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Chris Pratt pourrait rejoindre Channing Tatum pour Ghosbusters

Le monde du cinéma a été pris de court à la suite de l’annonce d’un autre Ghostbusters à la distribution masculine par Sony, comme le rapporte EmpireOnline.

Channing Tatum, Dan Aykroyd et Ivan Reitman sont déjà attachés au projet, ce qui n’est pas sans rallier les fans de la franchise initiale.

Quelques heures à peine après l’annonce, voilà que l’on apprend que Chris Pratt pourrait rejoindre Channing Tatum au générique de ce nouveau Ghosbusters. La star de Jurassic World serait pressentie par Sony, qui cherche à créer un univers cinématique avec la franchise.

Rien à craindre, donc, concernant le Ghosbusters tout féminin mettant en vedette Kristen Wiig, Kate McKinnon et Melissa McCarthy. Le projet va toujours de l’avant, et s’inscrit dans la stratégie de Sony pour la nouvelle franchise Ghostbusters.

On peut donc s’attendre à un univers élargi, un peu comme Marvel l’a fait pour The Avengers.

Il s’agit par ailleurs d’une grande victoire pour Dan Aykroyd, qui militait depuis longtemps pour un troisième Ghosbusters, et qui souhaite éviter d’être mis sur les lignes de côté.

Les frères Joe et Anthony Russo, réalisateurs de Captain America : The Winter Soldier, se sont vus confier la direction du projet masculin de Ghostbusters.

La première version du nouveau Ghostbusters, soit celle de Paul Feig, est prévue pour juillet 2016.

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La fertilité des garçons en jeu si la future mère fume

La cigarette est liée à d’innombrables conséquences néfastes, surtout pendant la grossesse. Une récente étude publiée dans la revue Human Reproduction démontre maintenant que la fertilité des garçons est à risque.

Il ne s’agit pas seulement de l’utilisation du tabac pendant la grossesse, mais aussi lors de l’allaitement, indique Science World Report.

Évidemment, les tests ont été effectués en laboratoire auprès d’animaux. « Il serait contre toute éthique d’exposer délibérément des femmes enceintes et leur progéniture aux toxines de la cigarette », explique l’auteure principale, Eileen McLaughlin.

« Nous savons déjà que fumer pendant la grossesse cause des dommages au fœtus, et ceux-ci sont souvent plus petits à la naissance et vulnérables à la maladie. C’est pourquoi nous avons utilisé des souris. »

Les résultats de McLaughlin et son équipe de Newcastle, en Australie, ont été concluants. « Nos résultats démontrent que les mâles de mères “fumeuses” avaient moins de spermatozoïdes, ceux-ci se déplaçaient avec difficulté, présentaient des formes anormales et étaient incapables de percer l’ovule dans le cadre de fertilisation in vitro. »

Par conséquent, explique la scientifique, les mâles adultes étaient peu fertiles ou totalement infertiles.

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.