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Pour garder une bonne santé cardiaque, dormez 7 heures

Dormir moins de sept heures et plus de neuf heures par nuit augmente les risques de problèmes cardiovasculaires, selon l’étude américaine publiée dans la revue Sleep.
 
Les personnes qui dorment moins de sept heures par nuit doublent leurs risques de développer une angine, une insuffisance coronarienne, un infarctus ou une crise cardiaque, alors que celles qui dorment plus de neuf heures multiplient leurs chances d’une fois et demie.
 
Dormir six heures ou huit heures n’augmente que légèrement les risques de problèmes.
 
Les personnes les plus exposées sont les moins de 60 ans qui dorment moins de cinq heures par nuit, disent les chercheurs de l’Université de Virginie-Occidentale qui ont suivi 30 000 adultes.
 
Par contre, ils ne sont pas en mesure d’expliquer véritablement le lien entre le sommeil et les problèmes cardiaques. On croit toutefois que les artères du cœur pourraient se boucher par divers facteurs.
 
Un excès de sommeil agit sur les glandes endocrines et le métabolisme, alors qu’un manque de sommeil diminue la sensibilité à l’insuline et augmente la pression artérielle, des facteurs qui favorisent le blocage des artères.
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Du poisson au moins deux fois par semaine afin de combler les besoins en oméga-3

Afin de satisfaire nos besoins en oméga-3, il faut manger pas moins de deux repas de poisson par semaine, rapporte Top Santé.
 
De nouveau, les experts constatent qu’une consommation hebdomadaire d’au moins deux repas de poisson est nécessaire pour combler les besoins en oméga-3 et ainsi prévenir les maladies cardiovasculaires et favoriser le développement de la rétine et du système nerveux.
 
Parmi les poissons les plus riches en oméga-3, rappelons qu’il y a le saumon, la sardine, le maquereau, le hareng et l’anguille.
 
Il est aussi important de varier les espèces dans notre alimentation et de s’assurer de la bonne provenance de ces produits. Les poissons peuvent facilement être contaminés par divers polluants qui peuvent être très nocifs pour l’organisme.
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Les grains entiers bénéfiques pour les diabétiques

Les personnes ayant le diabète de type 2 qui consomment régulièrement les céréales à grains entiers ont moins de risques de mourir d’une maladie cardiovasculaire, la première cause de décès pour ce type de diabète.
 
Selon la revue Circulation, 7 822 Américains ont été suivis pendant 26 ans. Régulièrement, ils ont dû répondre à des questionnaires sur leur régime alimentaire.
 
Les chercheurs affirment que les risques de mourir d’une maladie cardiovasculaire pour les diabétiques de type 2 sont réduits de 35 % si les personnes consomment beaucoup de grains entiers.
 
Les patients mangeant des aliments enrichis de son voient leur risque de décès chuter de 65 % pour les maladies cardiovasculaires et de 28 % pour toutes causes de mortalité confondues.
 
Les céréales de grains entiers sont riches en fibres et en son si elles portent la mention « grains entiers ». Ceux-ci aident à maîtriser le taux de glycémie et à garder intactes les parois des vaisseaux sanguins.
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Les sucres ajoutés augmentent les risques de maladies cardiovasculaires

Après avoir analysé des questionnaires soumis à 6 113 personnes pendant sept ans, des chercheurs américains affirment que le sucre et les édulcorants ajoutés aux aliments transformés augmentent réellement les risques de maladies cardiovasculaires, en plus de jouer un rôle dans l’apparition de l’obésité et du diabète.
 
Les participants devaient également se soumettre à un test sanguin afin de déterminer leurs taux de cholestérol (HDL et LDL) et de triglycérides.
 
On constate que chez les personnes dont la consommation de sucre ajouté représente 10 % de l’apport calorique global, le taux de cholestérol HDL (bon cholestérol) est grandement inférieur à ceux dont la consommation de sucre ne dépasse pas 5 % de l’apport calorique quotidien. Cela augmente considérablement le risque de maladies cardiovasculaires chez les sujets.
 
De plus, on note également une augmentation du taux de triglycérides chez les consommateurs de sucres et édulcorants, ce qui ajoute aux risques de troubles cardiaques.
 
Ces sucres et édulcorants ajoutés sont présents sous plusieurs formes comme le sirop de maïs, le fructose, le glucose ou les jus de fruits concentrés. On en retrouve beaucoup dans les boissons sucrées, les plats préparés, les conserves, les desserts et les céréales, pour ne nommer que ces quelques exemples.
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Au moins deux relations sexuelles par semaine pour une bonne santé cardiaque

Avoir au moins deux relations sexuelles par semaine diminue les risques de maladies cardiaques pour les hommes.
 
Selon une récente recherche américaine, effectuée sur 1000 hommes de 40 à 70 ans, ceux ayant au moins deux relations sexuelles hebdomadairement diminuent leur risque de problèmes de cœur de 45 %, comparativement à ceux qui n’ont qu’une relation sexuelle ou moins par mois.
 
La fréquence agirait également sur la fonction érectile et la condition physique. Le sexe est en effet une activité physique qui permet de maintenir une bonne santé du muscle cardiaque.
 
L’étude s’est déroulée sur seize ans. Les hommes devaient répondre à un questionnaire, notamment sur la fréquence de leurs ébats. On a également tenu compte de leur poids, de leur pression artérielle et de leur taux de cholestérol.
 
