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La consommation de malbouffe liée à la dépression

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont confirmé un lien entre la consommation de nourriture des chaînes de restauration rapide et un risque accru de dépression.
 
En fait, la malbouffe augmente de 51 % les risques d’être dépressif.
 
L’étude parue dans le Public Health Nutrition a suivi 8964 personnes pendant six mois. Les participants n’avaient jamais reçu de diagnostic de dépression et n’avaient jamais pris d’antidépresseurs.
 
On constate que les personnes qui consommaient le plus de fast-food avaient une nette tendance à être plus dépressives. Et plus elles en mangent, plus les risques de dépression sont élevés.
 
De plus, ces consommateurs étaient aussi plus susceptibles d’être célibataires, moins actifs et d’avoir un mode de vie malsain. Ils consomment peu de fruits, de légumes et de poissons. Ils ont également plus tendance à fumer et à travailler plus de 45 heures par semaine.
 
Bien que d’autres études doivent être faites, on mentionne que ces résultats sont tout de même à prendre au sérieux. « Même consommé en petites quantités, le fast-food est lié à un risque significativement plus élevé de développer une dépression », explique le Dr Almudena Sánchez-Villegas, principal auteur des travaux.
Soulignons que la dépression touche 121 millions de personnes dans le monde.
 
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L’alcool, la malbouffe et le tabac rendent les adolescents malheureux

5 000 jeunes ont été interrogés sur leur apparence, leur famille, leurs amis, l’école et leur vie dans l’ensemble et selon ce que rapporte le Daily Mail, les jeunes qui n’ont jamais consommé de l’alcool sont entre quatre et six fois plus susceptibles d’être heureux que ceux qui en ont pris.                        

Ceux qui se sont abstenus de fumer la cigarette sont quant à eux cinq fois plus susceptibles d’avoir une meilleure cote de bonheur.
 
Cette étude confirme donc que les habitudes de vie malsaines sont étroitement liées au niveau de bonheur, et ce, même en tenant compte du revenu familial et de l’éducation des parents.
 
Au niveau de la consommation d’alcool dans le dernier mois, 8 % des jeunes de 11 et 12 ans ont déclaré en avoir pris et 41 % chez les 13-15 ans.
 
Toutefois, les jeunes qui consomment le plus de fruits et légumes et qui font du sport sont plus heureux.
 
Les résultats démontrent également que pour les 13-15 ans, seulement 11 % disent consommer cinq portions de fruits et légumes quotidiennement. 
 
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Bannir la malbouffe : les Américains pourraient s’inspirer des Québécois

Des économistes de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur l’effet qu’avait eu sur sa population l’interdiction de faire de la publicité aux enfants québécois pour de la malbouffe, entre 1984 à 1992.

C’est en comparant les provinces anglophones canadiennes au Québec que les chercheurs ont trouvé que réduire de 13 % la publicité reliée au fast-food chaque semaine permettait de consommer de 11 à 22 millions de repas gras en moins par an et ainsi éviter la prise de 2200 à 4400 millions de calories chez les enfants.

Bien que les résultats ne seraient pas aussi robustes qu’au Québec, l’interdiction pourrait être appliquée aux États-Unis. Pour nos voisins du sud, les chercheurs ne pensent pas que la modération a bien meilleur goût, et l’interdiction complète de publicité de malbouffe devrait être en vigueur.

Cependant, les chercheurs se disent inquiets de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs, puisque lorsque l’étude a été réalisée à la fin des années 80 au Québec, les jeunes regardaient moins la télévision et n’avaient pas accès aux jeux vidéo et à l’Internet comme c’est le cas aujourd’hui.

Un gros débat aux États-Unis entoure la façon de faire au Québec qui est d’interdire la malbouffe dans les publicités pendant les dessins animés ou sur des sites internet pour enfants, ou même sur l’emballage des produits dans les magasins.

