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Les bébés éprouvettes ont plus de malformations

Une étude française menée par la généticienne Géraldine Viot confirme que les enfants conçus grâce à la fécondation in vitro sont plus enclins à souffrir de maladies ou de malformations, mentionne Le Parisien.
 
Sur les 15 162 bébés éprouvettes étudiés, on a constaté plus de maladies génétiques rares comme un cancer de la rétine, des malformations urinaires, génitales ou cardiaques et des angiomes cutanés, communément appelés taches de naissance.
 
Cette étude ne veut pas affoler les parents ni contester la méthode de conception. « Dans l’immense majorité des cas, tout se passe bien. D’ailleurs, plus de 75 % des enfants dont j’ai étudié les dossiers n’ont aucune maladie », mentionne la généticienne.
 
Maintenant, les chercheurs tentent de trouver l’origine des malformations chez les bébés éprouvettes. Elles touchent jusqu’à 3 % des cas.
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Un moyen simple de prévenir les maladies oculaires

Un composé des bleuets, du vin rouge, des raisins, des arachides et d’autres plantes aiderait à prévenir les maladies oculaires, selon de nouvelles recherches publiées dans l’American Journal of Pathology.
 
Le resvératrol est un composé naturel de ces aliments. Ce dernier freine le développement de vaisseaux sanguins anormaux dans et en dehors de l’œil.
 
Ces nouvelles formations de vaisseaux, appelées la prolifération vasculaire, ont un rôle important dans le développement des maladies oculaires comme la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
 
De plus, ces formations favorisent aussi l’apparition de certains types de cancers et de l’athérosclérose, une accumulation de graisse sur les parois des artères.
 
Environ un million de Canadiens souffrent d’une forme de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
 
Avec ces nouvelles connaissances sur les effets du resvératrol, les chercheurs espèrent développer des traitements futurs qui pourront prévenir ces pathologies, dont les dégénérescences notamment.
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Les hommes et les femmes sont malades différemment en voyage

Lors de voyages, les hommes et les femmes ne contractent pas le même genre de maladie.
 
Selon une étude de l’Université de Zurich, publiée dans le Clinical Infectious Diseases, qui a analysé les dossiers de 58 908 personnes ayant visité 44 cliniques à travers le monde entre 1997 et 2007, les hommes et les femmes ne souffrent pas des mêmes maux en voyage.
 
Les femmes sont plus susceptibles d’avoir des problèmes d’estomac, des rhumes, des infections des voies urinaires et des réactions indésirables aux médicaments, tandis que les hommes ont plus tendance à faire de la fièvre due à une infection transmise par des moustiques ou des tiques, ils sont plus sujets au mal des montagnes, aux engelures et aux maladies transmises sexuellement.
 
Le quart des 29 643 femmes ont été traitées pour des diarrhées aiguës contre seulement 22 % des hommes. D’un autre côté, 17 % des hommes ont de la fièvre contre 11 % des femmes.
 
Aucune raison exacte n’explique ce phénomène, mais on croit que les hommes attirent plus les moustiques en raison du fait qu’ils transpirent plus. De plus, ils sont plus susceptibles d’avoir une maladie transmise sexuellement ou une infection de ce type, car ils ont plus tendance à avoir des relations sexuelles avec une personne rencontrée à l’étranger.