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Effets des boissons gazeuses sur la santé cardiaque des femmes

Le Daily Mail rapporte que les femmes qui boivent deux boissons gazeuses par jour ou davantage sont plus susceptibles de développer des maladies cardiovasculaires.
 
L’étude a suivi plus de 4000 femmes de 45 à 84 ans pendant cinq ans. Selon les chercheurs de l’Université d’Oklahoma, celles qui consommaient au moins deux boissons gazeuses par jour multipliaient par quatre les risques de problèmes cardiovasculaires, mais aussi de diabète et d’un plus grand tour de taille.
 
Toutefois, ces résultats n’ont pas été observés chez les hommes, peut-être parce que les femmes dépensent moins de calories.
 
Chez les femmes qui avaient consommé plus de boissons gazeuses, on observe également un niveau plus élevé de cholestérol et de triglycérides.
 
À noter que même sans gain de poids, les risques de problèmes de santé importants demeurent les mêmes. Les scientifiques ignorent pourquoi, mais cela fera l’objet de prochaines études.
 
Les travaux ont été présentés lors de la rencontre de l’American Hearth Association tenue la semaine dernière.
 
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Un superbrocoli voit le jour

Des scientifiques britanniques du Centre John Innes et de l’Institut pour la recherche en alimentation (IRF) ont conçu un « superbrocoli » dont les bienfaits seraient démultipliés.

Ce nouveau brocoli, baptisé Beneforte, fait le plein de glucoraphanine, une molécule qui se transforme au contact de la flore intestinale, et de sulforaphane, un autre composé actif qui contribue à réduire les inflammations chroniques et à combattre le développement de certains cancers.

Selon les chercheurs, des croisements génétiques ont permis d’augmenter de deux à quatre fois ces composantes par rapport aux brocolis normaux.

Consommé plusieurs fois par semaine cru, légèrement cuit à l’eau ou braisé à la poêle, le Beneforte permettrait de réduire les risques de maladies cardiovasculaires ainsi que de cancer colorectal, de l’estomac, du poumon ou encore de la prostate.

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Même une modeste diminution du sel est bénéfique

Il y a peu de temps, une étude d’une équipe de l’Université d’Exeter affirmait qu’il n’y avait pas de preuve solide des bienfaits d’une réduction de la consommation de sel.
 
Cependant, les chercheurs disent aujourd’hui que les résultats ont été mal interprétés. Il est reconnu que le sel favorise l’hypertension,  un facteur de risque important dans les maladies cardiovasculaires.
 
Toute diminution de la quantité de sel consommée sera donc bénéfique pour la santé. Même une réduction de 2 g permet de réduire de près de 20 % les risques d’incidents cardiovasculaires.
 
Plus la consommation de sel est diminuée et plus la pression artérielle diminue, donc les risques cardiovasculaires sont réduits également, rapporte The Lancet.

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Les boissons sucrées de nouveau mises au banc des accusés

Selon l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR), les boissons sucrées ou édulcorées devraient être retirées des magasins si nous voulons lutter efficacement contre l’obésité et même le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
 
Des études cliniques et épidémiologiques sur le sujet ont clairement démontré qu’une consommation excessive et répétée de ce type de boissons joue un rôle important dans le développement de l’obésité et du surpoids.
 
On croit également qu’il y aurait un lien avec le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
 
« Il est important que la consommation de boissons sucrées soit prise en compte, au même titre que l’activité physique, l’équilibre énergétique et la qualité des acides gras de l’alimentation, dans la démarche de prévention de l’obésité et des maladies cardiovasculaires », mentionne l’ICCR.
 
En 1990, les consommateurs achetaient en moyenne 39 litres de boissons sucrées par année. En 2007, on est passé à 58 litres par année, ce qui explique donc également pourquoi on a connu une hausse du taux d’obésité.
 
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Risque de problèmes cardiaques avec le médicament Champix

Santé Canada a fait savoir que l’Agence américaine des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA) a dévoilé les résultats de son étude sur le médicament Champix, utilisé par les fumeurs pour arrêter de fumer.
 
700 fumeurs avec des maladies cardiovasculaires ont participé aux essais cliniques.
 
On admet que chez les personnes ayant déjà une maladie cardiovasculaire, il y a un risque accru de 2 % d’effets secondaires cardiaques, contre 1 % chez les personnes qui ne prennent pas ce médicament. L’écart n’est donc pas important.
 
Tout de même, Santé Canada a mentionné que la situation est à l’étude et que des mesures appropriées seront prises si nécessaire.
 
Parmi les effets notés, on remarque des douleurs thoraciques, un rythme cardiaque irrégulier, des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux, comme l’indiquait déjà la posologie du Champix.
 
Le tabagisme lui-même est déjà un facteur de risque important pour des problèmes cardiaques.

Pour l’instant, il est préférable de consulter son médecin pour savoir si le médicament peut encore être pris sans danger.

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Rôle du placenta pour le cerveau de bébé

Une recherche de l’University of Southern California (USC) vient de démontrer que le placenta tient un rôle central dans la synthèse de la sérotonine, ayant donc un impact sur le développement du cerveau du bébé à naître.