Conscientes du problème croissant d’obésité, certaines entreprises alimentaires américaines de premier plan ont déjà signé pour limiter la publicité aux enfants.

Il semblerait qu’environ 11 milliards par année soient consacrés à la publicité pour malbouffe qui attire l’œil des enfants. La restauration rapide est l’une des catégories de produits les plus annoncées.

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Obésité infantile : la malbouffe dans les écoles n’y est pour rien

Bien que le pourcentage d’enfants obèses aux États-Unis ait triplé entre le début des années 70 et la fin des années 2000, une nouvelle étude révèle que le gain de poids n’a aucun lien avec la malbouffe offerte à l’école.

Jennifer Van Hook, professeure en sociologie et démographie à la Pennsylvania State University et auteure de cette étude, s’est dite surprise de ce résultat.

Son étude a suivi un échantillon national représentatif d’élèves de la maternelle à la huitième année. Elle a remarqué que malgré la disponibilité accrue de la malbouffe en milieu scolaire, le pourcentage d’élèves qui étaient en surpoids ou obèses n’a pas augmenté, mais même diminué entre la cinquième et la huitième année, passant de 39,1 % à 35,4 %.

Van Hook explique que les écoles ne représentent qu’une petite partie de l’alimentation des jeunes, et leur horaire chargé fait qu’ils ne peuvent pas manger à tout moment de la journée. Le réel danger se situe beaucoup plus à la maison, selon elle.

La professeure rappelle que pour lutter contre l’obésité, il faut inculquer de bonnes et saines habitudes alimentaires lorsque l’enfant a moins de 5 ans. Si les enfants ont pris de bonnes habitudes, la sorte de nourriture offerte dans les écoles n’influencera aucunement le comportement de ces derniers.

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Malbouffe : la publicité en ligne néfaste pour les enfants

La British Heart Foundation vient en effet de dénoncer les stratégies des marques pour vendre leurs produits.

Pour attirer les enfants, des jeux et des bannières sont notamment mis en ligne. Ces techniques inciteraient les enfants à manger plus d’aliments gras et sucrés.

Ce phénomène est inquiétant, surtout à l’heure où les petits Anglais surfent avec l’obésité.

L’association britannique explique que les enfants ne sont pas en mesure de décoder les messages publicitaires. Du coup, les petits sont tentés par les produits qu’ils voient en ligne.

Pour éviter ces tentations, de nouvelles règles devraient être adoptées par le gouvernement et certaines compagnies alimentaires. Ces mesures permettraient ainsi de protéger les enfants des dangers de la malbouffe.

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Un meilleur moyen pour dissuader les gens de choisir la malbouffe

Les étiquettes nutritionnelles traditionnelles, affichant notamment le nombre de calories contenues dans les aliments, ne sont pas assez dissuasives, car la majorité des gens sous-estiment le nombre de calories et n’ont aucun repère pour bien comprendre les chiffres indiqués.
 
Des chercheurs de l’Université Johns Hopkins de Baltimore, aux États-Unis, ont trouvé un moyen efficace pour réduire la consommation de malbouffe et de boissons gazeuses chez des adolescents.
 
Les étiquettes affichaient la quantité d’exercice physique nécessaire pour brûler le nombre de calories ingérées. Par exemple : une bouteille de soda = près d’une heure de jogging.
 
Avec ce type d’information, les chercheurs ont constaté que les jeunes étaient deux fois moins susceptibles de choisir les aliments malsains. Ces informations étaient plus concrètes et faciles à comprendre.
 
Il s’agirait donc d’une option intéressante à envisager pour dissuader les gens d’opter pour des choix moins santé.
 
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La malbouffe pourrait rendre infertile

Les jeunes hommes devraient consommer moins de malbouffe s’ils souhaitent un jour devenir pères. En effet, le Daily Mail affirme que les pizzas, frites, croustilles et autres aliments du genre peuvent entraîner l’infertilité.
 
