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Malbouffe : Une expérience nutritionnelle des plus étonnantes

Un professeur américain a décidé d’ajouter son grain de sel dans le dossier épineux de la malbouffe et des habitudes alimentaires et de santé des Nord-Américains, avec des résultats étonnants, rapporte notamment Top Santé.

Le professeur John Cisna a en effet décidé de reprendre la formule Supersize Me du réalisateur Morgan Spurlock, version Cisna, et a mangé des repas fournis par McDonald’s chaque jour, trois fois par jour.

La variante, et elle est importante, consistait cependant à faire preuve de stratégie quant au choix des repas et, surtout, à ajouter l’exercice physique à sa routine afin de voir si cela pouvait compenser le burger quotidien.

Il a donc chaque jour ingurgité un œuf McMuffin le matin, accompagné de flocons d’avoine, une salade le midi, puis un trio classique le soir. Chaque journée était assortie d’au moins une marche de 45 minutes.

Résultat? John Cisna a perdu 37 livres. Et il y a plus, le professeur a vu son taux de mauvais cholestérol retrouver un seuil beaucoup plus normal qu’auparavant.

« Ce sont nos choix qui nous rendent gros, pas McDonald’s », lance en conclusion John Cisna, non fier d’avoir réussi son expérience, qui en dit long sur les impacts de l’activité physique sur le poids et la santé. 

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Les jeunes enfants mangent de la malbouffe chaque semaine

Medical News Today rapporte que les données ont été recueillies dans des ménages californiens. La recherche a été menée par le UCLA Center for Health Policy Research.

Les résultats démontrent également que seulement 57 % des parents ont rapporté que leur enfant avait au moins ses 5 portions quotidiennes de fruits et légumes.

La spécialiste en tête de l’étude, Susan Holtby, a résumé la situation : « Un repas de malbouffe qui rend les enfants heureux une fois par semaine est une solution malheureuse, surtout pour les jeunes enfants ».

Holtby travaille pour le Public Health Institute depuis longtemps. « Les parents sont surmenés, occupés, et ils ont besoin de soutien pour choisir des aliments qui sont bons pour la santé de leurs enfants. »

En d’autres termes, selon Camille Maben, directrice adjointe de First 5 California qui a financé la recherche, ce sont les parents qui doivent être éduqués, bien avant les enfants. Ce sont eux qui ont la plus grande influence, toujours selon les données, sur ce que consomment leurs enfants.

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L’accessibilité aux restaurants autour des écoles : responsable de l’obésité infantile?

Si la malbouffe est présente dans les environs du milieu scolaire et que les enfants y ont accès, il va de soi, la majorité préférera consommer ces aliments plutôt que des plats santé.

C’est Xuyang Tang et des équipes de l’Université du Minnesota et l’Arizona State University qui ont récolté les données de 13 000 étudiants de 33 écoles primaires et secondaires au New Jersey. 

Le choix de la situation géographique est dû au fait que dans cette région, comparativement au 17 % de moyenne d’obésité chez les jeunes, ce taux s’élevait à 25 %.

Les résultats de la recherche, publiés par l’American Public Health Association, démontrent la corrélation entre l’augmentation ou la diminution de l’indice de masse corporel des enfants et la proximité de restaurants de malbouffe ou d’aliments santé.

Les spécialistes s’entendent sur la légère mais notable influence négative de la proximité d’établissements offrant des aliments gras ou caloriques.

En moyenne, chaque école comprenait, à quelque cent mètres, 2,75 dépanneurs, 3,68 établissements de restauration rapide, 0,34 point de vente d’aliments santé et 0,24 supermarché.

Selon MedPageToday, les chercheurs souhaitent poursuivre avec d’autres études longitudinales pour vérifier la relation cause à effet de cet environnement.

 

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La FDA pourrait bannir les acides gras trans du territoire américain

C’est toute une nouvelle qui circule depuis les dernières 24 heures dans le monde de la nutrition, alors que la FDA américaine confirme réfléchir sérieusement à l’idée de bannir les acides gras trans de son territoire, une bonne fois pour toutes.

Une telle mesure, notamment rapportée par Top Santé, signifierait la fin de la guerre de tranchées que se livrent les spécialistes de la santé et la malbouffe, sur ce sujet du moins, alors que cette dernière se verrait carrément dénudée de ses gras trans.

La FDA croit qu’en retirant les acides gras trans des pizzas, frites et burgers américains, elle contribuera à prévenir quelque 7000 décès et plus de 20 000 crises cardiaques, en moyenne, annuellement.

« Bien que la consommation de graisses hydrogénées artificielles potentiellement dangereuses pour la santé ait diminué ces deux dernières décennies aux États-Unis, elle demeure une préoccupation majeure de santé publique », lance catégoriquement la directrice de la FDA, Dre Margaret Hamburg.

Il s’agit d’une mesure aussi drastique qu’étonnante, mais qui sera sans doute saluée et bien accueillie par un nombre important de spécialistes et de citoyens américains.

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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Des pépites de poulet qui créent l’illusion

Les chaînes de restauration rapide sont devenues l’ennemi à abattre en santé de nos jours, et malgré des campagnes de prévention et une meilleure information, le public continue toujours d’affluer dans les différentes succursales de ces restaurants à travers le monde.

