Des chercheurs britanniques de l’Imperial College de Londres, qui effectuaient des recherches sur les maladies pulmonaires, viennent de réussir une première mondiale dans ce domaine. Ils ont implanté chez des souris des cellules pulmonaires obtenues à partir de cellules souches embryonnaires.
Seulement 48 heures après la transplantation, les cellules pulmonaires sont allées se loger uniquement dans les poumons des souris, sans atteindre les autres organes des animaux. Malgré le haut degré de spécialisation de cellules de ce type, celles-ci ne se greffent que sur l’objectif fixé par l’équipe de chercheurs, le poumon.
Cette révolution laisse entrevoir de nouveaux traitements pour les personnes atteintes de maladies respiratoires, bien que la transplantation n’ait pas été effectuée chez des humains.
Les cellules souches, issues de l’embryon, possèdent la capacité de se multiplier par divisions successives pendant une période indéfinie. Les chercheurs souhaitent les étudier davantage pour permettre la restauration des cellules endommagées, comme celles du coeur après un infarctus.
Des chercheurs britanniques de l’Imperial College de Londres, qui effectuaient des recherches sur les maladies pulmonaires, viennent de réussir une première mondiale dans ce domaine. Ils ont implanté chez des souris des cellules pulmonaires obtenues à partir de cellules souches embryonnaires.
Seulement 48 heures après la transplantation, les cellules pulmonaires sont allées se loger uniquement dans les poumons des souris, sans atteindre les autres organes des animaux. Malgré le haut degré de spécialisation de cellules de ce type, celles-ci ne se greffent que sur l’objectif fixé par l’équipe de chercheurs, le poumon.
Cette révolution laisse entrevoir de nouveaux traitements pour les personnes atteintes de maladies respiratoires, bien que la transplantation n’ait pas été effectuée chez des humains.
Les cellules souches, issues de l’embryon, possèdent la capacité de se multiplier par divisions successives pendant une période indéfinie. Les chercheurs souhaitent les étudier davantage pour permettre la restauration des cellules endommagées, comme celles du coeur après un infarctus.