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Un nouvel allié santé : la canneberge

Un aliment peu utilisé dans les cuisines, la canneberge, aurait avantage à l’être, selon ce que propose topsanté.com.

En effet, il appert que le petit fruit apporte son lot d’avantages pour la santé. Il lutterait d’abord contre les radicaux libres, responsables du vieillissement des cellules, grâce aux fameux antioxydants qu’il contient.

De plus, il protègerait contre les risques d’ulcères d’estomac, de plaque dentaire et de parodontite. Comme la canneberge prévient les bactéries de se coller aux muqueuses, elle protègerait donc également contre les cystites et les infections urinaires.

Ceux qui sont aux prises avec une infection de ce genre sont conviés à consommer 30 centilitres de jus de canneberges par jour (ou 36 milligrammes).

On note aussi ses bienfaits dans la lutte contre le mauvais cholestérol, grâce aux polyphénols contenus dans la petite baie.

Au final, on constate que presque tous les risques de maladies dites « modernes » (diabète, cancer, maladies cardio-vasculaires et rhumatismales, etc.) se voient diminués grâce à l’utilisation quotidienne de la canneberge.

Les façons de cuisiner la canneberge sont nombreuses, ce qui en fait un ingrédient facile à intégrer dans son alimentation, en plus d’être délicieux.

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Encore 400 cas de virus du Nil aux États-Unis

Les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains dénombrent 400 nouveaux cas de patients qui auraient contracté le fameux virus du Nil, dans la dernière semaine seulement, apprend-on sur nlm.nih.gov.

Il s’agit de la deuxième pire vague enregistrée par cette maladie de l’histoire, mais les autorités assurent qu’elle semble vouloir s’estomper. En date du 25 septembre, on répertoriait 3545 cas depuis le début de l’année en cours.

Du nombre, 38 % proviennent de l’État du Texas. Les autres États ayant enregistré les pires hausses sont le Mississippi, le Michigan, le Dakota du Sud, la Louisiane, Oklahoma, et la Californie.

Dans sa pire forme, le virus du Nil peut mener à une méningite ou encore à une encéphalite. Dans sa forme plus douce, elle ressemble beaucoup à la grippe dite traditionnelle, avec des symptômes similaires.

La maladie a été détectée pour la première fois à New York en 1999 et proviendrait de l’Afrique, prétendent les experts dans le domaine.

147 personnes sont décédées des suites du virus, et il s’agit des pires résultats depuis l’épidémie de 2003. Les autorités demandent au public d’être prudent, mais affirment qu’il n’y a pas lieu de céder à la panique.

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Le burnout associé aux risques de crise cardiaque

Le surmenage professionnel pourrait mener tout droit à un infarctus, selon ce que rapporte lanutrition.fr.

D’autres maladies cardiovasculaires pourraient aussi être encouragées par un comportement professionnel excessif.

L’épuisement professionnel, on le sait, se reconnaît par ses symptômes de fatigue émotionnelle extrême, de fatigue physique et certaines difficultés cognitives. Bref, le corps ne répond plus, ou très mal. Il a été établi bon nombre de fois, par plusieurs études, que le surmenage peut facilement mener vers une dépression.

On apprend maintenant qu’il peut tout aussi bien mener à une crise cardiaque, selon une étude effectuée par des chercheurs israéliens effectuée sur 8838 hommes et femmes de 19 à 67 ans. Les patients ont été suivis sur une période moyenne de 3,4 années.

Les résultats sont clairs : les gens qui se surmènent au travail augmentent radicalement leurs chances de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire un infarctus. On parle même de 79 % d’augmentation du risque dans les cas d’épuisement sévère.

Le sport est une arme redoutable pour contrer les effets du surmenage, recommandent les experts. L’activité physique, alliée à un rythme de travail sain, permettrait de faire chuter les risques et de maintenir une bonne santé cardiaque.

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Un coeur en santé simplement en jardinant régulièrement

Une étude britannique, menée par l’University College de Londres, se base sur des résultats obtenus auprès de 4200 volontaires. Ceux-ci ont été suivis sur une période de 11 ans. Ils avaient à l’époque 49 ans.

L’étude a démontré que ceux qui pratiquaient des activités modérées comme le jardinage ou l’entretien de la maison de façon régulière vieillissaient mieux. Ainsi, ceux du groupe qui pratiquaient ces activités 2 h 30 par semaine réduisaient non seulement le risque des maladies du cœur, mais aussi les facteurs de risques reliés notamment au diabète et à l’ostéoporose.

Les résultats de l’expérience ont été relatés dans la revue Circulation, par l’auteur de l’étude, le Dr Hamer. « Il est important pour les personnes plus âgées d’être physiquement actives, parce que cela les aide à bien vieillir ».

Cela s’expliquerait par la diminution des marqueurs d’inflammation causés par la maladie. Ainsi, il n’est jamais trop tard pour bien faire, mais il faut commencer tout de suite!

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Une plante pour mieux traiter les maladies du cerveau

Jusqu’ici, traiter les maladies du cerveau avec des médicaments posait problème. Ces traitements faisaient face à un obstacle de taille, car la barrière hémato-encéphalique freine les médicaments et les empêche d’atteindre le système nerveux central.
 
Des chercheurs de l’Université de Copenhague ont découvert des composés de jonquilles africaines qui semblent forts prometteurs pour faire passer les médicaments dans le système nerveux central.
 
