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Vaccins : êtes-vous à votre affaire?

Il semble que les parents manquent parfois d’organisation quant aux différents vaccins que leur enfant doit recevoir. Par exemple, selon ce que nous lisons dans Pediatrics, 1 parent sur 10 ne suivrait pas l’ordre requis dans le carnet de vaccination de son enfant, et ce, aux États-Unis seulement.

Selon les données d’enquête recueillies par l’University of Michigan, des parents seraient en fait portés à suivre leur propre suite de vaccins au lieu de celle recommandée par les instances de la santé.

Tous les enfants devraient recevoir leurs vaccins contre les maladies graves contagieuses, comme la rougeole, la varicelle, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, pour ne nommer que celles-là.

Dans le sondage ici présenté, qui portait au départ sur 748 parents, 28 % ont répondu que les moments de vaccination recommandés étaient les meilleurs à suivre. Et parmi ceux qui ont retardé cesdits moments, 55 % ont attendu que leur enfant soit plus vieux, et 17 % ont refusé tous les vaccins.

En plus d’avoir relevé que 10 % des parents suivaient leur propre organisation des vaccins, les chercheurs ont noté que parmi ceux qui respectaient les règles établies, une importante proportion serait encline à changer pour suivre sa propre organisation.

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Risques insoupçonnés des antibiotiques

On ne pourrait remettre entièrement en cause l’usage des antibiotiques, car ils aident à prolonger la durée de la vie en contrant des maladies. Selon des spécialistes, comme nous le lisons sur MailOnline, leurs désavantages pourraient toutefois s’avérer graves, surtout si l’on en prescrit trop aux enfants.

Les antibiotiques peuvent tout d’abord tuer les bactéries qui combattent justement la maladie. De plus, ils contribuent à la création des « superbactéries », lesquelles peuvent entraîner des problèmes de santé importants.

Parmi ceux-ci, on compte les allergies, le diabète, et ils pourraient même jouer un rôle en ce qui concerne l’obésité.

On a aussi établi un lien entre l’usage important d’antibiotiques et une maladie inflammatoire de l’intestin. Les mêmes inquiétudes s’imposent quant à la prédominance de l’asthme.

En d’autres mots, les changements à long terme qui sont causés aux bonnes bactéries pourraient augmenter les risques de contracter certaines maladies et infections.

Toutefois, les spécialistes s’entendent pour conseiller la prescription d’antibiotiques aux personnes qui sont vraiment malades et qui ne peuvent en guérir autrement.

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Une innovation pour réduire la mort infantile

Les preuves semblent concluantes quant à l’efficacité du moniteur Heart Rate Observation System (HeRo®), lequel représente une innovation majeure dans le suivi des enfants nés prématurément.

Il permet de détecter les premiers signes de détresse chez le bébé, lesquels sous-entendent très souvent une maladie grave ou une infection.

Une étude longitudinale ayant porté sur plus de 3 000 bébés prématurés a démontré que d’être suivi avec le HeRo® réduisait les décès de plus de 20 %. Cela revient à garder en vie 1 enfant sur 48, parmi ceux qui sont suivis.

En résumé, ce moniteur fournit chaque heure un relevé numérique qui note les données anormales quant au battement cardiaque du jeune patient. On reconnaît donc un nouvel outil dans le diagnostic et dans la prise de décisions médicales.

Les résultats complets portant sur les nouvelles données du moniteur HeRo® sont parus récemment dans le Journal of Pediatrics.

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La vitamine A sauverait des enfants

On connaît les bienfaits de la vitamine A sur la santé, mais l’alimentation de trop d’enfants n’en contient pas suffisamment. Chez ces derniers, la prise de suppléments pourrait prévenir la maladie, voire la mort.

Une étude sur le sujet, laquelle vient de paraître sur BMJ, prône que les enfants vivant dans un pays à faible ou moyen revenu devraient recevoir des suppléments pour contrer une déficience en vitamine A.

C’est que le manque de ce nutriment peut mener à de graves problèmes de santé. Les enfants qui vivent une telle situation sont plus vulnérables à la diarrhée et à la rougeole, et cela peut même mener à la cécité. Un état grave peut finalement se solder par un décès.

