Catégories
Uncategorized

Les hallucinations auditives de la schizophrénie démystifiées

Une percée intéressante aurait été effectuée par des chercheurs en matière de schizophrénie, alors que ceux-ci seraient parvenus à mieux comprendre et démystifier les hallucinations auditives qui découlent parfois de la maladie.

Les spécialistes américains du St. Jude Children’s Research Hospital se sont attardés à ce symptôme des plus étonnants et terrifiants, et seraient parvenus à établir une cause physique au phénomène, selon ce que rapporte Top Santé.

Après analyse, les chercheurs estiment que ces hallucinations pourraient être le résultat de l’absence d’un gène chez les patients souffrant de schizophrénie. Ce gène manquant impliquerait des transformations chimiques cérébrales et réduirait le flux d’information, en plus d’altérer le traitement normal des informations auditives par le cerveau.

« Nous pensons qu’en réduisant le flux d’informations entre ces deux structures cérébrales qui jouent un rôle central dans le traitement d’informations auditives, on peut réduire l’état de stress et les autres facteurs associés qui déclenchent les voix, qui sont le symptôme psychotique le plus courant de la schizophrénie », estime Stanislav Zakharenko, coauteur de la recherche.

Il s’agit d’une percée des plus intéressantes et prometteuses, dans la quête de traitements plus performants pour soigner les patients schizophrènes.

Les résultats de l’étude américaine ont été proposés dans le magazine Science.

Catégories
Uncategorized

L’autisme et l’épilepsie, deux maladies interreliées

Selon un éditorial publié par le Dr Megdad Zaatreh, neurologue certifié et directeur du Comprehensive Epilepsy Center, les crises épileptiques sont des courts-circuits atteignant les fonctions neurologiques du cerveau responsables des schémas de socialisation.

Il se trouve que ce sont les mêmes fonctions qui sont altérées dans les cas de trouble du spectre autistique (TSA), indique Science World Report. Cela comprend la diminution marquée du contact visuel et les cycles comportementaux répétitifs.

Jusqu’à présent, les conséquences des crises épileptiques sur la gestion du comportement et de la socialisation sont trop peu diagnostiquées.

La recherche démontre que plus les crises d’épilepsie sont fréquentes, plus l’impact social est grand.

« Le taux le plus élevé d’incident épileptique se produit pendant la première année de vie, alors que beaucoup de nouveaux parents interprètent mal les symptômes physiques », a noté Zaatreh.

« Chaque année, 150 000 enfant et adolescents aux États-Unis souffriront d’une crise, et 30 000 recevront le diagnostic d’épilepsie après plusieurs crises. »

Si vous avez le moindre doute, Dr Zaatreh recommande fortement de consulter votre pédiatre.

Catégories
Uncategorized

Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

Catégories
Uncategorized

Diabète : Deux repas pour freiner la maladie

Consommer deux repas bien construits quotidiennement pourrait s’avérer une meilleure stratégie que plusieurs petits repas étalés au cours de la journée pour les personnes souffrant de diabète de type II, selon une nouvelle étude.

C’est un groupe de spécialistes de République tchèque qui proposent cette conclusion, rapporte Top Santé, après avoir effectué des tests alimentaires sur deux groupes de sujets tests.

Le premier groupe consommait six repas divisés en petites portions par jour, alors que le second groupe avalait deux repas soutenus, le matin et le midi.

Après l’essai de trois mois, les sujets du deuxième groupe affichaient des taux de glycémie plus intéressants, en plus d’avoir perdu du poids. Ce groupe rapporte aussi ressentir une plus grande satiété que celui qui avait le « droit » de manger toute la journée.

Ce type de philosophie alimentaire semble par ailleurs s’appliquer à tout le monde, mais avec trois repas, alors que plusieurs études estiment qu’il est préférable de manger de « gros » repas à heure relativement fixe, mais sans collations quotidiennes.

D’autres études seront effectuées pour analyser les impacts de ce style de vie chez les personnes souffrant de diabète de type II.