Les comportements changent, cependant, puisque plusieurs tentent de faire des choix éclairés au sein même de ces franchises de fast-food, un effort qui s’avère toutefois le plus souvent vain.

Une tendance remarquée est celle de se tourner vers les produits au poulet plutôt que ceux au bœuf, mais cette manœuvre ne s’avère pas aussi profitable qu’on pourrait le croire, selon le chercheur américain Richard deShazo.

Selon les analyses effectuées sur certains produits au poulet, les pépites dans ce cas-ci, vendus dans deux des plus grandes chaînes de restauration rapide au monde, deSHazo conclut que celles-ci contiennent plus de gras que de poulet, et qu’il s’agit d’un choix désastreux pour la santé, rapporte Top Santé.

La plupart de ces pépites créeraient plutôt une « illusion de poulet », comme le mentionne le chercheur, et seraient composées véritablement d’à peine 40 % de viande.

« Nous savons tous que la viande de poulet est une très bonne source de protéines maigres, c’est la raison pour laquelle nous encourageons nos patients à en manger. Mais certains industriels choisissent d’utiliser une mixture à base de poulet plutôt que de la viande maigre. Ils la mélangent, la font frire et continuent à l’appeler poulet », lance deShazo, en guise d’avertissement.

Aux amateurs de pépites de poulet et de produits de la volaille, le chercheur conseille vivement de les préparer soi-même.

Les analyses et conclusions tirées de l’étude de Richard deShazo ont été publiées dans la plus récente édition de The American Journal of Medicine.

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La taxe sur les boissons gazeuses pourrait bien ne rien changer

La lutte à l’obésité bat son plein, alors que le phénomène du surpoids en Amérique du Nord est désormais qualifié de « pandémie ». Les spécialistes et diverses autorités en matière de santé cherchent par tous les moyens possibles à contrer le fléau, et l’une de ces mesures semblent gagner en popularité.

Il s’agit de la taxe supplémentaire sur certains produits attribués à la malbouffe, à commencer par les boissons gazeuses et sucrées. New York, par exemple, a carrément essayé d’interdire la vente des gros formats, alors que d’autres villes et États cherchent à surtaxer le produit afin d’en décourager l’achat.

Or, même si cet énoncé s’avère véridique en termes d’habitudes de consommation, Medical News Today rapporte les conclusions des chercheurs de l’Université Duke qui croient fermement que la mesure ne règle pas le problème.

En fait, selon eux, les consommateurs se tourneront tout simplement vers d’autres produits, moins chers ou moins taxés, afin d’aller chercher leur « apport calorique désiré ».

On note également que ces produits sont plus populaires, en moyenne, chez la classe qui gravite autour du seuil de la pauvreté, ce qui fait d’une nouvelle taxe une mesure régressive.

Les mauvaises habitudes sont manifestement dures à perdre.

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La pizza nous rend heureux

Sur dailymail.co.uk, on peut voir les résultats fournis par une équipe ayant observé l’impact du comfort-food (nourriture réconfortante) sur le bonheur des gens.

Alors que la nourriture avec un taux élevé en gras et en sucre a tendance à nous faire ressentir beaucoup de satisfaction, il semblerait qu’il ne se soit pas nécessaire de l’ingérer. Le simple fait de dessiner ces aliments s’avèrerait suffisant pour stimuler le bonheur.

Les chercheurs de l’Université de St Bonaventure à New York ont recruté 61 étudiants et les ont séparés en 4 groupes. Chacun de ces groupes avait à dessiner un aliment, soit une pizza, des poivrons, des fraises ou de petits gâteaux, alors qu’ils avaient l’estomac vide.

Résultat surprenant, les groupes ayant eu à dessiner les aliments à haute teneur en gras et en sucre ont démontré une augmentation significative de leur humeur, soit 28 % d’augmentation pour la pizza et 27 % pour les gâteaux. Le groupe des fraises a indiqué une amélioration de 22 %, et celui des poivrons, seulement 1 %.

Nous savons donc maintenant que nous pouvons ressentir un certain plaisir à observer et dessiner cette nourriture généralement mauvaise pour nous, sans la consommer.

Ces données ont été publiées dans le Journal of Behavioural and Brain Science.
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Les gras saturés peuvent-ils rendre le cerveau vulnérable à l’Alzheimer?

The National Library of Medicine rapporte une étude de l’École de médecine de Wake Forest, qui trace une corrélation entre une grande consommation de gras saturés et le développement de maladies dégénératives cérébrales comme l’Alzheimer.

En fait, le lien n’en est pas un direct entre une surconsommation de ces gras et les risques de développement de la maladie en tant que telle, mais c’est plutôt le cerveau qui serait rendu vulnérable à ce type de problème de santé.

Selon ce que l’on comprend des informations proposées dans l’étude, par ailleurs publiée dans le JAMA Neurology, une diète forte en gras saturés viendrait anéantir une propriété chimique clé en prévention de l’Alzheimer et de certaines autres maladies dégénératives, une propriété appelée ApoE.

En bref, ces résultats ne sont ni plus ni moins qu’une autre bonne raison de faire attention à ce que vous mangez!

Les gras saturés, massivement retrouvés dans les aliments gras et frits comme le fast-food et les frites, doivent absolument être consommés avec modération.

La preuve de ce fait n’est manifestement plus à faire.