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Une ville d’Angleterre veut bannir le fast-food avant 17 h

C’est une formule pour le moins originale que propose le conseil de ville de Salford, en Angleterre. Selon ce que rapporte le Telegraph (UK), une motion sera proposée pour que les chaînes de restauration rapide ne puissent désormais plus servir des aliments frits et néfastes avant 17 h.

Plusieurs raisons expliquent la démarche, mais la principale demeure la protection des étudiants, qui sont friands de ce genre de nourriture.

En empêchant les restaurateurs de vendre du fast-food durant les heures de classe, les autorités croient pouvoir ainsi régler une partie de problème à la source, les étudiants devant alors se tourner vers d’autres solutions alimentaires… plus nutritives.

La motion s’inscrit dans une démarche qui démontre clairement la volonté des autorités de la ville à contrer le phénomène de l’obésité, particulièrement chez les jeunes.

La tentative du conseil de ville peut sembler extrême et friser l’illégalité en terme de libre choix du consommateur et des commerçants, mais elle a au moins l’avantage d’être claire et proactive.

On attend la suite avec impatience!

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Un repas hors des chaînes de fast-food peut avoir bien plus de calories

Un repas dans un restaurant n’appartenant pas aux grandes chaînes de restauration rapide aux États-Unis peut contenir deux à trois fois la quantité de calories normalement requise, révèle une étude lundi (13 mai).

Alors que l’industrie du fast-food se prépare à appliquer les nouvelles réglementations fédérales l’obligeant à afficher les calories contenues dans ses plats, environ la moitié des restaurants ne seront pas soumis à cette règle.

Car cette nouvelle obligation concerne les chaînes de restaurant comptant au moins vingt établissements. Or, on estime que 50 % des restaurants aux États-Unis n’entrent pas dans cette catégorie, ce qui pourrait réduire l’efficacité de cette mesure destinée à lutter contre l’obésité, estiment les auteurs de cette étude publiée dans le Journal of Internal Medicine.

C’est cette moitié de « petits » restaurants qui a intéressé les chercheurs de l’Université Tufts, dans le Massachusetts. Ils ont analysé 157 repas complets provenant de 33 restaurants individuels ou appartenant à de petites chaînes situés dans un rayon de vingt kilomètres autour de Boston.

Ils ont choisi les plats les plus populaires dans les neuf types de restaurants les plus fréquents aux États-Unis, à savoir mexicain, américain, chinois, italien, japonais, thaïlandais, indien, grec et vietnamien.

« En moyenne, les repas étudiés contenaient 1327 calories, ce qui est très supérieur à ce qu’un adulte a besoin de consommer avec un seul repas », souligne Susan Roberts, directrice du laboratoire du métabolisme à l’Human Nutrition Research Center on Aging à l’Université Tufts.

Quelque 73 % des repas analysés avaient plus de la moitié des 2000 calories quotidiennes recommandées par l’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA), tandis que 7,6 % contenaient plus que la totalité des calories requises pour un jour.

Les repas provenant de restaurants italiens étaient les plus riches avec en moyenne 1755 calories, suivis par les restaurants américains (1494 calories) et chinois (1474 calories). Les repas vietnamiens et japonais étaient les moins riches avec en moyenne 922 calories et 1027 calories respectivement.

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Une étude écorche les supposés repas santé de la chaîne Subway

Des chercheurs américains basés en Californie se sont penchés sur certains repas offerts par des chaînes de restauration rapide, et leurs conclusions écorchent solidement certains repas publicités proposés par la chaîne Subway.

On avance même, rapporte le Daily Mail, que plusieurs repas Subway s’avèrent parfois moins « santé » que certains autres offerts chez McDonald’s!

Ce serait notamment vrai en termes de calories et de teneur en sel, Subway coiffant même McDonald’s au poteau dans cette dernière catégorie.

Ce qui dérange les chercheurs américains, c’est que Subway utilise la carte « santé » dans toutes ses promotions, laissant croire aux consommateurs qu’ils font un choix tout à fait éclairé en choisissant les sous-marins Subway.

Or, selon les résultats avancés par l’équipe de chercheurs, la moyenne calorique d’un sous-marin Subway est de 955, contre 1038 pour un repas de chez McDonald’s. Une faible différence, si on considère de plus que Subway propose une moyenne de 2149 milligrammes de sel dans ses repas, contre 1829 pour McDonald’s.

Bien que cette dernière chaîne s’avère somme toute « pire » dans plusieurs catégories, les chercheurs tiennent simplement à prévenir la population que l’entreprise Subway en est également une de restauration rapide et de malbouffe… comme les autres.

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Les restaurants de malbouffe ont manqué à leur promesse

On sait que les aliments que l’on retrouve dans les restaurants rapides de malbouffe sont très élevés en calories, sel et sucre. Ces facteurs contribuent non seulement à l’obésité, mais aussi aux problèmes cardiaques.

Les résultats d’une récente recherche menée par Mary Hearst, physicienne et professeure de santé publique associée à l’Université de St. Catherine au Minnesota, déçoivent grandement. Du moins, c’est ce que rapporte Medical News Today.

« Il s’agit de la première étude qui mesure l’amélioration de la qualité nutritive des aliments contenus dans les menus, et ce, pendant une période où le gouvernement encourageait ces restaurants à le faire », explique Hearst dans son rapport.

Ce sont les 8 chaînes les plus communes de malbouffe aux États-Unis qui ont été évaluées, dont la moitié d’entre elles sont implantées pour ainsi dire partout : McDonald’s, Burger King, Poulet frit Kentucky et Dairy Queen.