L’Organisation mondiale de la santé estime que 190 millions d’enfants âgés de moins de 5 ans souffrent en ce moment d’une déficience en vitamine A. Le sujet étant très documenté, on attend l’initiative des grands décideurs pour contrer ce grave problème de santé infantile.

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Améliorez la défense immunitaire de votre enfant

Bien que le bébé soit très protégé des agressions extérieures durant la grossesse, il se retrouve très fragile aux maladies après la naissance et durant sa croissance. Le système immunitaire des enfants n’étant pas aussi fort que celui des adultes, il est important de le renforcer.

Lifemojo propose quelques conseils aux parents qui souhaitent améliorer le système immunitaire de leur enfant.
 
Après que le bébé ait été nourri uniquement au lait maternel durant ses six premiers mois de vie, il est recommandé qu’il lui soit offert beaucoup de fruits et de légumes frais.
 
Les antioxydants et la vitamine C qu’on y retrouve seront bénéfiques pour son immunité. Bien sûr, on évite le plus possible la restauration rapide et les mets préparés.
 
On doit adopter de saines habitudes de vie dès l’enfance; introduisez votre enfant dès que possible à l’exercice physique. Cela aidera aussi son système immunitaire à se renforcer.
 
Le sommeil fait aussi partie des conseils préconisés, car un manque fait baisser la réponse immunitaire. On rappelle que les enfants d’âge préscolaire devraient dormir de 12 à 13 heures par nuit, et les nouveaux nés 18 heures.
 
Finalement, on n’oublie pas la place importante que représente l’hygiène. On apprend donc à notre enfant de se laver les mains après chaque passage aux toilettes et avant chaque repas. On pense aussi à changer régulièrement sa brosse à dents, car elle peut contenir des germes.
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Bien que le bébé soit très protégé des agressions extérieures durant la grossesse, il se retrouve très fragile aux maladies après la naissance et durant sa croissance. Le système immunitaire des enfants n’étant pas aussi fort que celui des adultes, il est important de le renforcer.

Lifemojo propose quelques conseils aux parents qui souhaitent améliorer le système immunitaire de leur enfant.
 
Après que le bébé ait été nourri uniquement au lait maternel durant ses six premiers mois de vie, il est recommandé qu’il lui soit offert beaucoup de fruits et de légumes frais.
 
Les antioxydants et la vitamine C qu’on y retrouve seront bénéfiques pour son immunité. Bien sûr, on évite le plus possible la restauration rapide et les mets préparés.
 
On doit adopter de saines habitudes de vie dès l’enfance; introduisez votre enfant dès que possible à l’exercice physique. Cela aidera aussi son système immunitaire à se renforcer.
 
Le sommeil fait aussi partie des conseils préconisés, car un manque fait baisser la réponse immunitaire. On rappelle que les enfants d’âge préscolaire devraient dormir de 12 à 13 heures par nuit, et les nouveaux nés 18 heures.
 
Finalement, on n’oublie pas la place importante que représente l’hygiène. On apprend donc à notre enfant de se laver les mains après chaque passage aux toilettes et avant chaque repas. On pense aussi à changer régulièrement sa brosse à dents, car elle peut contenir des germes.
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Asthme mal soigné : les répercussions

Lorsqu’un enfant n’est pas suivi adéquatement quant à son asthme, les conséquences sont nombreuses. Selon une recherche de la National Jewish Health, les coûts relatifs à la santé sont doublés dans le cas de cette maladie.

De plus, l’enfant asthmatique qui n’est pas bien soigné sera plus enclin à être absent de l’école, ce qui va à l’encontre de sa réussite scolaire. On parle ici d’une moyenne de 18 jours d’absentéisme par année, contre 2 jours pour les autres patients asthmatiques.
 
Cette étude a été faite auprès de 628 enfants qui souffraient d’un asthme sévère ou difficile à soigner. Les sujets étaient divisés en trois sous-groupes, soit : très pauvrement suivis, pas très bien suivis et bien suivis. Ils étaient âgés de 6 à 12 ans.
 
Semble-t-il que c’était la première fois que l’on se penche sur les coûts engendrés par un traitement efficace ou non de l’asthme.
 
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’édition d’août 2011 des Archives of Allergy, Asthma & Immunology.
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Tests génétiques : pour ou contre?

