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Les repas en famille préviennent l’obésité

Selon Pediatrics, on aurait démontré que les repas en famille font en sorte que les enfants mangent plus de légumes et se nourrissent en général de manière plus santé.

En fait, les enfants qui mangent avec leurs parents au moins 3 fois par semaine sont 12 % moins à risque de développer un surpoids, selon une recherche ayant porté sur près de 183 000 jeunes âgés de 2 à 17 ans. Elle a été dirigée par l’Université de l’Illinois.
 
De plus, les enfants étaient 20 % moins portés à consommer de la malbouffe et 24 % plus enclins à manger des aliments sains, comme des légumes. Il semble finalement que les jeunes couraient 35 % moins de risque d’avoir des troubles de l’alimentation.

Certains soutiennent toutefois qu’il ne s’agit ici que d’une simple corrélation. Malgré tout, s’asseoir en famille semble constituer une bonne avenue pour régler les problèmes de santé que sont le surpoids et l’obésité dans la société actuelle. Rappelons qu’en 2008, aux États-Unis, 1 fille sur 7 et 1 garçon sur 6 étaient considérés comme obèses.

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Une taxe sur la malbouffe serait inefficace

Taxer la malbouffe ne serait pas la mesure la plus efficace pour contrer l’obésité. Il serait avant tout préférable de poser des avertissements comme on en retrouve sur les paquets de cigarettes.
 
« Taxer les aliments mauvais pour la santé, c’est très efficace comme source de revenus pour l’État, mais ça n’a que de modestes effets sur les comportements alimentaires. Par contre, si l’objectif est de financer le système de santé, taxer la malbouffe est une idée qui se défend. Puisque ceux qui paieront le plus sont aussi ceux qui auront le plus besoin des services de santé », disait à La Presse Sean Cash, professeur au Département des sciences de la consommation à l’Université du Wisconsin, de passage à Montréal pour le Congrès national sur l’obésité.
 
M. Cash a récemment effectué une recherche qui démontre que les taxes n’ont pas l’effet recherché avec la malbouffe. Par contre, les personnes en surpoids étaient plus ébranlées par des avertissements et orientaient mieux leurs choix vers des produits plus sains.
 
Un autre moyen très incitatif pour conter l’obésité est de réduire le prix des aliments sains, mais pour cela, il faudrait investir l’argent à cet endroit.
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Dur, dur d’être maman

Une étude parue dans Pediatrics fait un constat plutôt inquiétant sur la santé des jeunes parents et de leurs enfants. Il semble que la parentalité entraînerait son lot de problèmes sur la santé, particulièrement pour les mères.

En effet, un sondage effectué auprès de 1 500 adultes dans la vingtaine a démontré que les mamans étaient plus enclines à consommer de la malbouffe et des aliments très caloriques que les autres femmes.
 
Ce comportement est bien entendu reproduit par leurs enfants. Ce constat est assez inquiétant, d’autant plus que les mères avaient aussi un indice de masse corporelle plus élevé que les autres.

Malgré tout, on a noté, par le biais d’un sondage, que les jeunes parents, tant les hommes que les femmes, faisaient des activités physiques d’un effort modéré à vigoureux.

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Le goût de la malbouffe dès le stade foetal?

Selon une récente étude australienne, un bébé aurait une préférence, voire une dépendance, à la malbouffe si sa mère en a beaucoup consommé lorsqu’elle était enceinte.

En effet, il semble qu’une alimentation riche en gras et en sucre durant la grossesse viendrait à influencer certains modèles présents dans le cerveau du fœtus, ce qui altèrerait ses goûts alimentaires.

Ainsi, une fois né, l’enfant serait plus porté à préférer la malbouffe à d’autres types de nourriture.

Bien que cette étude parue dans FASEB Journal ait porté sur des rats, on peut déjà voir une explication possible quant à la capacité pour certaines personnes de résister à des tentations sucrées ou riches en gras, alors que d’autres n’y arrivent tout simplement pas.

De plus, on peut y voir un nouveau facteur de l’augmentation du taux d’obésité dans nos sociétés. Ces résultats nous indiquent surtout une nouvelle façon d’aider les futures mamans et celles qui allaitent à faire les bons choix alimentaires, afin d’offrir les meilleures bases à leur enfant.

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La proximité des fast-foods incite-t-elle à en consommer plus?

Des chercheurs québécois ont étudié l’influence de la présence des chaînes de restauration rapide dans un rayon de 500 mètres sur la consommation des gens.
 
Ils ont découvert que 33 % des gens vivant dans un tel secteur étaient plus sensibles aux stimuli présents dans l’environnement. Ainsi, ces personnes consommaient plus de malbouffe que les autres, chez qui les fast-foods n’avaient aucun effet.
 
L’étude a été faite avec 400 Montréalais de sept secteurs de l’île. « On a regardé si la densité de restaurants de fast-food dans un rayon de 500 mètres de leur domicile influençait la probabilité que ces personnes rapportent avoir consommé du fast-food dans la semaine précédant l’enquête », explique la coauteure de l’étude, Laurette Dubé.
 
Selon The American Journal of Clinical Nutrition, le tiers des gens était plus sensible aux récompenses. Ces personnes, qui font des choses simplement parce qu’elles sont amusantes et n’attendent pas avant de faire une chose qui leur plaît, consomment 49 % plus de malbouffe que les autres.
 
Les gens les plus influençables étaient des jeunes, ceux étant moins éduqués et moins fortunés et des femmes.
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L’Organisation mondiale de la santé va s’attaquer à la malbouffe

En septembre prochain, lors de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, on discutera sérieusement de la possibilité d’instaurer des lois contre la malbouffe.
 