Catégories
Uncategorized

Une étude estime que certains antidépresseurs peuvent ralentir l’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer pourrait-elle être freinée dans son développement par certains types d’antidépresseurs? Voilà la question qui se pose à la suite du dépôt d’une nouvelle étude sur le sujet.

L’étude en question, par ailleurs rapportée par The National Library of Medicine, constate que certains types de traitements contre la dépression semblent capables de limiter les niveaux de protéines responsables du blocage cérébral observable chez les patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Le traitement mentionné dans cette étude préliminaire est le Celexa, qui possède plusieurs descendants du genre de la même famille. Quelques options sont possibles, donc, selon les chercheurs de l’Université de la Pennsylvanie à la tête de cette recherche.

« C’est le premier pas dans l’effort de se diriger vers un traitement préventif. Jusqu’à maintenant, les spécialistes ont concentré leurs efforts sur le traitement de l’Alzheimer en soi, mais il semble que ça se produit trop tard », explique la Dre Yvette Sheline, auteure de l’étude.

Des propos rassurants dans le dossier de l’une des maladies les plus terrifiantes, alors que la recherche se poursuit de plus belle.

Les conclusions de la Dre Yvette Sheline et son équipe ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.

Catégories
Uncategorized

L’odorat et la santé

Le sens olfactif peut-il jouer un rôle ou être lié au développement de problèmes de santé? C’est l‘énigme que tente de résoudre un groupe de chercheurs qui publie une nouvelle étude sur le sujet, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’INSERM ont créé une carte olfactive qui décrit les récepteurs se retrouvant dans les narines de l’humain, et tentent d’en apprendre davantage sur ce sens plus méconnu et ses impacts sur l’organisme.

« Nous savions que pour une odeur donnée, plusieurs individus évoquent des notes odorantes différentes, plus ou moins fruitées, agréables… Nous suspections donc qu’une molécule odorante pouvait se lier à plusieurs récepteurs olfactifs avec l’un d’entre eux majoritaire », explique d’abord le coauteur de l’étude, Olivier Taboureau.

L’équipe de l’INSERM pousse son raisonnement plus loin et souhaite confirmer un possible lien entre la modification de ce sens et certaines maladies, comme l’Alzheimer, possiblement.

« Ce travail, assez fondamental à ce stade, permet de mieux comprendre le fonctionnement du système olfactif et permettra, sans doute, dans un second temps de décrypter les mécanismes associant certaines maladies et l’odorat », résume M. Taboureau.

Bien que ces travaux ne proposent que des explications sommaires, il s’agit de belles avancées en la matière. Plusieurs spécialistes estiment que l’odorat cache des particularités et des capacités qui peuvent influencer la santé d’un individu.

Catégories
Uncategorized

Un mariage exigeant pourrait causer un décès prématuré

Se faire « écoeurer à mort » par son ou sa partenaire de vie prend tout son sens lorsqu’on prend connaissance d’une nouvelle étude sur les impacts d’un mariage exigeant.

Il appert, selon l’étude rapportée par le Daily Mail (UK), que les personnes qui se font constamment harceler, agacer ou exiger des choses de la part de leur partenaire voient leurs chances de mourir plus jeune monter en flèche.

Le stress d’une telle relation pourrait d’abord affecter le système immunitaire, selon les chercheurs de l’Université de Copenhague en tête de l’étude, et ainsi paver la voie au développement de certaines maladies.

Les risques de trouble cardiaque, de cancer, de dépendance à l’alcool et de suicide sont également largement influencés par le niveau de stress observable au sein d’un mariage ou d’une relation à long terme.

Après avoir étudié les relations de 9875 hommes et femmes, les chercheurs menés par le Dr Rikke Lund estiment que les hommes sont plus souvent touchés par le phénomène, puisque moins enclins à partager leurs émotions à l’extérieur du couple.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Catégories
Uncategorized

Une étonnante banque de cerveaux

Radio-Canada, par l’entremise de Michel C. Auger, rapporte et dévoile les détails de la création d’une banque de cerveaux, un projet étonnant qui pourrait faire grandement avancer les progrès de la science et la compréhension du cerveau humain.