De tous les restaurants, seul Poulet frit Kentucky a fait un réel effort pour améliorer la qualité de la nourriture offerte dans ses menus. Sur l’échelle HEI (Healthy Eating Index), les autres ont obtenu au maximum une amélioration de 3 points, comparativement aux 9 points de PFK.

Margo G. Wootan, du Center for Science in the Public Interest à Washington, a appuyé ces résultats. Elle se dit « déçue des résultats », alors que ces mêmes compagnies se sont vantées d’avoir changé le mode de cuisson, l’apport en gras trans, puis diminué le sel dans leurs aliments.

Continuez donc à éviter la malbouffe, malgré la publicité qui contredit les résultats de cette recherche.

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Les repas santé fonctionnent pour réduire l’obésité infantile

La revue médicale JAMA Pediatrics a publié les résultats d’une étude menée auprès de 4870 enfants qui vivaient dans 40 États américains. Parmi ceux-ci, 2350 mangeaient à l’école en payant le plein prix, 1570 mangeaient à l’école en payant un prix réduit offert aux familles dans le besoin, et 950 ne mangeaient pas à l’école.

Dans les États où les standards nutritionnels étaient sous les recommandations nationales, le taux d’obésité était le double chez les enfants qui participaient au programme de dîner à prix réduit, comparativement à celui des enfants qui ne mangeaient pas à l’école, avec 26 % et 13 % respectivement.

Lorsque les États respectaient les normes nationales de nutrition, la différence entre les taux d’obésité pour les deux groupes d’enfants était beaucoup moins grande, avec 21 % et 17 % respectivement.

Les repas offerts dans les écoles américaines ont été critiqués maintes fois dans les dernières années, à cause de leur piètre qualité et de leur prépondérance en malbouffe.

La diététiste de renom Marion Nestle a réagi à ces résultats dans un éditorial, affirmant que « malheureusement, lorsqu’on parle de nourriture dans les écoles, la politique est plus importante que la science », selon MedPageToday.

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Manger des croustilles est pire qu’on aurait pu le croire

Nous savons tous que les croustilles contiennent du gras, du sel, du sucre et des amidons. Ce qu’on ne sait pas nécessairement par contre, c’est que depuis des décennies, les producteurs alimentaires ont transformé les croustilles des années soixante-dix, qui représentaient alors un petit goûté sans danger, en produits conçus pour nous rendre accros par un procédé appelé « la chimie de précision ».

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine par le cardiologue et chercheur alimentaire Dariush Mozaffarian, les croustilles seraient maintenant les plus grandes contributrices à l’épidémie d’obésité aux États-Unis.

Il dit : « Tous les aliments ne sont pas égaux. Manger avec modération ne suffit pas toujours ».

Il a aussi été suggéré que le contenu de ces produits ne contribuerait pas seulement à l’obésité et aux épidémies de maladies cardiaques. Un apport important de croustilles peut non seulement déséquilibrer le corps des enfants et des adultes, mais pourrait aussi être dangereux pour les enfants à naître.

Une étude britannique aurait aussi démontré que la consommation de grandes quantités de frites et de croustilles lors de la grossesse pouvait autant nuire au bébé qu’une future mère fumeuse.

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Les boissons sucrées liées aux calories superflues chez les enfants

La consommation de boissons sucrées (sodas, jus, boissons pour sportifs et boissons énergétiques) a considérablement augmenté aux États-Unis depuis les 20 dernières années, mais jusqu’à récemment, il n’y avait pas de preuve scientifique que celles-ci étaient responsables du fait que les enfants consomment trop de calories.

« Le but premier de cette étude était de déterminer à quel point les boissons sucrées contribuent à un nombre excessif de calories chez les enfants et de trouver les aliments et les liquides associés à une plus grande consommation de boissons sucrées », a expliqué le nutritionniste Kevin Mathias, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Celui-ci a analysé les données provenant de 10 955 enfants et jeunes âgés de 2 à 18 ans. Les résultats montrent que plus les enfants buvaient de boissons sucrées, plus ils mangeaient, mais aussi moins ils buvaient d’autres liquides meilleurs pour leur santé, comme du lait, de l’eau ou du vrai jus.

Parmi les aliments associés à une plus grande consommation de boissons sucrées, on retrouvait différentes sortes de malbouffe : de la pizza, des frites, ainsi que des desserts comme les gâteaux, les tartes, les biscuits et les sucreries.

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Malbouffe pendant la grossesse = Votre enfant accro?

Nous pouvions lire dans l’édition de mars dans le FASEB Journal que de se nourrir de malbouffe pendant la grossesse modifie le développement de la voie de signalisation opioïde du cerveau du bébé.

En d’autres termes, ce qui devrait bloquer le plaisir lors de la consommation de malbouffe ne fonctionne pas normalement. De cette façon, l’enfant développerait une plus grande tolérance à cette nourriture et aurait besoin d’en consommer une plus grande quantité afin de ressentir la satiété.

Cette conclusion, rendue possible grâce aux études effectuées par le Docteur Muhlausler et ses collègues est expliquée comme suit : Sur deux groupes de rats, l’un était nourri d’aliments sains et l’autre, de nourriture contenant un taux élevé de graisse et de sucre.

Les résultats ont démontré que le blocage des récepteurs opioïdes est moins efficace pour réduire les matières grasses et sucrées chez les petits rats dont les mères ont été nourries de ces aliments.

Nous pouvons alors conclure que la malbouffe, en plus de causer une dépendance chez celui qui la consomme, est transmissible par voie fœtale. Voilà une excellente raison de se nourrir sainement lors de la grossesse. Vous éviterez de futurs problèmes de santé à vos enfants.

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Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.