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Les bébés de mères en surpoids sont plus à risque de faire de l’athérosclérose

Des chercheurs australiens ont étudié le cas de 23 femmes enceintes, âgées de 35 ans en moyenne, qui en étaient à plus ou moins 16 semaines de grossesse. Leur indice de masse corporelle a été calculé. Celui-ci était de 26 en moyenne, ce qui correspond à un embonpoint léger.

Tous les bébés sont nés à terme, et leur poids moyen à la naissance était de 3,3 kilos (7,3 livres). Les bébés ont subi une échographie durant la première semaine de leur vie, ce qui a permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de leur aorte, l’artère la plus importante du corps humain.

Dans les pays industrialisés, environ 60 % des femmes en âge d’enfanter ont un surplus de poids ou sont obèses, et les chercheurs avaient émis l’hypothèse que ceci pouvait avoir un impact sur le développement éventuel de maladies cardiaques chez leurs enfants.

Les bébés nés de mères avec un surplus de poids avaient une aorte plus épaisse de 7 mm par rapport aux bébés nés de mères de poids normal. Ce chiffre semble minuscule, mais a été considéré comme très significatif pour les chercheurs.

Ceux-ci ont expliqué que l’épaisseur de cette artère était le signe avant-coureur le plus important d’athérosclérose, rapporte Med Page Today.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal médical Archives of Disease in Childhood Fetal & Neonatal Edition.

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L’algue pour augmenter le bon cholestérol

Le Journal of Nutrition and Dietary Supplement nous apprend que des extraits d’algues pourraient aider à prévenir les maladies cardiovasculaires.
 
Le ProAlgaZyme, un composé issu des algues, a permis d’augmenter le bon cholestérol chez des rongeurs. Or, peu d’agents permettent d’augmenter le bon cholestérol, qui supprime également l’accumulation de dépôts sur les parois artérielles.
 
La plupart des médicaments, comme les statines, abaissent le taux de mauvais cholestérol dans le sang. Cependant, en augmentant le bon, on travaille à réduire les risques de blocage des artères en supprimant les dépôts.
 
Les études doivent se poursuivent un moment sur les animaux avant des essais sur l’homme. Si, à ce moment, les résultats sont concluants, le ProAlgaZyme pourrait réduire le taux de maladies cardiovasculaires dans la population.
 
Pour l’instant, ces premiers résultats sont plutôt encourageants.
 
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Grossesse tardive : plus de risques de maladies cardiovasculaires

Les femmes qui ont une grossesse tardive savent que les complications peuvent être plus importantes. Des études ont déjà mis en avant le fait qu’elles présentent un taux de cholestérol plus élevé et ont davantage de chance d’avoir du diabète.

Une nouvelle étude, réalisée par des chercheurs de l’UCLA et publiée par la revue Basic Research in Cardiology, montre même qu’il existe des risques de maladies cardiovasculaires plus élevés pour les femmes plus âgées qui tombent enceintes.

Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques se sont appuyés sur les résultats de leur recherche faite sur des rats dans leur troisième trimestre de grossesse.

Les chercheurs ont également découvert d’autres inconvénients. En fin de grossesse, ils ont constaté notamment une diminution de protéines de signalisation, qui protègent le cœur contre les lésions de reperfusion.

Ces dernières études confirment donc que les femmes enceintes plus âgées ont plus de risques d’avoir des complications pendant leur grossesse et doivent absolument être suivies par un médecin.

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Certains patients regrettent leur traitement contre le cancer de la prostate

Les hommes ont parfois le choix de traitement pour leur cancer de la prostate, mais certains peuvent le regretter, surtout s’ils souffrent de maladies cardiovasculaires.
C’est ce que révèle une étude du BIUI International.
 
Le regret après un traitement du cancer de la prostate a un impact négatif sur le pronostic et les perspectives d’ensemble de la personne. Les regrets sont aussi liés à une qualité de vie moindre, comparativement à ceux qui n’en ont pas.
 
En fait, 52 % des hommes qui ont des maladies cardiovasculaires regrettent leur choix de traitement contre le cancer de la prostate.
 
Parmi les autres facteurs de regret, on note aussi la diminution de la fonction sexuelle.
 
Les hommes qui ont un diagnostic à un plus jeune âge sont les plus susceptibles de regretter leur choix.
 
Lorsqu’il y a un cancer de la prostate localisé, de multiples options de traitement s’offrent au patient, mais chacune possède son lot de risques et d’avantages.
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Certains patients regrettent leur traitement contre le cancer de la prostate

Les hommes ont parfois le choix de traitement pour leur cancer de la prostate, mais certains peuvent le regretter, surtout s’ils souffrent de maladies cardiovasculaires.
C’est ce que révèle une étude du BIUI International.
 
Le regret après un traitement du cancer de la prostate a un impact négatif sur le pronostic et les perspectives d’ensemble de la personne. Les regrets sont aussi liés à une qualité de vie moindre, comparativement à ceux qui n’en ont pas.
 
En fait, 52 % des hommes qui ont des maladies cardiovasculaires regrettent leur choix de traitement contre le cancer de la prostate.
 
Parmi les autres facteurs de regret, on note aussi la diminution de la fonction sexuelle.
 
Les hommes qui ont un diagnostic à un plus jeune âge sont les plus susceptibles de regretter leur choix.
 
Lorsqu’il y a un cancer de la prostate localisé, de multiples options de traitement s’offrent au patient, mais chacune possède son lot de risques et d’avantages.
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Les boissons sucrées sont réellement un danger pour la santé

Encore une fois, une nouvelle étude pointe du doigt les risques que représente la consommation régulière de boissons sucrées pour la santé.
 
