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Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.

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Quatre habitudes clés pour vieillir en beauté

Intégrer quelques habitudes de vie saines à son quotidien lorsqu’on commence à vieillir pourrait bien augmenter les chances de le faire en beauté, mieux et plus longtemps.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude qui abonde en ce sens.

Et seulement quatre étapes ou habitudes pourraient changer le portrait de votre avenir, et de votre santé. Vous devinez sans doute de quelles habitudes il s’agit, puisqu’on nous les martèle depuis le tournant du nouveau millénaire : l’exercice, cesser de fumer, boire avec modération et manger des fruits et légumes.

Rien de nouveau sous le soleil, mais un simple rappel que ces petits gestes, si parfois agaçants, peuvent vous aider à vieillir en beauté. Cette étude anglaise a suivi 5100 participants, des hommes et des femmes âgés de 42 à 63 ans, sur une période de 16 ans.

Du nombre, 550 sont malheureusement décédés, 950 ont été classés comme « vieillissant bien », et le reste comme « vieillissant normalement ».

Les conclusions sont claires, ces quatre habitudes (exercice, alcool, cigarette et fruits et légumes) peuvent jouer un rôle direct sur votre santé à venir.

L’étude est basée sur des gens de plus de 40 ans, alors si vous êtes plus jeune, ceci vous concerne tout autant. Il est temps de commencer à penser tout de suite à faire quelques changements, pour mettre toutes les chances de votre côté. Plus les comportements sont adoptés tôt, plus ils ont de chance d’être efficaces.

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L’importance de se laver les mains

Les Centres américains de contrôle des maladies (CDC) rappellent aux Nord-Américains l’importance de se laver les mains fréquemment. Il s’agit du meilleur moyen pour contrer la prolifération de différentes maladies.

C’est aussi un moyen fort simple et efficace pour enrayer la propagation de virus comme la grippe commune, qui entame son retour en force avec la saison automnale (et hivernale) à nos portes.

Les CDC proposent aussi une petite liste de suggestions sur les moments à privilégier pour un lavage de mains en règle. On inclut d’abord les moments où vous êtes en contact avec de la nourriture, pendant et après la préparation des aliments, et juste avant de manger.

Ensuite, on suggère de se laver les mains avant et après avoir aidé ou été mis en contact avec une personne malade. Avant de soigner une blessure ou une coupure, puis encore à la fin du traitement.

Bien sûr, on rappelle de se laver les mains après être passé à la salle de bains, mais aussi lorsque vous changez des couches ou aidez votre enfant au cabinet.

Un lavage s’impose aussi après les éternuements et autres gestes ou symptômes de maladies virales comme la grippe, et aussi après avoir touché ou caressé un animal. Même chose pour les tâches ingrates comme sortir les ordures.

Se laver les mains est un geste simple qui peut vous éviter bien des problèmes.

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La consommation de viande et l’asthme

La viande vient de subir un blâme de la part de spécialistes, pour sa collaboration possible dans le développement de l’asthme et de maladies similaires, comme le rhume des foins, affirme une étude rapportée par Lanutrition.fr.

L’étude australienne rappelle que l’asthme est une maladie respiratoire, et que pour ce type de problème, les facteurs alimentaires ne sont que très peu connus. En fait, on pointe souvent du doigt le mode de vie, la pollution et, bien sûr, les gènes.

Ce sont toutes des raisons réelles, mais qu’en est-il du régime alimentaire? Ce que nous mangeons peut-il influencer notre système respiratoire? Les chercheurs pensent que oui, à commencer par la viande.

Après avoir suivi 156 053 adultes âgés de 45 ans et plus ayant connu des problèmes d’asthme et/ou de rhume des foins, et en les questionnant sur leurs habitudes alimentaires, les spécialistes n’hésitent pas à faire le lien.

Donc, le facteur de risque pour ceux qui mangent beaucoup de viande augmenterait de près de 20 %, en comparaison avec les gens qui en mangent moins ou pas du tout.

En contrepartie, on suggère aux patients asthmatiques de manger plus de légumes, jusqu’à deux ou trois portions de plus que ce que suggèrent les guides alimentaires.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Quoi manger pour une santé cardiaque optimale

On parle beaucoup de la santé cardiaque dans les dernières années, et pour cause. En effet, les maladies cardiovasculaires sont les causes de mortalités principales au Canada.

Il est cependant possible de contrer le phénomène en faisant des choix alimentaires et nutritifs intelligents. Alors, quoi choisir et quels sont nos alliés? Voici quelques suggestions.

D’abord, on doit bien sûr parler des matières grasses. Conseilsnutrition.tv conseille d’ailleurs de limiter les mauvais gras et de carrément éliminer les gras trans, par exemple.

Un bon truc est de commencer par troquer le beurre (ou la margarine) pour l’huile végétale en cuisson. L’huile d’olive semble être le choix le plus optimal lorsqu’on veut améliorer sa santé cardiaque.