Plusieurs voient d’un mauvais œil les tests génétiques effectués sur de jeunes enfants. On s’inquiète notamment sur les impacts psychologiques qu’ils pourraient avoir.

Pourtant, on lit dans le Journal of Pediatric Psychology un autre avis sur le sujet. Une chercheuse de l’University of Michigan, Dre Beth A. Tarini, y présente les avantages d’un tel recours.
 
Mentionnons tout d’abord que les appréhensions que nous connaissons ne sont pas basées sur des données empiriques, mais sur des perceptions et des hypothèses.
 
D’un autre côté, on rappelle que l’usage de ces tests génétiques permet de prévoir le développement de certaines maladies graves. Le diagnostic précoce de ces dernières permet très souvent des interventions hâtives qui ont des effets très positifs sur la santé des enfants atteints.
 
La détection durant l’enfance du possible développement d’une maladie génétique permet aussi de prendre les bonnes habitudes quant à sa situation, plus tôt dans la vie.
 
Malgré tout, Dre Tarini souligne que le recours à des tests génétiques peut effectivement entraîner, dans le cas où un enfant est avisé des résultats, une baisse d’image de soi et une détresse psychologique.
 
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La bronchiolite aggravée par la fumée du tabac

Il n’est pas surprenant de constater que cette maladie infantile, infection importante des poumons, soit aggravée de façon significative par l’exposition à la fumée du tabac. Medical News Today rapporte les résultats d’une étude effectuée par l’Université de Liverpool.
 
La recherche a été menée auprès d’enfants de Liverpool étant admis à l’Hôpital pour enfants Alder Hey avec un diagnostic de bronchiolite. La démographie socio-économique de Liverpool comprend de nombreux secteurs malfamés et certains où la consommation des produits du tabac est très élevée. Néanmoins, les secteurs de pauvreté ne sont pas les seuls où les fumeurs se retrouvent en forte concentration.
 
Ainsi, les enfants provenant de ménages fumeurs, sans égard au statut social, ont subi beaucoup plus de complications reliées à la maladie. Ces nourrissons nécessitent une thérapie par oxygénation et sont 5 fois plus enclins à subir l’assistance d’une ventilation mécanique.
 
Le docteur Calum Semple, de l’Institut de santé pour enfants, confirme la donne : « L’exposition à la fumée du tabac est un facteur qui peut être prévenu, d’autant plus que non seulement il augmente la sévérité de la maladie, mais il peut aussi la causer, tout simplement. »
 
Pour les spécialistes de Liverpool, cette recherche apporte la première évidence probante que les problèmes de santé des nourrissons ne sont pas nécessairement associés aux conditions sanitaires des familles démunies.
 
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Un nouveau test néonatal pour une maladie rare, mais fatale

Sur femmesmag.com, on apprend que le Plan national des maladies rares de la Haute Autorité de Santé (HAS) inclura fort probablement le dépistage du déficit en MCAD. Cette maladie rare affecte le métabolisme, qui est incapable d’utiliser les graisses à titre de source énergétique.
 
Le dépistage néonatal est déjà en vigueur et réglementé pour les 5 maladies rares suivantes : la phénylcétonurie, l’hypothyroïdie congénitale, l’hyperplasie congénitale des surrénales, la drépanocytose et la mucoviscidose. Il s’agit d’un prélèvement d’une goutte de sang au talon du nouveau-né, dès le 4e jour de naissance.
 
Le MCAD est la plupart du temps mortel en l’absence de traitement, bien que ce dernier soit fort simple, ne nécessitant que quelques règles alimentaires spécifiques. La problématique réside dans le fait que les symptômes sont complètement absents chez le nouveau-né et se déclarent toujours lors du jeûne, qui indique un manque énergétique à l’organisme.
 
En ajoutant cette maladie rare au dépistage néonatal, c’est plus de 75 % des décès qui seraient évités. Plusieurs associations françaises ont pris d’assaut la HAS afin d’encourager l’inclusion du déficit en MCAD. La méthode nécessite néanmoins une expertise et un investissement important en matériel médical, en plus de la formation des intervenants.
 
Il s’agit d’un premier volet d’évaluation pour améliorer l’étendue du test néonatal. Un second volet d’analyse sera également proposé bientôt.