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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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L’alternative au fast-food

Bien ou mieux manger ne signifie pas nécessairement se priver de tout ce que vous aimez. Selon Babble, il existe plusieurs solutions intéressantes pour ceux qui aiment manger de « bonnes » choses (au goût, à tout le moins), comme des aliments gras ou encore du fast-food.

Le tour d’horizon s’entame avec le fameux lait frappé, qui serait facilement remplaçable par le moderne et savoureux smoothie. Ce dernier est une boisson de plus en plus populaire, confectionnée notamment avec des fruits, et s’avère moins calorique et tout aussi délicieux.

Pour les amateurs d’ailes de poulet, on suggère fortement d’abandonner la recette Buffalo pour se tourner plutôt vers celle de la Caroline. Les ailes Caroline sont moins salées et sucrées que les Buffalo.

Maintenant, abordons le sujet des fameuses barres de chocolat, des ennemis notables de la santé et du maintien du poids, qui peuvent être aisément remplacées par de nutritives barres dites « granolas ». Vous noterez qu’une large diversité est maintenant offerte sur le marché, et elles sont savoureuses.

On termine avec la pomme de terre frite, principal facteur alimentaire de l’obésité, selon plusieurs spécialistes. Les frites peuvent céder leur place à de belles pommes de terre cuites au four, qui s’avèrent non seulement plus nutritives, mais aussi bien meilleures!

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La malbouffe associée à l’asthme et l’eczéma chez les enfants

L’étude a inclus plus de 500 000 enfants et jeunes provenant de 51 pays différents, en faisant ainsi un portrait vraiment global plutôt rare dans le domaine de la recherche. Ceux-ci ont été interrogés sur leurs symptômes d’asthme, d’eczéma, et de rhinoconjonctivite, ainsi que sur leurs habitudes alimentaires.

Les enfants et les jeunes qui mangeaient de la malbouffe au moins trois fois par semaine avaient 39 % plus de chances que les autres de souffrir d’asthme sévère, tandis que ce risque était 32 % plus élevé pour la rhinoconjonctivite, et 70 % plus élevé pour l’eczéma sévère.

Ceux qui mangeaient de la malbouffe moins souvent, mais quand même une à deux fois par semaine, avaient également beaucoup plus de chances que les autres de souffrir de ces problèmes.

Fait remarquable: les chercheurs ont constaté que ceux qui mangeaient des fruits au moins trois fois par semaine bénéficiaient d’un effet protecteur devant ces maladies.

« Ces données sont de la plus haute importance pour les autorités en santé publique, étant donné la popularité grandissante de la malbouffe partout sur la planète », ont noté les auteurs dans le journal Thorax, tel que rapporté par Med Page Today.

Ils ont ajouté que « l’association avec la forme sévère de ces maladies et la consommation de fruits et de légumes serait à explorer chez chacun des pays participants ».

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.

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La malbouffe et les grignotines augmenteraient les risques de cancer du côlon

Ne jetez pas vos sacs de croustilles à la poubelle tout de suite, car ce qui suit concerne en premier lieu les gens qui sont déjà à risque de développer un cancer du côlon dans leur vie.

Les résultats de l’étude qui suit peuvent également s’appliquer à tout le monde et envoient un autre signal d’alarme concernant la malbouffe et les collations composées de grignotines mauvaises pour la santé.

C’est que selon l’étude rapportée par www.nlm.nih.gov, des chercheurs des Pays-Bas ont réussi à déceler un risque accru de cancer du côlon chez les gens qui ont déjà des prédispositions envers cette maladie, génétiquement ou via un syndrome comme celui de Lynch, par exemple.

On explique qu’en suivant 486 patients prédisposés à ce type de cancer, les chercheurs concluent que les risques de développer cette maladie en ne mangeant pas sainement et en consommant des collations malsaines augmentent drastiquement… parfois même jusqu’à 50 %.

« Nous avons remarqué chez les patients atteints du syndrome de Lynch qui avaient de mauvaises habitudes alimentaires (croustilles, aliments frits, etc.) un risque accru de 50 % de développer un cancer du côlon que chez ceux qui s’alimentaient bien », confirme Akke Botma, de l’Université Wageningen.

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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Chez les enfants, le sel et les boissons sucrées vont de pair

Des chercheurs australiens ont analysé les données provenant d’enfants et de jeunes de 2 à 16 ans et ont découvert un lien direct entre la consommation de sel et celle de boissons sucrées.

Chaque gramme de sel supplémentaire ajoutait en fait 17 grammes de boissons sucrées comme les jus et les sodas par jour.

En moyenne, les enfants consommaient plus de 6 grammes de sel par jour, un excédent énorme par rapport aux recommandations maximales de 1,5 gramme, ainsi que 248 grammes de boissons sucrées.

Parmi tous les enfants et jeunes étudiés, 62 % buvaient des boissons sucrées de façon quotidienne; la proportion était plus forte chez les enfants plus vieux et ceux provenant de milieux plus défavorisés.

