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Bientôt 250 millions d’enfants obèses

Selon un rapport de la Fédération mondiale de l’obésité, de 158 millions d’enfants obèses en ce moment, le monde devrait voir les enfants en surpoids passer à 250 millions en une dizaine d’années.

Les chercheurs de l’organisme pointent du doigt le « style de vie à l’occidentale » pour expliquer cette croissance phénoménale.

Des pays de continents comme l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine emboitent le pas au style occidental où la malbouffe s’implante agressivement. Dans les récentes années, ce sont ces continents qui voient le plus l’explosion de la jeune population obèse.

D’ailleurs, ce sont maintenant la Chine et l’Inde qui ont le plus d’enfants obèses dans le monde, devançant les États-Unis au troisième rang.

Aux États-Unis, la population totale compte plus de 90 millions de personnes en surpoids.

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Le rapport sonne aussi l’alarme sur les coûts de santé qui risquent de grimper en flèche avec 250 millions d’enfants obèses dans 10 ans. L’obésité est à l’origine de nombreux problèmes de santé chez les enfants et les adultes.

Photo : Fédération mondiale de l’obésité

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Nutrition

Mauvaises habitudes alimentaires : les effets demeurent même après un changement d’alimentation

Lors de cette recherche, informe Science World Report, les scientifiques ont comparé deux groupes de souris qui étaient susceptibles de développer de l’athérosclérose.

Ils ont réalisé que malgré le changement vers une meilleure alimentation, les dommages causés par un régime élevé en gras avaient des conséquences directes et à long terme sur les cellules du système immunitaire.

L’un des chercheurs, Erik van Kampen, a déclaré : « J’espère que cette étude démontre l’importance des modifications induites par l’alimentation dans l’épigénome, et qu’elle encouragera de nouvelles recherches sur l’interaction entre les habitudes alimentaires, la méthylation de l’ADN et la maladie ».

Donc, si vous avez à la base des risques de développer entre autres de l’athérosclérose, une maladie reliée au système immunitaire, il est possible que les risques ne diminuent pas à cause des cellules déjà altérées.

« Il y a longtemps que nous avançons que le style de vie et l’alimentation pouvaient avoir des conséquences sur la fonction immunitaire », a mentionné John Wherry, un autre des chercheurs.

L’étude a été publiée dans le Journal of Leukocyte Biology.

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Uncategorized

L’horaire de travail des parents influence le poids des enfants

Les enfants consommant des repas réguliers à la maison sont moins susceptibles de souffrir de problèmes de poids, selon l’étude de chercheurs de Penn State.

Ils ont déclaré lors de la réunion annuelle de l’American Sociological Association qu’un parent qui est à la maison plutôt qu’au travail durant le petit déjeuner et le souper aide ses jeunes à développer de meilleures habitudes alimentaires et une alimentation plus équilibrée.

« Manger à la maison peut aider à contrôler la grosseur des portions, par exemple. Si les jeunes ne mangent pas de petit déjeuner à la maison, ils deviennent plus susceptibles de consommer de la malbouffe plus tard dans la journée» explique Molly Martin, professeure en sociologie et démographie.

Les parents qui sautent des repas ou ne sont pas présents notamment au petit déjeuner inciteraient plus particulièrement les jeunes filles à faire de même, mentionne Science World Report.

La présence des adultes à des heures « critiques » pour les repas, entre autres celle du père, a permis d’observer que dans certains cas les adolescents étaient portés à faire plus d’activité physique et manger davantage de fruits.

L’enquête a été effectuée à l’échelle nationale auprès de 16 991 adolescents.

Crédit photo : Wavebreak Media Ltd /Bigstock.com

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Connaissez-vous les aliments qui créent de la cellulite?

Le sucre blanc contribue à la cellulite à cause de ses calories vides. Vous avez donc tout avantage à le remplacer par des sucres plus naturels, tels que le sirop de canne à sucre ou d’érable, le miel ou encore la cassonade (sucre roux).

D’autres aliments raffinés (blanchis) comme la farine et le riz sont aussi coupables. Ils sont difficiles à digérer et produisent des toxines qui peuvent aussi se transformer en cellulite.

Le sel de table doit également être remplacé. On doit préférer le sel marin ou encore le sel de l’Himalaya. Le sel raffiné forme de la rétention d’eau, menant inévitablement à la « peau d’orange ».

Tant la malbouffe que les aliments que nous faisons frire nous-mêmes contiennent des graisses nuisibles à notre santé. En plus, notre organisme a tendance à stocker ces graisses loin des organes vitaux pour nous protéger. Où se retrouvent-elles? Dans les fesses, les cuisses, les bras et le ventre.

Finalement, évitez l’alcool, puisqu’il aggrave la cellulite en dégradant la qualité de la circulation sanguine.

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Vous devriez laisser vos enfants manger un peu de malbouffe

Selon Charlotte Markey, professeure en psychologie de la santé à l’Universtié Rutgers, il vaut mieux pour les parents de laisser les enfants manger occasionnellement des sucreries et de bonnes frites bien grasses.

« Je n’affirme certes pas que nous devrions gaver nos enfants de malbouffe », spécifie-t-elle à Today Parents. « Mais nous ne souhaitons pas les en priver au point où ils en voudront encore plus à cause de ce côté mystérieux et attrayant. »

Markey était aux premières loges des résultats d’une étude où les familles privaient leurs enfants de malbouffe et de sucreries, contrairement à d’autres familles qui permettaient quelques écarts.

