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Gardez vos pieds propres pour éviter les piqûres de moustiques

Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries qui recouvrent les pieds dégagent une odeur qui attire particulièrement les moustiques porteurs du paludisme, mieux connu sous le nom de malaria. Ainsi, lors d’un voyage dans les pays touchés, gardez vos pieds propres pour éviter d’être piqué.
 
Par contre, les personnes qui ont une plus grande variété de bactéries sur leurs pieds seraient protégées, car cela repousserait les moustiques.
 
Selon le Public Library of Science ONE, les chercheurs ont analysé les échantillons de sueurs de la plante du pied de 48 hommes âgés de 20 à 64 ans.
 
Neuf des échantillons ont été considérés comme « très attractifs » pour les moustiques et sept comme « très peu attractifs ». Dans les très attractifs, on a noté un niveau élevé de 4 bactéries, dont le staphylococcus.
 
Cependant, les personnes qui avaient le variovorax et le pseudomonas ont plutôt repoussé les insectes, de même que celles qui avaient de nombreuses bactéries différentes sur leurs pieds.
 
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Une grande avancée pour le vaccin contre le paludisme

Depuis de nombreuses années, les chercheurs tentent de mettre au point un vaccin contre le paludisme (malaria). Cette fois, on vient de franchir un nouveau cap avec un vaccin qui donne les meilleurs résultats jamais obtenus jusqu’ici.
 
L’étude qui se déroule en Afrique, où 90 % des cas de malaria se trouvent, démontre l’efficacité du vaccin à 50 % chez les jeunes enfants. Ces derniers, ainsi que les femmes enceintes, sont les principales victimes de la maladie, qui fait chaque année un million de morts dans le monde.
 
Le vaccin ne sera pas offert avant trois ans et il reste encore d’autres étapes à franchir, mais il est le plus prometteur jusqu’à présent, affirme la firme créatrice, GlaxoSmithKline.
 
Maintenant, d’autres tests doivent être faits pour confirmer son efficacité et tenter de l’augmenter, mais aussi pour savoir combien de temps la protection peut durer. Ensuite, les autorités gouvernementales devront l’approuver.
 
Rappelons que le paludisme est transmis par une piqûre de moustique.
 
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La lutte contre la malaria pourrait être plus ardue que prévu

Le magazine Science nous apprend que la lutte contre la malaria (ou paludisme) s’annonce peut-être plus difficile qu’on le croyait.
 
La raison en est la découverte d’un tout nouveau moustique au Burkina Faso. Ce moustique, qui a échappé aux scientifiques jusqu’à aujourd’hui, est à haut risque de transmission de la maladie.
 
Cette espèce a été découverte par hasard par des chercheurs de l’Institut Pasteur à Paris. S’il ne faisait l’objet d’aucun recensement jusqu’à présent, c’est que ce moustique est plus difficile à contrôler, car il préfère vivre à l’extérieur.
 
« Pour des raisons de facilité, presque tous les moustiques capturés pour la recherche le sont dans les habitations. Ce sont ces moustiques qui, jusqu’à présent, transmettaient le plus souvent la malaria. La responsabilité de ce nouveau moustique dans la transmission de la malaria reste à établir par d’autres recherches », explique le Dr Ken Vernick.
 
En ce moment, les chercheurs tentent de mieux comprendre cette nouvelle espèce afin de pouvoir éventuellement mieux la contrôler également.
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La malaria cérébrale en lien avec des troubles neuropsychiatriques

La plus importante étude jusqu’ici portant sur des enfants africains fait un lien entre la malaria et des problèmes de neuropsychiatrie.

Une étude menée par le Collège universitaire de la médecine ostéopathique parue dans The Lancet Neurology fait état de troubles subséquents à la malaria.

Cette situation affecterait des centaines de milliers d’enfants. Rappelons que la malaria cérébrale est une maladie sévère s’attaquant au cerveau qui touche près d’un million d’enfants, en majorité en Afrique subsaharienne.

Le taux de mortalité lié à cette maladie est de 15 à 25 %. Nous apprenons maintenant qu’elle peut aussi causer des séquelles telles que l’épilepsie, des troubles du comportement ainsi que des déficits moteurs, sensoriels et du langage.

En fait, 135 000 enfants de moins de 5 ans développent l’épilepsie des suites de ce type de malaria. Pour tirer ces conclusions, les chercheurs de l’étude ont observé pendant cinq ans une centaine d’enfants de Blantyre, au Malawi.

Les plus grands facteurs de risque de désordres subséquents ont été reconnus comme étant les convulsions et les très fortes fièvres. Les chercheurs recommandent donc que l’on soit plus efficace dans leur traitement.

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Vacciné par un moustique

Au Japon, des scientifiques ont créé une toute nouvelle forme de vaccination. Le vaccin contre la malaria pourrait maintenant être administré par un moustique.
 
La malaria est une maladie transmise par la piqûre de moustiques et fait environ deux millions de morts par année dans le monde, surtout en Afrique. C’est pour contrer ce fléau que les chercheurs ont eu l’idée de transformer la cause de la maladie en remède.
 
Avec une manipulation génétique, les moustiques ont été transformés en vaccins volants. Leurs glandes salivaires contenaient une protéine efficace pour aider l’organisme des humains à combattre la maladie. Ainsi, après la piqûre du moustique, la salive de ce dernier se propage dans le sang et déclenche une réaction du système immunitaire comme cela se produit lorsque nous recevons un vaccin traditionnel.
 
Ce vaccin est gratuit et moins douloureux que les vaccins traditionnels.
 
De plus, selon TopSante, les scientifiques affirment que ces moustiques modifiés seraient également efficaces contre la leishmaniose, une affection cutanée ou viscérale qui est aussi transmise par la piqûre de ces insectes.
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Les moustiques à la rescousse des humains

Le moustique transmetteur du paludisme, communément appelé malaria, pourrait servir dans la recherche pour combattre la maladie.

Selon une étude publiée dans le magazine Science, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale ont découvert que la modification d’un seul gène, le TEP1, affecte la résistance du moustique à l’infection.

L’étude a porté sur le moustique Anopheles gambiae, le principal transmetteur de la malaria en Afrique. On a analysé sa résistance au parasite et on a découvert que son gène TEP1 était différent de celui des autres espèces.

Cela pourrait donc mener à des programmes plus efficaces pour enrayer cette affection qui touche 250 millions de personnes par année et fait un million de morts, surtout en Afrique.

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Le mystère derrière le paludisme

Selon des scientifiques de l’Institut de recherche médicale Walter et Eliza Hall, huit protéines sont responsables de la dispersion de la maladie parasitaire provoquée par une piqûre de moustique, l’anophèle.

Ces protéines sont responsables de l’adhérence des globules rouges infectés aux vaisseaux sanguins, empêchant ainsi leur destruction par la rate.

« Cette découverte améliore énormément notre compréhension de la manière dont le parasite prend le contrôle des globules rouges afin de garantir sa survie et contrer les défenses immunitaires », a souligné l’équipe de chercheurs. Ces derniers entrevoient la découverte d’un vaccin ou d’un traitement qui pourraient détruire ces globules rouges et empêcher le développement de la malaria.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, trois millions de personnes décèdent chaque année de la maladie et six cents millions en sont atteints.