En résumé, après que la sérotonine est synthétisée dans le placenta, elle passe par le cordon ombilical jusqu’au fœtus, et de là, se rend à son cerveau en formation.
 
Ainsi, comme nous l’apprenons dans Nature, on pourrait aborder de nouvelles façons de prévenir les maladies cardiovasculaires et les maladies mentales.
 
De plus, on peut voir beaucoup d’espoir dans cette découverte quant à de futures interventions lors de grossesses à risques, quand l’environnement intra-utérin peut présenter des dangers pour le développement cérébral du fœtus.

Rappelons finalement que la sérotonine est un neurotransmetteur qui participe entre autres au développement du pancréas, du cœur et du cerveau.

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Les graisses saturées pas aussi nocives qu’on le croyait

Depuis des années, on conseille d’éviter les gras saturés, qui sont associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires. Selon les nouvelles données publiées dans le journal Lipids, ce n’est pas aussi simple qu’on l’affirmait.
 
Le Dr Bruce German, de l’Université de la Californie, indique que déclarer que toute consommation de gras saturés est nocive est une affirmation trop simplifiée.
 
« La relation entre l’apport alimentaire de graisses et la santé est complexe. Il y a différents facteurs qui peuvent influencer la réponse du corps à l’apport de graisses, comme la génétique, le mode de vie ou l’âge », dit-il.
 
De plus, on a constaté que remplacer les graisses saturées par des gras polyinsaturés ne diminuait que légèrement les risques de maladies cardiovasculaires. Ainsi, la différence n’est pas assez significative pour dire que cela est préférable.
 
Selon les chercheurs, il est plutôt avantageux d’augmenter sa consommation de fruits de mer riches en acides gras oméga-3, de grains entiers, de fruits et légumes et de diminuer les gras trans et le sel dans les pâtisseries et la malbouffe.
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Un lien entre l’état des vaisseaux sanguins et l’Alzheimer

Une récente étude parue dans Circulation Research : Journal of the American Heart Association nous en apprend un peu plus sur l’Alzheimer.

Si l’on avait déjà fait un lien entre les problèmes cardiovasculaires et l’Alzheimer, on découvre maintenant qu’en fait, l’apparition de cette maladie serait en lien avec l’état des vaisseaux sanguins.

C’est que l’Alzheimer peut en partie être causée par la perte d’oxyde nitrique de l’endothélium vasculaire, ce dernier étant la couche interne des vaisseaux sanguins, en contact avec le sang. L’oxyde nitrique est un élément crucial de l’oxygénation des tissus et de la circulation sanguine.

Les chercheurs ont donc fait un lien entre cette maladie dégénérative et l’endothélium, car on savait déjà l’impact de l’état de celui-ci sur la santé cardiaque.

Ainsi, une bonne santé du système sanguin pourrait aider à prévenir fortement l’apparition de maladies cognitives, de même qu’éviter la sédentarité pourra éviter l’apparition des maladies cardiovasculaires.

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Les grains entiers pour réduire la pression artérielle

L’American Journal of Clinical Nutrition dévoile une nouvelle étude du Royaume-Uni qui suggère que manger des grains entiers trois fois par jour diminue la pression artérielle. Par le fait même, les risques de maladies cardiovasculaires et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont considérablement réduits.
 
L’étude a été réalisée sur 206 personnes de 40 à 65 ans, sédentaires et la plupart en surpoids. Au départ, on leur a demandé de manger des céréales raffinées pendant quatre semaines. Ensuite, les participants ont été séparés en trois groupes. Un groupe témoin qui ne changeait rien à sa consommation de céréales, un autre groupe qui devait intégrer trois portions de blé entier quotidiennement et un autre qui ajoutait un mélange d’avoine et de blé entier.
 
Les personnes ayant consommé le blé entier ont vu leur pression diminuer de 6 mmHg comparativement au groupe témoin. Cela représente une diminution de 15 % des risques de troubles cardiaques et de 25 % des risques d’AVC.
 
Les grains entiers étaient déjà reconnus pour leurs bienfaits, notamment sur le diabète et le cholestérol.
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Mesurer le niveau de stress par les cheveux

Nous le savons, le stress chronique est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires. Pour la première fois, des chercheurs ont trouvé le moyen de mesurer le niveau de stress chronique, et ce, grâce aux cheveux.
 
Jusqu’ici, il était possible de mesurer le niveau de cortisol, l’hormone du stress, par l’urine, le sang ou la salive, mais cela indiquait seulement le stress des derniers jours tout au plus.
 
Maintenant, en analysant les cheveux, il est possible d’établir le niveau de stress chronique sur une plus longue période, car les scientifiques ont découvert que le cheveu était un marqueur biologique pour le stress.
 
Selon le journal Stress, on a comparé les cheveux de 56 hommes admis aux urgences pour une crise cardiaque à 56 autres qui n’ont pas eu de crise. On note que le niveau de cortisol est nettement supérieur dans les cheveux de ceux qui ont été hospitalisés.
 
Maintenant, des recherches avec un plus grand nombre de personnes sont amorcées pour voir si on obtiendra les mêmes résultats.