalisation en lien avec ce produit ont été recensés au fil des dernières années, dans plus de 92 rapports.

Si l’effet de causalité de ces produits n’est pas démontré entièrement, les spécialistes avisent les consommateurs de ne pas prendre ces recommandations (ainsi que l’impact de ces boissons énergisantes) à la légère.

On recommande donc de se tourner vers son médecin et d’essayer de minimiser au maximum l’absorption de ces boissons.

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Les blessures à la tête et les pesticides en cause dans certains cas de Parkinson

Deux facteurs qui n’ont à première vue aucun lien entre eux sont pointés du doigt pour leur rôle possible dans le développement de la maladie de Parkinson, selon www.nlm.nih.gov.

Il semble que ce soit la combinaison de ces deux caractéristiques qui soulève l’inquiétude des spécialistes. En effet, l’exposition à des pesticides, doublée à d’un antécédent de blessure à la tête, serait une porte ouverte pour la maladie de Parkinson.

Selon les chercheurs à la tête de cette récente étude, il n’y a toujours aucune preuve directe de ce qu’ils avancent, mais la compilation des données de plusieurs études précédentes sur le sujet indique une cause à effet possible.

L’historique familial en matière de santé et d’autres facteurs environnants peuvent aussi, et doivent, être pris en considération.

James Bower, un neurologiste de la clinique Mayo, au Minnesota, qui n’a pas participé à cette étude, la commente : « Je crois que nous commençons à réaliser qu’il n’y a pas qu’une seule raison majeure en cause dans le développement de la maladie de Parkinson. Il pourrait y avoir plusieurs chemins qui mènent à l’ultime développement de la maladie ».

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Les antibiotiques, pas toujours la meilleure solution?

www.cdc.gov nous fait réfléchir au choix de traitement concernant certains virus et maladies, insistant sur le fait que les antibiotiques ne sont pas toujours la meilleure solution.

D’entrée de jeu, on nous rappelle que les antibiotiques ne combattent pas réellement les infections causées par les virus comme celui de la grippe. Même chose pour les problèmes de gorges irritées et certaines infections de l’oreille.

De plus, le traitement déficient par antibiotiques peut mener à d’autres problèmes, plus graves cette fois. Il est aussi possible de développer une résistance à ce type de médicament et ainsi nuire à un traitement éventuel dont vous auriez réellement besoin.

Le centre de santé américain propose plutôt de se concentrer à réduire et calmer les symptômes que de tenter d’enrayer un virus par des antibiotiques.

Bien sûr, l’arrivée de l’hiver procurera grippes et rhumes en série aux citoyens des États plus nordiques d’Amérique, mais les spécialistes veulent mettre en garde contre la tentation d’aller vers les antibiotiques, une solution expéditive.

L’avertissement vaut pour les médecins et praticiens qui, selon l’organisme, n’hésitent pas à prescrire de tels traitements, parfois à tort.

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Une forme héréditaire d’Alzheimer détectable rapidement

Santelog.com rapporte que des chercheurs croient pouvoir détecter la maladie d’Alzheimer, dans sa forme héréditaire, chez un patient dès l’âge de 18 ans!

Certains signaux seraient identifiables au cerveau, ceux-là mêmes qui sont à blâmer pour les pertes de mémoire éventuelles, et même la démence.

Ceci permettrait de détecter la maladie très tôt chez un patient, voire quelques décennies avant que les symptômes fassent leur apparition.

C’est en comparant les données relevées lors de tests sanguins et de numérisations du cerveau, entre de jeunes patients porteurs de la maladie et d’autres qui n’en étaient pas atteints, que les chercheurs sont arrivés à ces conclusions.

On a répertorié, chez les jeunes patients atteints, des niveaux plus élevés de l’amyloïde B1-42 dans le sang et dans le cerveau (liquide céphalo-rachidien) que chez les autres. Aussi, des zones différentes du cerveau des patients se sont activées lors de tests de mémoire.

D’autres observations ont été faites, ce qui confirmerait que des différences de structure sont observables chez des patients aussi jeunes que 18 ans. Ceci pourrait aider à prévenir la progression de la maladie, avec une détection précoce.