Ces composés transporteurs ont la capacité de franchir la barrière hémato-encéphalique. Ces plantes d’Afrique du Sud, les Crinum et Cyrtanthus, apparentées aux jonquilles, semblent fournir la clé pour surmonter cet obstacle infranchissable dans les traitements neurologiques.
 
« Le plus grand défi dans le traitement des maladies du cerveau, c’est que le principe actif ne peut pas traverser la barrière hémato-encéphalique. Les vaisseaux sanguins du cerveau sont impénétrables pour la plupart des composés. Trouver des composés qui parviennent à franchir cette ligne de défense est donc une étape importante dans la recherche », mentionne le professeur Birger Brodin au Journal of Pharmacy and Pharmacology.
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La solitude augmente les risques de décès chez les aînés

Deux études parues dans les Archives of  Internal Medicine, mentionnent que les personnes âgées qui vivent seules ont plus de 40 % de risques de mourir que les autres.

Lors des évaluations de santé des patients de plus de 60 ans, on recommande donc aux médecins de tenir compte de la solitude des personnes afin de mieux détecter le déclin fonctionnel et la perte d’autonomie.

Pendant plus de six ans on a suivi 1604 personnes de plus de 60 ans. 59 % étaient des femmes, 18 % vivaient seules et 43 % disaient se sentir seules.

Dans la première étude, on a d’abord noté une augmentation considérable des risques de mobilité réduite, de déclin fonctionnel et de décès chez les personnes coincées dans la solitude.

Des facteurs qui sont en plus aggravés selon l’intégration sociale, le mode de vie et la santé physique et mentale.

Chez les aînés, donc, la solitude peut être un facteur prédicateur de déclin et de décès.

La deuxième étude, quant à elle, n’a fait que confirmer les premiers résultats.

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La circoncision contre le sida

Le fait est qu’une étude démontre que plus petite est la taille du prépuce, plus minces sont les chances pour un patient de souffrir du sida plus tard.

C’est ce que l’étude effectuée par le Rakai Health Sciences Program de l’Université Johns Hopkins en Ouganda a permis de découvrir.

Sur plus de 965 hommes non sidéens, ceux dont le prépuce était le plus gros ont été affectés par la maladie en plus grand nombre que ceux dont le prépuce avait une plus petite taille.

La circoncision n’est pas seulement une affaire de religion. Pour certains, elle peut représenter une décision éthique. De plus, certains parents font le choix de circoncire leur gamin pour des raisons d’hygiène.

Rappelons que les risques de cancer de la prostate seraient réduits avec une circoncision. Il est reconnu que certaines infections transmises sexuellement (ITS) peuvent accroître les risques de souffrir d’un cancer de la prostate. La circoncision protègerait de certaines de ces ITS.

En fait, les chercheurs ont constaté que les hommes qui avaient eu une circoncision avant leur première relation sexuelle avaient 15 % moins de chances de contracter un cancer de la prostate.

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Bonne nouvelle pour les enfants épileptiques

Le deux tiers des jeunes atteints d’épilepsie myoclonique juvénile, qui touche les adolescents et les jeunes adultes, finissent par ne plus du tout avoir de symptômes de la maladie. De plus, 30 % d’entre eux pourront cesser tout traitement, selon une étude publiée dans la revue en ligne Epilepsia.

Ces résultats prouvent donc l’efficacité des traitements contre l’épilepsie de longue durée.

En fait, quelques facteurs peuvent prédire que les crises disparaissent. Par exemple, l’enfant peut avoir des crises généralisées au départ de l’épilepsie, qui sont souvent précédées de crises myocloniques et que l’on traite avec une médecine antiépileptique.

Aussi, l’un de ces signes est la rémission ainsi que la fréquence des crises généralisées pendant le traitement.

Cependant, à la fin du traitement, le patient soumis à de brefs éclairs lumineux auquel réagit le cerveau en envoyant des décharges est susceptible de subir d’autres crises dans l’avenir.

Généralement, l’étude a quand même permis de prouver que le traitement antiépileptique à long terme est efficace.

Rappelons qu’une équipe de l’Université Concordia à Montréal a créé une méthode informatisée pour détecter les crises plus rapidement et de façon plus précise. L’algorithme peut vérifier les signaux électriques du cerveau des personnes et déterminer plus clairement quand survient une crise.

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Un bébé prématuré ne doit pas être confronté au stress

Si l’entourage et les parents de bébés prématurés se sentent angoissés, ce n’est rien de comparable à ce que vit le nouveau-né lorsqu’il arrive dans le monde, un environnement souvent « inadapté » pour lui.

Selon Olivier Baud, chef de service de réanimation et pédiatrie néonatales de l’hôpital Robert-Debré : « Si l’enfant prématuré est trop stressé, les connexions neuronales de son cerveau en sont altérées ». Une situation qui peut grandement affecter le développement de l’enfant à moyen terme.

Voilà pourquoi il est important de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière, les gens qui parlent.

D’ailleurs, de plus en plus d’infirmières sont formées pour procurer au bébé le confort dont ils ont besoin et éviter les sources de stress. Elles sont davantage portées à travailler dans le silence, à limiter les prises de sang et à poser des gestes lents et doux, car la douleur presque constante que ressent un bébé prématuré est très perturbante pour lui.

Parmi les autres facteurs qui peuvent provoquer du stress au nouveau venu, les professionnels parlent de la séparation physiologique très déroutante du placenta et des maladies souffrantes induites par la prématurité elle-même.