Située au Québec, plus précisément à l’Institut Douglas de Verdun, la banque de cerveaux dont il est question comprendrait plus de 3000 cerveaux offerts à la science. Les spécialistes croient que ce genre de projet permettra de mieux comprendre certaines maladies mentales, et d’en apprendre davantage sur le suicide, notamment.

« C’est impressionnant, franchement », lance l’invitée de Michel C. Auger à l’émission15-18, Tamara Altéresco.

Cette dernière a pu visiter les lieux et rencontrer la coordonnatrice de la banque de cerveaux montréalaise, Mme Danielle Cécyre, qui explique que de sérieuses recherches sur le suicide et les troubles dépressifs sont possibles grâce à cette initiative et aux gens qui décident de léguer leur cerveau « à la science ».

Mme Cécyre rappelle du même coup qu’un formulaire doit être dûment rempli afin de céder son cerveau aux chercheurs à la suite de son décès, et que la section au dos de la carte d’assurance-maladie ne couvre pas ce don.

D’autres banques de cerveaux existent ailleurs dans le monde, mais le phénomène demeure assez rare.

Catégories
Uncategorized

La consommation de fer peut augmenterait les risques de maladies cardiaques

Une étude vient renforcer le lien établi entre la consommation de viande rouge et la hausse des risques de maladies cardiaques, rapporte MedicalNewsToday.

Se concentrant sur la consommation de fer, l’étude en provenance de l’Université de l’Indiana trace un parallèle évident entre celle-ci et les risques de décès à la suite d’un problème coronarien ou cardiovasculaire.

On parle même d’un risque accru de 57 % chez les grands consommateurs de viande, rapporte cette même source, alors que l’on peine à établir un tel parallèle avec le fer retrouvé dans les sources végétales.

Il est également étonnant d’apprendre que le fer se stocke dans le corps de telle manière qu’il est presque impossible de l’éliminer. Donner du sang serait l’une des seules options possibles. La consommation de café pourrait cependant empêcher ou ralentir l’absorption du fer dans le sang.

L’étude confirme donc une nouvelle fois que la consommation de viande rouge doit être modérée, et qu’il est préférable de se tourner vers des options végétales dans les choix alimentaires

Cette nouvelle étude a été publiée dans le Journal of Nutrition.

Catégories
Uncategorized

L’explication des bienfaits du chocolat noir

Le chocolat, particulièrement le noir, est de plus en plus apprécié par les spécialistes en santé et au sein des études qui sont publiées en nutrition.

Notamment vanté pour ses capacités à protéger le cœur et de certaines maladies, le chocolat noir possède plusieurs qualités indéniables, s’accordent pour dire une majorité d’observateurs.

Entre autres, le chocolat noir possède une part importante de flavonoïdes, une substance naturelle qui permet la prévention de certaines maladies. D’accord, mais comment expliquer en clair ces bienfaits sur la santé?

Parce que le système digestif est incapable de le tolérer, répond le New York Times, qui rapporte de nouvelles études sur le sujet.

Des études en provenance des universités de Louisiane et Virginia Tech démontrent qu’une grande portion du cacao ingéré n’est tout bonnement pas digéré, et qu’il se disperse ensuite sous la forme de minuscules métabolites capables de s’intégrer au sang, notamment.

L’effet du cacao et de ses flavonoïdes est alors optimal, puisque non digéré de la même façon que plusieurs autres aliments par l’organisme.

Les chercheurs de Virginia Tech, qui publient ces résultats dans le The Journal of Agricultural and Food Chemistry, rappellent toutefois que le « cacao » n’est pas une « barre de chocolat », et qu’il est préférable de se le procurer dans ses formes les plus pures avant de l’intégrer à son alimentation.