En 2009, la Clinique Mayo aux États-Unis mentionnait que dans la quarantaine, les hommes qui avaient un dysfonctionnement érectile avaient plus de risques de développer une maladie cardiovasculaire. On le confirme une fois de plus, les problèmes érectiles jouent également un rôle dans la santé du cœur.
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La télévision augmente les risques de décès

Selon une étude australienne, chaque heure passée devant le téléviseur augmente de 18 % les risques de décès à la suite d’une maladie cardiovasculaire et de 11% de toutes autres causes.

Les chercheurs se sont penchés sur les habitudes de vie de 3 846 hommes et 4 954 femmes pendant une période de six ans.

On a noté que les personnes qui passaient plus de 4 heures devant l’écran avaient un tour de taille supérieur à ceux qui passaient deux heures et moins devant leur téléviseur. Le taux de cholestérol était aussi plus élevé chez les amateurs de télévision.

Une étude canadienne dévoilée l’année dernière arrivait aux mêmes résultats. En fait, c’est la position assise qui est en cause, car toutes les personnes qui restent longtemps assises pendant plusieurs heures sans bouger sont concernées.

Pour motiver les travailleurs de bureau à bouger plus, on recommande l’achat d’un podomètre afin de faire au moins 10 000 pas par jour, notamment en montant l’escalier, en faisant des détours dans le corridor pour aller à la salle de bain. Ces simples petits changements peuvent avoir des effets très bénéfiques sur la santé.

La contraction musculaire est essentielle au bon fonctionnement de plusieurs mécanismes dans le corps. Il est donc important de bouger autant que possible.

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Encore un danger lié au bisphénol A

Après que l’on ait récemment mentionné que le bisphénol A (BPA) nuisait au fonctionnement des intestins et était nocif pour les femmes enceintes, voilà qu’une nouvelle étude confirme son lien avec les maladies cardiovasculaires.

Une exposition élevée au BPA augmente les risques cardiovasculaires de 45 %. Ces résultats se confirment pour une deuxième fois, car une autre étude avait établi le même lien par le passé.

Ceci ajoute donc à la controverse du BPA dans la fabrication des cannettes, conserves et bouteilles de sport. Au pays, Santé Canada surveille la situation de près. Le Canada a ajouté le BPA à sa liste de produits toxiques et il n’est plus permis dans la fabrication des biberons et sucettes depuis.

On demande encore de réduire, ou même d’abolir, l’utilisation du bisphénol A dans la fabrication des produits puisque la liste des dangers potentiels qui y sont reliés ne cesse de s’allonger.

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Risques liés au traitement contre le cancer de la prostate

De nouvelles recherches canadiennes démontrent que les risques de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de mort subite d’origine cardiaque et de diabète sont accrus de 20 à 30 % lorsque les hommes suivent la thérapie de privation androgénique après avoir été traités pour le cancer de la prostate.

Un homme sur cinq a cette thérapie qui induit une forme de castration chimique. Selon le Journal de l’Institut national du cancer, ce médicament administré tous les mois par le médecin présente un réel risque pour les maladies cardiovasculaires.

Même les hommes qui choisissent l’ablation des testicules présentent un risque accru pour ces problèmes de santé. Par contre, ceux qui font la thérapie avec médicament oral sont plus protégés.

L’étude a porté sur 37 443 hommes diagnostiqués avec le cancer de la prostate entre 2001 et 2005. Parmi eux, 39 % avaient subi la privation androgénique.

Les chercheurs recommandent donc aux médecins et aux patients de tenir compte des risques que présente cette forme de thérapie.

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Les risques de crises cardiaques accentués par le sel

Des chercheurs italiens de Naples et des chercheurs britanniques de Warwick viennent de déterminer la quantité nocive de sel qui augmente les risques de crises cardiaques et de maladies cardiovasculaires.

5 grammes (environ une cuillère à café) de sel par jour augmentent de 23 % les crises cardiaques et de 17 % les maladies cardiovasculaires.

Selon le British Medical Journal, les chercheurs sont arrivés à ces résultats après avoir analysé 13 études sur la consommation de sel et la pression artérielle élevée auxquelles 170 000 personnes ont participé.

On mentionne que réduire sa consommation de sel de cinq grammes par jour permettrait d’éviter 1,25 million de décès dus aux crises cardiaques et 3 millions de morts pour les maladies cardiovasculaires.

Au Canada, on estime que les hommes de 14 à 30 ans consomment 40 grammes de sel par jour. Dans le monde en général, la moyenne est de 10 grammes.

62 % des décès causés par des crises cardiaques et 49 % des maladies cardiovasculaires sont associés à une pression artérielle élevée.

Si les gens diminuaient leur consommation de sel, les coûts des soins de santé reliés aux troubles nommés précédemment seraient également moindres.

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Le soja contre les maladies cardiovasculaires

L’Agronomy Journal publie une étude des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, qui révèle de nouveaux bénéfices au soja.

Cette fois, on lui attribue des propriétés anticancer et on dit qu’il est aussi capable de réduire les risques de maladies cardiovasculaires.

Nous savions déjà que le soja contenait des acides aminés essentiels et qu’il était une bonne source de protéines. De plus, il aide à abaisser le taux de cholestérol grâce à son niveau de lécithine et il améliore les fonctions cognitives.

Cette fois, on lui donne donc deux autres bienfaits grâce au tocophérol qu’il contient. Celui-ci se retrouve sous quatre formes et le soja possède la forme a-tocophérol, qui contient beaucoup d’antioxydants qui se transforment en vitamine E dans le corps. Plus il en contient, plus le soja devient bénéfique.