Les enfants qui buvaient plus d’une boisson sucrée par jour étaient 35 % plus susceptibles d’être en surpoids ou encore obèses.

Les chercheurs ont expliqué qu’étant donné la corrélation entre le sel et les boissons sucrées, « la réduction du sel était associée non seulement à une amélioration de la tension artérielle, mais également à une réduction de la consommation de boissons sucrées, ce qui peut avoir un effet direct sur l’obésité chez les enfants », tel que rapporté par MedPageToday.

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Des outils pour éviter que les jeunes soient tentés par la malbouffe

L’obésité chez l’enfant n’est pas unique à l’Europe. Cependant, la firme TEMPEST, regroupant plusieurs chercheurs, dont Liliya Nureeva de l’Université Aarhus, a choisi de se pencher sur les outils nécessaires pour enrayer la tentation à la base.

La raison est simple, on ne peut pas éliminer la malbouffe, les sucreries et autres collations malsaines. Il faut donc s’attaquer à la tentation de céder à ces gâteries déjà prêtes à consommer et faciles à se procurer.

La première solution consiste à responsabiliser l’enfant sur ses propres habitudes alimentaires et le faire participer activement à la solution pour améliorer sa santé.

Selon Nureeva, « certains enfants s’octroient, par exemple, le droit de manger des sucreries seulement le weekend, alors que d’autres s’obligent à manger des fruits chaque jour. Il est important qu’ils déterminent eux-mêmes une partie de leurs limites ».

Dans un livre de poche qui sera publié d’ici la fin de l’année, la firme TEMPEST décrira de nombreux trucs et astuces pour aider les enfants à se départir de leurs mauvaises habitudes alimentaires, mais également des trucs pour les parents, professeurs ou tout autre adulte en contact avec les enfants.

Le problème demeure complexe, mais TEMPEST a bon espoir de diminuer considérablement les catalyseurs de la tentation.

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Le fast-food reçoit un autre blâme

Les chaînes de restauration rapide n’ont vraiment pas bonne presse depuis le tournant des années 2000, et les gens qui ignorent les effets néfastes de cette nourriture n’ont sûrement pas ouvert un journal depuis 12 ans.

Qu’à cela ne tienne, les chercheurs et spécialistes du monde entier s’entendent pour dire qu’on ne fera jamais assez de prévention en terme de nutrition, et spécialement pour prévenir les gens des dangers de la malbouffe.

Cette fois, c’est une équipe de l’Université de Montréal qui attaque le fast-food, en mettant en garde contre les méfaits immédiats de la malbouffe sur les artères. Ils ont comparé ce type de régime à une diète méditerranéenne, afin de confirmer la présence de différents types de gras, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les conclusions confirment effectivement que la malbouffe renferme des gras saturés, nocifs, alors que les plats dits méditerranéens contiennent plutôt des gras polyinsaturés bénéfiques.

L’étude suivait 28 hommes non-fumeurs qui adoptaient d’abord un régime alimentaire santé. Puis, on leur a offert un repas de fast-food une semaine plus tard.

Ce seul repas a entrainé des dommages aux fonctions endothéliales, qui jouent un rôle dans la dilatation des vaisseaux sanguins. Ce système influence la possibilité de développer ultérieurement des problèmes cardiaques.

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La malbouffe rend-elle bête?

(Relaxnews) – Une étude menée en laboratoire sur des souris montre qu’un régime hypercalorique amoindrit les facultés cognitives des cobayes obèses.

Des chercheurs de l’Université de Washington DC ont montré qu’un régime hypercalorique à base de friture et autres aliments très gras pouvait engendrer un cercle vicieux chez les souris de laboratoire.

Plus elles mangeaient des aliments à forte teneur en graisse, plus la barrière hémato-encéphalique (entre la circulation sanguine et le système nerveux central) s’affaiblissait, et réduisait l’irrigation de l’hippocampe, la zone du cerveau qui gère l’apprentissage et la mémoire.

Cette étude, parue dans la revue Physiology and Behavior, a fait passer une batterie de tests cognitifs à des rats de laboratoire ayant suivi un régime soit hypercalorique soit hypocalorique.

Les cobayes devenus obèses suite à une alimentation excessivement grasse enregistraient de moins bons résultats que leurs pairs de poids normal au cours de ces tests cognitifs, selon les auteurs de l’étude.

« Il me semble qu’un cercle vicieux entre l’obésité et le ralentissement cognitif se met en place », explique Terry Davidson, responsable de l’étude. Et d’ajouter, « le régime hypercalorique entraîne une surconsommation de nourriture parce que ce système inhibiteur est progressivement entravé. Et malheureusement, ce système inhibiteur sert aussi à se souvenir et à se débarrasser des pensées parasites ».

Comme l’hippocampe gère aussi la suppression des souvenirs, les résultats de cette étude suggèrent par ailleurs qu’un régime très gras et sucré peut mettre à mal la capacité qu’a le cerveau d’effacer des pensées indésirables, comme l’envie d’aliments très caloriques, et entraîner ainsi un cercle vicieux de surconsommation.