Lorsque l’on choisit de la margarine (meilleure que le beurre), il faut s’assurer que celle-ci soit non hydrogénée.

Ensuite, il faut éviter de consommer trop de viandes rouges de façon hebdomadaire, et de mettre plutôt l’emphase sur les poissons. Ceux-ci sont une excellente source d’oméga-3, en plus de contenir de bons gras mono-insaturés.

Pour conclure, on suggère de continuer d’ajouter des fruits et légumes abondamment à notre alimentation, entre autres pour leurs apports en antioxydants.

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Découvertes génétiques concernant le Parkinson

La maladie de Parkinson, on le sait, est l’une des plus terrifiantes et dévastatrices. Beaucoup d’argent, de ressources et de mains-d’œuvre sont mis à contribution afin d’en venir à bout, partout dans le monde.

C’est le cas de l’Université de Boston, où des chercheurs travaillant sur ce dossier viennent de publier une étude concernant l’identification de nouveaux variants génétiques associés à la maladie.

Jeanne Latourelle, professeure adjointe de neurologie à l’Université de Boston et coauteure de l’étude avec le Pr Richard H. Myers, explique, dans des propos rapportés par Santelog.com, que des variations dans l’expression de gènes spécifiques dans les risques de développer cette maladie ont été observées.

Ainsi, on pourrait bientôt améliorer les traitements que reçoivent les patients qui souffrent de la maladie de Parkinson. Les médicaments pourraient être mieux adaptés et utilisés, permettant ainsi de voir des résultats concrets sur les patients.

La prochaine étape sera donc de tester ces nouvelles applications sur des modèles d’animaux ou sur des lignées cellulaires, et ainsi déterminer les façons d’améliorer les traitements.

Un brin d’optimisme pour ceux qui souffrent de Parkinson et leurs proches, qui en ont certainement grand besoin.

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La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.

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Un mécanisme de défense naturel pour combattre le SIDA

Les scientifiques étudient et tentent de mieux comprendre pourquoi certains patients semblent être naturellement mieux équipés pour combattre les effets du virus du SIDA, explique nlm.nih.gov.

Certains patients semblent en effet posséder un mécanisme naturel qui combat le VIH, ce qui permettrait aux chercheurs de développer un vaccin efficace.

Pour la plupart des gens, un diagnostic de VIH non traité signifie presque à coup sûr une progression vers le SIDA. Cependant, il appert qu’un patient sur 300, en moyenne, éviterait la progression du VIH naturellement, sans traitement. Ces personnes sont appelées par la communauté scientifique des « contrôleurs élites » (elite controllers).

Ces derniers produiraient une cellule-tueuse qui attaquerait deux ou trois régions du virus. « En se concentrant sur ces régions, le système immunitaire contrôle le virus », déclare le professeur de pathologie David Watkins, de l’University of Miami Miller School of Medicine.

Il poursuit : « Comprendre ce mécanisme pourrait jeter de la lumière sur les manières de développer un vaccin efficace qui enrayerait définitivement la crise mondiale reliée au VIH et SIDA ».

De quoi donner de l’espoir. La prochaine étape consiste à cerner les raisons pour lesquelles ces cellules-tueuses sont si efficaces.

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Les mécanismes de la bêta-amyloïde, liée à la maladie d’Alzheimer

Le site nih.gov publie une étude qui confirme de nouveau le lien entre la protéine bêta-amyloïde et la maladie d’Alzheimer. Les recherches suggèrent cependant qu’un autre mécanisme est aussi un facteur de risque pour les gens plus âgés, combiné avec ce qu’on sait déjà à propos de la bêta-amyloïde.

Il s’agit du gène CR-1, relativement nouvellement connu par la communauté scientifique et associé directement à l’Alzheimer. Ainsi, l’étude démontrerait que les patients possédant la variante de ce gène ont également moins d’amyloïde au cerveau.

« Les hypothèses qui prévalent ont impliqué des facteurs qui augmentent le taux de bêta-amyloïde dans le cerveau, ce qui devient un élément intégral dans l’étude de la pathologie de la maladie », tente d’expliquer le directeur du National Institute on Aging, Richard J. Hodes.

En étudiant des patients âgés sans problème cognitif et en évaluant leur taux de bêta-amyloïde, combiné aux facteurs de risques génétiques, les chercheurs peuvent ainsi mieux comprendre les processus de cette maladie dévastatrice.

On comprend donc maintenant qu’il est possible que le gène CR-1 ne soit pas simplement alimenté par un taux élevé de bêta-amyloïde au cerveau, un indicateur d’Alzheimer, mais probablement par une série de facteurs.

D’autres études doivent s’effectuer pour tenter de comprendre quels mécanismes viendraient contribuer aux gènes à risques de l’Alzheimer.