Lorsque les enfants étaient laissés dans une pièce contenant plein de collations sucrées et salées, ceux étant privés de ces aliments « défendus » se gavaient pour « rattraper le temps perdu », contrairement aux autres enfants.

La spécialiste affirme que les parents auront tôt ou tard le retour du pendule s’ils sont très restrictifs. Elle suggère de négocier avec les enfants. Par exemple, donner quelques croustilles s’ils mangent leurs carottes.

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Évitez la malbouffe même avant la grossesse

Il ne s’agit pas de modifier nos habitudes alimentaires lorsqu’on apprend que l’on est enceinte. Au contraire, il faut le prévoir, puisque l’impact sur la grossesse est direct et dangereux.

Ce sont des chercheurs en Australie qui sont arrivés à cette conclusion. L’équipe de l’Université Adélaïde a lié l’alimentation en malbouffe, sucre et gras à un risque de naissance avant 37 semaines de 50 % plus élevé que la normale.

Les spécialistes de l’Institut de recherche Robinson ont suivi les schémas diététiques de plus de 300 femmes en Australie du Sud, et ce, pour une durée de 12 mois avant la conception d’un enfant.

« Dans notre étude, les femmes qui consommaient des aliments riches en protéines, incluant des viandes, du poisson et du poulet, en plus de fruits, grains entiers et légumes, démontraient des risques beaucoup plus bas de naissances prématurées », rapporte la Dre Jessica Grieger.

Ce sont des changements que les femmes peuvent facilement effectuer, et qui pourraient changer radicalement les statistiques d’accouchement avant terme.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Potins

Cameron Diaz a de la difficulté suivre le régime qu’elle propose dans son livre

L’actrice de 41 ans, Cameron Diaz, fait beaucoup plus parler d’elle ces temps-ci pour sa nouvelle vocation de « mentore » pour les jeunes filles que pour sa carrière d’actrice.

Son livre The Body Book se veut un enseignement simple pour que chaque femme soit en mesure d’avoir le corps qu’elle désire. Diaz se confie intimement dans cet ouvrage, et conseille les femmes sur leur alimentation et l’exercice.

Par contre, la star a déclaré dans l’édition de février du magazine Self : « J’ai vu un Taco Bell hier, ça a fait crier mon estomac ». Cameron Diaz est passée à deux doigts d’arrêter pour commander ce qu’elle a toujours préféré, des burritos avec nachos extra fromage.

Avant l’an 2000, l’actrice fumait, ne s’entraînait pas et mangeait ce qui lui plaisait. Et même si elle fait la promotion de The Body Book, encourageant les femmes à suivre son exemple, elle affirme ne pas être au meilleur de sa forme en ce moment.

Pour résister à l’envie de céder à son penchant pour la malbouffe, elle se rappelle que « ce n’est pas parce que vous pouvez mâcher, avaler et expulser quelque chose que c’est nécessairement de la nourriture ».

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La malbouffe n’est pas la cause majeure de l’obésité infantile

Medicalnewstoday.com rapporte les résultats d’une nouvelle étude qui affirme que le problème sous-jacent à la malbouffe provient du foyer des enfants qui souffrent d’obésité. Est-ce réellement une surprise?

Les chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord, à la Chapel Hill’s Gillings School of Global Public Health, sont d’avis que la malbouffe ne représente qu’une parcelle du vrai problème. En fait, l’augmentation rapide du taux d’obésité chez les jeunes est la résultante de mauvaises habitudes alimentaires qui prennent source à la maison.

Les choix alimentaires des enfants sont le reflet de ce qu’ils mangent à la maison, ni plus ni moins. Ceux-ci ne sont pas habitués à manger des fruits et des légumes. On favorise plutôt la consommation d’aliments à haute teneur en sucres et en gras, de produits transformés et de repas congelés. Par la suite, les environnements scolaires encouragent le même schéma.

« Voilà ce qui rend réellement les enfants obèses », ont affirmé Barry Popkin et W.R. Kenan Jr., les spécialistes responsables de la recherche. « Consommer de la malbouffe est un comportement résultant de mauvaises habitudes alimentaires. »

Les données ont été récoltées entre 2007 et 2010 auprès de 4466 enfants de 2 à 18 ans, par l’entremise d’une étude intitulée National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Les résultats sont publiés dans The American Journal of Clinical Nutrition.

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Un système inspiré des feux de circulation au service d’une nutrition saine

Un hôpital américain a tenté une expérience qui semble s’être avérée concluante, et qui avait pour but de sensibiliser et de transformer certaines habitudes alimentaires de leurs patients et de leurs employés, selon ce que rapporte webmd.com.

Ce sont des membres de l’Hôpital général de Boston, au Massachusetts, qui ont tenté cette expérience empruntée au système de feux de circulation, et consistant à simplement apposer un code de couleurs aux aliments proposés dans l’établissement.

Ainsi, un autocollant vert était apposé sur les aliments sains et recommandés, un jaune pour la nourriture passable, et un rouge pour la malbouffe et les aliments déconseillés.

À la surprise générale, un geste aussi simple a démontré un réel impact sur le choix des sujets. De plus, il semble que ces choix se soient répercutés à plus long terme chez ces derniers.

« Nos résultats actuels démontrent des changements significatifs dans les modèles d’achats… et ceux-ci ne se sont pas estompés avec le temps, les gens de la cafétéria s’y étant habitués. Ces découvertes sont des plus importantes… car elles démontrent que l’étiquetage et l’intervention sur les produits peuvent promouvoir de meilleurs choix pour la santé, et qui persistent avec le temps », explique la Dre Anne Thorndike.

Ces résultats ont été publiés dans l’American Journal of Preventive Medicine.