Selon la revue Circulation, boire un tiers de litre par jour de ce type de boisson augmente de 20 % les risques de maladies cardiovasculaires pour les hommes.
 
Pour ceux qui en consomment peu, comme deux fois par semaine, on ne note pas de risques supplémentaires.
De même, les boissons sucrées avec des édulcorants artificiels n’ont pas démontré un lien avec les troubles cardiovasculaires.
 
« Cette recherche vient conforter d’autres études laissant penser qu’une consommation régulière de ces boissons sucrées est néfaste à la santé cardiovasculaire. Les résultats de cette étude justifient fortement de réduire la consommation des boissons sucrées chez les malades et surtout dans la population en général », mentionne le Dr Frank Hu, principal auteur des travaux.
 
42 883 hommes de 40 à 75 ans ont participé à la recherche. Les risques pour la santé demeuraient encore présents même après avoir tenu compte des autres facteurs de risques comme le tabagisme, la sédentarité, la consommation d’alcool et les antécédents familiaux.
 
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Grossesse : qu’est-ce qui accentue les risques de maladies cardiovasculaires?

Après avoir suivi pendant plus de 18 ans des femmes qui avaient été enceintes, la Dre Abigail Fraser de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, et ses collègues ont pu conclure que celles qui avaient eu un diabète gestationnel ou de la prééclampsie durant la grossesse étaient environ 30 % plus sujettes aux maladies cardiovasculaires, par rapport à celles qui n’avaient pas eu ces complications.
 
Selon la Dre Fraser, lorsque les femmes subissent une évaluation pour le dépistage de maladies cardiovasculaires, les médecins devraient idéalement demander à leurs patientes leurs histoires de grossesse, et les femmes devraient être proactives en discutant de la chose tôt avec leurs spécialistes de la santé.

La prééclampsie, l’hypertension gestationnelle et le diabète gestationnel donnant naissance à des bébés petits pour l’âge gestationnel (SGA) sont tous des facteurs qui ont été significativement associés à un risque accru de maladie cardiaque, à l’âge mûr pour la mère

La prééclampsie serait davantage en lien direct avec le développement des maladies cardiovasculaires, tandis que le diabète gestationnel conduirait davantage à un diabète de type 2 plus tard dans la vie, qui pourrait provoquer à son tour des troubles cardiaques.

Les résultats de cette étude ont été publiés en ligne dans la revue Circulation.

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D’autres confirmations des bienfaits du chocolat

En cette période de fêtes, les amateurs de chocolat pourront se permettre de petits plaisirs, alors que sept nouvelles études sur les bienfaits du chocolat ont été réalisées, totalisant 114 000 personnes.
 
Cinq des études confirment les bienfaits du chocolat. On constate qu’une consommation régulière réduit de 37 % les risques de maladies cardiovasculaires, de 29 % les risques d’accidents vasculaires cérébraux, et de 31 % les risques de diabète.
 
Le chocolat aurait de nombreuses propriétés. Selon Cerin, il serait à la fois antioxydant, anti-inflammatoire, anti-hypertenseur, anti-athérosclérose, anti-thrombose et anti-insulinorésistance.
 
Ceci notamment en raison des flavonoïdes du cacao qui réduisent la pression sanguine, le mauvais cholestérol et augmentent le bon cholestérol.
 
De plus, une étude suédoise affirme que bien que le chocolat noir soit le plus bénéfique, on a remarqué les mêmes bienfaits avec le chocolat au lait, qui est le type le plus consommé dans le monde.
 
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La bière aussi bénéfique pour le coeur?

Nous savons depuis longtemps que le vin a des effets bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, mais pour les autres types d’alcool, rien n’était certain.
 
Des chercheurs italiens ont effectué une grande analyse quant aux liens entre le vin, la bière et les autres sortes d’alcool sur le taux de mortalité cardiovasculaire.
 
Les seize études analysées regroupaient un total de 200 000 personnes.
 
Effectivement, le vin avait un effet protecteur et réduisait les risques de 31 %, mais les chercheurs ont constaté que la bière réduisait les risques de maladies cardiovasculaires de 33 %, mentionne l’European Journal of Epidemiology.
 
Par contre, pour les autres types d’alcool, on n’a noté aucun bienfait sur la santé.
 
Rappelez-vous que la modération est la clé pour pouvoir bénéficier des bienfaits du vin et de la bière sur votre santé. Des abus deviendront plutôt nocifs pour la santé.
 
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Les sévices conduisent à des maladies

Les petites filles qui subissent de la maltraitance physique ou des sévices sexuels seront plus enclines à souffrir de maladies cardiovasculaires, lit-on sur Medical News Today. Précisément, elles sont exposées à de plus grands risques de crise cardiaque, de maladies cardiaques et d’AVC.

Une récente étude indique que les filles victimes de maltraitance physique durant l’enfance courent un risque 45 % plus élevé de tels problèmes de santé à l’âge adulte. Si elles ont été forcées à des rapports sexuels répétés, elles se retrouvent 62 % plus à risque d’une maladie cardiovasculaire.

Parallèlement, des violences « légères à modérées », si l’on peut les nommer ainsi, n’ont pas été reliées à des risques particulièrement plus élevés.

Le plus influent facteur, dans le cas d’un haut risque de maladie cardiovasculaire, est que les jeunes filles maltraitées avaient fortement tendance à prendre du poids durant l’adolescence et la vie adulte.