Après avoir analysé le sperme de 188 jeunes hommes âgés de 18 à 22 ans, les chercheurs ont constaté que ceux ayant une alimentation riche en gras trans avaient des spermatozoïdes moins susceptibles de survivre au voyage les menant à la fécondation de l’ovule. De plus, leur concentration de spermatozoïdes était également moins élevée.
 
Les jeunes hommes qui avaient une alimentation saine ne connaissaient pas ce genre de problème.
 
Des études supplémentaires, à plus grande échelle, doivent être effectuées afin de confirmer ces résultats obtenus sur un petit nombre de garçons.
 
Ces premières conclusions démontrent toutefois que l’alimentation aurait effectivement un impact direct sur le système reproducteur.
 
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Incapable de cesser de manger du pop corn au cinéma?

Des scientifiques de l’University of Southern California ont découvert que ce n’est pas seulement le goût d’un aliment qui nous fait succomber à la tentation.
 
En fait, une fois que nous avons associé un aliment à un lieu, comme le maïs soufflé au cinéma, nous allons continuer d’en manger même s’il n’est pas frais.
 
Les chercheurs ont fait le test en donnant des seaux de pop corn dans un cinéma. Il y avait des seaux de maïs éclaté frais et d’autres périmés depuis quelques semaines.
 
Les personnes qui n’avaient pas l’habitude de manger du maïs au cinéma ont consommé plus de pop corn frais, car le périmé n’avait pas bon goût. Les personnes qui mangeaient toujours du maïs soufflé au cinéma ont mangé autant des deux, ne faisant pas la différence entre le frais et le périmé.
 
Cela met en évidence une nouvelle perspective, à savoir pourquoi les gens continuent de manger même s’ils n’ont plus faim.
 
Lorsque nous mangeons un aliment spécifique dans un endroit particulier, cela devient presque un réflexe et nous allons toujours manger de cet aliment à cet endroit.
 
Lorsqu’on a donné du pop corn à des gens regardant des vidéos dans une salle de conférence, un lieu qui n’est pas associé à cet aliment, le goût importait grandement sur la consommation de maïs éclaté.
 
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La malbouffe cause de graves problèmes de santé chez les adolescentes

Les adolescentes qui boudent les fruits, légumes et poissons gras en privilégient la malbouffe pourraient avoir de graves problèmes de santé plus tard, en plus naturellement d’entraîner l’obésité, selon le Telegraph.
 
Ce type d’alimentation les prive de nutriments et vitamines essentiels. Selon les nutritionnistes, ces jeunes femmes se retrouvent bien souvent avec des carences en fer, en magnésium et en sélénium.
 
Le fer présent dans la viande rouge et les légumes verts est vital pour la production de globules rouges et la santé du cerveau. Le magnésium aide à avoir des os solides et le sélénium est bénéfique pour le système immunitaire.
 
Une fille sur dix a une carence en calcium également, ce qui entraîne une fragilité des os, les exposant à un risque accru de fractures.

Il est donc important d’avoir un régime alimentaire équilibré, et ce, dès le plus jeune âge afin de le maintenir toute sa vie.

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La malbouffe détruit la capacité du cerveau à gérer l’appétit

Le DailyMail nous apprend que la malbouffe est non seulement mauvaise pour la santé en général, mais elle détruit certaines cellules du cerveau qui aident à contrôler le poids.
 
Cela cause donc le cercle vicieux de l’obésité et expliquerait pourquoi certaines personnes ont tant de mal à perdre leurs livres en surplus.
 
Après avoir fait des tests avec des souris de laboratoire, les chercheurs ont observé que la malbouffe causait une inflammation de l’hypothalamus, la partie du cerveau comprenant les neurones qui maîtrisent le poids.
 
Toutefois, on ignore encore si ces dommages cellulaires sont permanents, mais ils contribuent sans l’ombre d’un doute à la prise de poids.

Éventuellement, cette découverte pourrait mener à la création d’un médicament pour remédier au phénomène.