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Manger du poisson pour prévenir l’Alzheimer

La consommation de poisson et d’autres aliments riches en acides gras et en oméga-3 diminuerait les risques de faire de l’Alzheimer. Les composants huileux qui combattent l’inflammation diminuent les niveaux de protéines particulières qui nuisent à notre santé, les bêta-amyloïdes.

En fait, les protéines forment des amas dans le cerveau des gens souffrant d’Alzheimer, ce qui constitue l’une des caractéristiques principales de la maladie.

Un apport quotidien d’un gramme d’oméga-3 de plus que ce que les gens consomment en moyenne réduit de 20 à 30 % la bêta-amyloïde.

« Même s’il n’est pas facile de mesurer le niveau de bêta-amyloïde déposé dans le cerveau dans ce genre d’étude, c’est relativement facile d’en mesurer le niveau dans le sang, qui est, d’une certaine manière, semblable à celui du cerveau », explique le principal scientifique derrière cette recherche, le docteur Nikolaos Scarmeas du Columbia University Medical Centre de New York.

Les oméga-3 et les acides gras sont principalement trouvés dans des poissons comme le saumon, le maquereau et le hareng. De plus petites quantités se retrouvent aussi dans les noix, dans quelques légumes comme les choux de Bruxelles, ou encore dans les huiles végétales.

Rappelons que le poisson est un aliment qui contribue à la bonne humeur. L’huile de poisson augmente l’acide gras EPA dans le corps, qui fait souvent défaut chez les personnes déprimées.

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Peu d’essais cliniques pour les médicaments pédiatriques

L’asthme, la migraine, la schizophrénie, la dépression, la maladie diarrhéique, les infections respiratoires inférieures, le paludisme, le trouble bipolaire et le sida touchent 60 % des enfants.

Seuls 12 % des essais cliniques qui ont été effectués entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour traiter ces infections « courantes » concernaient l’effet qu’ils pouvaient avoir sur les petits.

Pour la Dre Florence Bourgeois, professeure adjointe à la Harvard Medical School, les essais cliniques pour des médicaments chez les enfants sont importants, car les jeunes ont souvent une réaction différente de celle des adultes.

Dans la revue de l’American Academy of Pediatrics, l’auteure de l’étude dénonce « le montant de la recherche qui est consacré aux essais cliniques pour cette tranche de la population ».

En effet, 58,6 % des essais cliniques réalisés entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour enfants étaient subventionnés par des organisations à but non lucratif, alors que 64,7 % des essais des médicaments pour adultes ont reçu les fonds de l’industrie, affirme la spécialiste, dont les données doivent être encore considérées comme provisoires.

Selon Bourgeois, le manque de financement de l’industrie est l’une des raisons majeures de la carence de tests cliniques pour médicaments pédiatriques. La situation serait encore plus dramatique dans les pays à faible revenu et en voie de développement, là où les recherches sont trop souvent négligées, faute d’argent.

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Les garçons abusés sont moins portés à se protéger sexuellement

Une étude de l’Université de la Colombie-Britannique vient d’être publiée en ligne dans le Journal of Adolescent Health. Elle révèle que les garçons qui ont été abusés sexuellement, alors qu’ils étaient petits, sont cinq fois plus susceptibles de provoquer des grossesses chez les filles, pendant leur adolescence. 

Ils auraient également trois fois plus de chances d’avoir des partenaires sexuels multiples et seraient deux fois plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans protection.
 
Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé 10 séries de données canadiennes et américaines recueillies entre 1986 et 2011. On a fait remplir de façon anonyme des questionnaires par plus de 40 000 étudiants de niveau secondaire en Colombie-Britannique et aux États-Unis.
 
Cette enquête, selon les chercheurs, serait probablement la première à explorer l’impact que peut avoir la violence sexuelle sur le comportement des jeunes garçons.
 
Pour les spécialistes, il serait essentiel que la société (organismes, écoles, etc.) en fasse tout autant que pour les filles et songe davantage à venir en aide à ces garçons qui rarement exposent leur souffrance. Ils conseillent également aux adultes et parents entourant ces garçons de les sensibiliser aux conséquences de relations sexuelles non protégées.
 