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que les efforts pour réduire considérablement la malbouffe, ou plutôt la publicité sur celle-ci, surtout pour les enfants, seront à l’avant-plan dans les discussions.
 
On estime que 43 millions d’enfants souffrent d’embonpoint ou d’obésité, et ce, avant même qu’ils aient commencé à fréquenter l’école. Ce fléau est déjà responsable de nombreux décès prématurés dans le monde, car dès leur jeune âge, les enfants souffrent d’une santé déficiente et de certaines maladies graves, comme le diabète.
 
Les dirigeants croient que des lois interdisant la publicité de la malbouffe devraient éventuellement voir le jour, tout comme cela a été le cas avec le tabac il y a quelques années.
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Le thé pourrait empêcher la prise de poids due à la malbouffe

Une étude parue dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry mentionne que boire du thé pourrait prévenir la prise de poids causée par une alimentation riche en graisse.
 
De plus, cela permettrait également de contrer les effets néfastes sur le sang, ce qui mène habituellement à un cholestérol élevé et au diabète de type 2.
 
Une nouvelle recherche menée sur des souris a donné des résultats plutôt surprenants. Un groupe de souris a reçu une alimentation riche en graisse et l’autre groupe, une alimentation normale. Pendant 14 semaines, on leur a ensuite donné à boire soit de l’eau, du thé noir ou du thé vert.
 
Les deux types de thés avaient neutralisé le gain de poids corporel et l’accumulation de graisse abdominale. Par contre, le thé noir avait aussi contré les effets néfastes de la malbouffe sur le sang.
 
Ces résultats doivent maintenant être confirmés sur des humains.
 
Le thé est déjà reconnu pour diminuer les risques de maladies cardiaques, le cancer et la maladie de Parkinson. De plus, une autre étude révélait qu’après une consommation d’une dizaine d’années, le thé pouvait aussi améliorer la densité osseuse.
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Les repas de restauration rapide: très mauvais pour les enfants

C’est ce qu’ont pu affirmer des chercheurs de l’Université Yale aux États-Unis. Sur plus de 3 000 combinaisons possibles de repas pour enfants, seulement 12 étaient acceptables pour des enfants de 2 à 5 ans.

Nous pouvons aussi lire sur Parentcentral.ca que 15 repas se sont trouvés adéquats pour des enfants un peu plus vieux.

La raison de ces pauvres performances est que si la plupart des repas pour enfants viennent avec un à-côté santé, ils demeurent très riches en gras saturé et en sel.

Cette étude a aussi traité de l’effet de la publicité de ces chaînes de restauration rapide sur les enfants. Il semble que les enfants d’âge préscolaire voient en moyenne trois annonces par jour sur la restauration rapide.

De plus, 40 % des enfants âgés de 2 à 11 ans demandent à leurs parents d’aller y manger au moins une fois par semaine.

Finalement, 15 % des enfants d’âge préscolaire aimeraient s’y rendre tous les jours.

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Le jus d’orange pour contrer les effets de la malbouffe

Il semblerait qu’un grand verre de jus d’orange pris en mangeant un repas riche en hydrates de carbone neutraliserait, ou du moins diminuerait, l’impact de la teneur élevée en matières grasses.
 
Selon ce que rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition, le jus d’orange contient des flavonoïdes, un composé végétal reconnu pour ses propriétés de guérison qui diminue le stress et l’inflammation.
 
30 personnes divisées en trois groupes de 10 ont participé à l’étude de l’Université de Buffalo. Toutes ces personnes ont eu le même repas de restaurant-minute de 900 calories, 51 grammes de matières grasses, 32 grammes de protéines et 81 grammes de glucides. 10 ont eu de l’eau à boire, 10 une boisson de 300 calories de glucose et 10 un jus d’orange de 300 calories.
 
Chez les personnes ayant bu le jus d’orange, les marqueurs de stress et d’inflammation sont restés les mêmes, alors que chez les autres, ils ont grimpé.
 
De plus, on a remarqué, après des tests sanguins pris à différentes périodes suivant les repas, que le jus d’orange permettait un meilleur contrôle de la glycémie, diminuant ainsi les risques de diabète de type 2.
 
L’adage qui préconise de consommer une pomme par jour devra maintenant dire d’ajouter un grand verre de jus d’orange également.
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La malbouffe serait comme une drogue pour le cerveau

Une étude américaine dirigée par les docteurs Paul Johnson et Paul Kenny de l’Institut Scripps démontre que la malbouffe crée une dépendance.
 
Le Nature Neuroscience mentionne qu’après des expériences menées sur des rats, on a découvert qu’une mauvaise alimentation influençait les mêmes régions du cerveau que celles activées par la drogue, comme la cocaïne par exemple. Ce phénomène inciterait donc à une plus grande consommation en créant une dépendance.
 
L’équilibre chimique des circuits de récompense se détériore peu à peu, ce qui entraîne une plus grande consommation. « L’étude présente la preuve la plus précise et la plus rigoureuse que la dépendance aux drogues et l’obésité sont fondées sur les mêmes mécanismes neurobiologiques sous-jacents », indique Paul Kenny.
 
Pour la recherche, on a donné à des rats leur alimentation normale, en plus d’ajouter de la nourriture riche en calories comme du bacon ou du chocolat. Rapidement, les rats se sont suralimentés de façon compulsive et sont devenus obèses.
 
Cette étude démontre clairement que la malbouffe crée une dépendance.