En moyenne, il semblerait qu’environ 8 % des hommes et 20 % des femmes en Amérique du Nord soient ou aient été victimes d’abus sexuel.
 
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Un régime riche en protéines est dangereux pour les maladies rénales

Les personnes en surpoids ou obèses qui souffrent d’une maladie rénale chronique peuvent endommager leurs reins si elles adoptent un régime riche en protéines.
 
Une équipe de la Cleveland Clinc a analysé les habitudes de vie de plus de 11 000 personnes obèses.
 
50 % des gens qui ont tenté de perdre du poids avaient adopté le régime riche en protéines, qui consiste à consommer quotidiennement 1,9 g de protéines par kilogramme de poids corporel.
 
Seulement, avec une maladie rénale, on recommande de consommer de 0,6 g à 0,75 g de protéines par kilogramme de poids corporel par jour.
 
Les personnes ayant un surplus de poids sont déjà plus susceptibles de souffrir d’une maladie rénale chronique. Avec une alimentation qui comporte une forte teneur en protéines, leur état peut s’aggraver, rapporte le journal Obesity.
 
Il est donc essentiel que les personnes aient un suivi médical rigoureux pour développer un programme de perte de poids qui préservera la fonction rénale.
 
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Panama ne prend pas de risque

Il semble que ce soit pour le « confort de ses touristes » que l’assurance Seguro al Turista est attribuée gratuitement à tous les touristes étrangers qui arrivent à l’aéroport international de Tocumen, au Panama.

En fait, elle permet à tous les visiteurs, qu’ils soient touristes ou Panaméens résidant à l’étranger, de bénéficier d’une assurance maladie gratuite qui couvre les accidents ou les maladies contractées lors d’un séjour au Panama, le vol de pièces d’identité et tous les frais administratifs en cas d’accident.

Le Quotidien du Tourisme explique : 7000 $ pour une hospitalisation, 2000 $ pour des urgences dentaires, 3500 $ pour une assistance juridique en cas de perte ou de vol de documents ou d’accident, 500 à 1000 $ pour l’achat de médicaments et d’un service d’ambulance aérienne (à hauteur de 40 000 $) sont inclus dans l’assurance Seguro al Turista.

Les visiteurs bénéficient également de franchises pour une hospitalisation, des urgences dentaires, une assistance juridique et l’achat de médicaments.

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La scolarité peut protéger les enfants réfugiés de la maladie

Selon une étude de la Dre Tania Dræbel de l’Université de Copenhague, les enfants réfugiés ont un accès limité aux soins médicaux et sont particulièrement vulnérables à la maladie.

Selon elle, il y a également un lien sans équivoque entre la santé et la scolarisation parmi les groupes de réfugiés.

En plus des sentiments de sécurité, d’espoir et de positivisme que l’école peut faire vivre aux enfants réfugiés, elle peut aussi leur offrir des connaissances multiples sur notamment les soins de santé préventifs et le traitement des maladies.

Ces connaissances médicales de base peuvent leur être utiles quotidiennement, en plus de leur servir pour prendre soin de leur famille, lorsque les enfants seront devenus des adultes.

C’est en se basant sur des données de la guerre du Soudan à partir de 2008 et les risques de malaria que les chercheurs se sont aperçus que les femmes réfugiées qui ont eu accès à l’école, comme les enfants, avaient nettement amélioré leurs chances de survie pour elles-mêmes et leurs propres enfants.

Les femmes qui n’ont jamais fréquenté l’école étaient cinq fois plus nombreuses à être touchées par le paludisme que les femmes ayant une éducation.

La scolarisation, aussi minime soit-elle, des enfants qui sont pris dans un milieu de crise ou dans un camp de réfugiés devrait être donc primordiale.

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La thérapie génétique pour les rétinites pigmentaires

Une fois de plus, la thérapie génétique laisse présager une guérison possible d’une maladie, soit la rétinite pigmentaire. Il s’agit d’une maladie génétique qui conduit à la cécité.
 
D’après la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, les essais menés sur des chiens se sont avérés concluants. Les chercheurs sont parvenus à empêcher l’apparition de la maladie et ont même redonné la vue à certains animaux.
 
La rétinite est causée par le gène RPGR défectueux, qui empêche les cellules de la rétine de bien fonctionner.
 
En utilisant comme véhicule un virus génétiquement modifié pour être inoffensif, on a injecté la bonne version du gène dans la rétine des chiens porteurs de l’anomalie génétique.
 
« Toutes les caractéristiques anormales de la maladie ont été corrigées à la suite du traitement », déclare William Beltran, l’un des chercheurs. « Nous avons été ravis de constater que les cellules traitées étaient devenues parfaitement normales », ajoute un autre chercheur, Gustavo Aguirre.
 
Les similitudes biologiques entre les chiens et les humains laissent espérer que la médecine vient de franchir un pas important vers la guérison de cette maladie.
 
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Diagnostiquer une maladie infectieuse ou en cancer en quelques minutes

Une équipe de l’Université de Toronto travaille depuis des années à créer une machine capable de poser un diagnostic de maladies infectieuses ou de cancer en quelques minutes.
 
Cette réalisation s’approche de plus en plus de sa mise en marché.
 
Une machine, similaire à un lecteur de cartes de crédit, dans laquelle on insère une micropuce contenant un échantillon de sang ou de salive permet de donner un diagnostic d’une infection ou d’un cancer.
 
En fait, la micropuce serait capable de détecter de très petites quantités de biomolécules anormales qui indiquent si la personne est malade.
 
La machine est peu coûteuse, ce qui permettrait une mise en marché très vaste. Celle-ci pourrait se faire dans deux ans si tout va bien.
 
Auparavant, d’autres tests cliniques doivent être faits, et on devra obtenir une approbation pour la mise en marché.
 
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Un manque de vitamine D chez les femmes enceintes et les bébés

Il n’y a pas que les parents qui semblent ignorer qu’une carence en vitamine D peut entraîner une perte osseuse, une altération de la fonction musculaire et une augmentation du risque de chutes et de fractures. Plus de la moitié des professionnels de la santé au Royaume-Uni ne sont pas au courant de l’importance de cette vitamine.

Un quart de tous les bambins au Royaume-Uni manquent de vitamine D, confirment des recherches qui rappellent que la solidité des os commence dès la naissance ou même dans l’utérus.

Des suppléments de vitamine D sont d’ailleurs aussi recommandés pour les femmes enceintes, celles qui allaitent et les personnes âgées.

Le Dr Benjamin Jacobs, pédiatre consultant à l’hôpital Royal National Orthopaedic, décrit la carence en vitamine comme un « problème majeur ».

Il explique qu’il y a environ 100 ans pour contrer le rachitisme, la vitamine D servait à prévenir la maladie, mais a ensuite été éradiquée dans les années 50, car les spécialistes craignaient que les enfants aient un surplus de vitamine dans les compléments alimentaires et l’huile de foie de morue. Une erreur nocive, selon lui.

Heureusement, la plupart des autres pays occidentaux ont continué la consommation de vitamine D au fil du temps.

Les gouttes, les comprimés, les suppléments alimentaires et l’exposition au soleil sont des moyens d’obtenir un taux plus élevé de vitamine D.

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Un test sanguin pour diagnostiquer la maladie de la vache folle

Des scientifiques britanniques ont mis au point un test sanguin qui permet d’identifier la forme humaine de la maladie de la vache folle, soit la maladie de Creutzfeldt-Jakob.
 
Il s’agit d’une étape très importante dans la lutte contre la maladie. Cela permettra de savoir combien de personnes sont infectées et ainsi mettre en place de meilleures stratégies de gestion.
 
Le test sanguin est déjà prêt et permettrait également de faire un diagnostic précoce, et éventuellement traiter la maladie avant qu’elle ne cause des dommages au cerveau.
 
Jusqu’à présent, il n’existe aucun remède à cette pathologie qui cause des trous dans le cerveau, entraînant des problèmes mentaux, une perte des fonctions du corps et éventuellement la mort.
 
Jusqu’ici, le seul moyen d’avoir une confirmation du diagnostic est une biopsie des amygdales ou un échantillon du cerveau après le décès de la personne infectée.