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Grossesse après 35 ans : risque moins élevé de malformation congénitale

Les malformations congénitales peuvent, sans y être restreintes, atteindre le cœur, le cerveau, les reins, les intestins et les os.

Les résultats de la recherche sont publiés dans le cadre de la rencontre annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine.

Pour en arriver à la conclusion que le risque d’anomalies congénitales diminue avec l’âge de la femme enceinte, on a utilisé les résultats d’échographies de 2e trimestre récoltées chez plus de 76 000 femmes.  La comparaison des données s’est effectuée chez les femmes de moins de 35 ans et de plus de 35 ans.

Les scientifiques ont déterminé que le risque de malformations congénitales diminuait de 40 % avec les femmes enceintes de plus de 35 ans, sauf en ce qui a trait aux malformations cardiaques, où aucun changement n’a été noté.

Comme le mentionne la Dre Katherine R. Goetzinger, cette recherche apportera un peu de réconfort aux femmes qui souhaitent avoir un enfant plus tard dans leur vie, puisqu’elles se font toujours dire que les risques augmentent avec l’âge.

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Des toxines très présentes chez certains bébés

Une étude menée par l’Imperial College London a démontré que les bébés souffrant d’une malformation cardiaque congénitale sont plus enclins à avoir des toxines dangereuses dans leur sang.

Cela comporte plusieurs dangers. On a aussi découvert que les enfants qui présentaient un fort taux de toxines (de bactéries intestinales) se remettaient plus difficilement d’une chirurgie cardiaque et passaient plus de temps aux soins intensifs.

Il ne s’agit pas d’un problème rare, en plus, la malformation cardiaque congénitale est la défectuosité de naissance la plus répandue, touchant 1 bébé sur 45. Toutefois, ce ne sont pas tous les enfants concernés qui nécessitent une intervention chirurgicale.

Parue dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, cette étude a porté sur 40 enfants âgés de 2 à 46 mois.

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Les analgésiques peuvent être mauvais pour le nouveau-né

Babycenter.com rapporte que selon un nouveau rapport du gouvernement américain, les futures mamans qui consomment des analgésiques opioïdes comme la codéine, l’hydrocodone ou l’oxycodone peuvent augmenter le risque de malformations congénitales du fœtus.

La consommation de ces types d’analgésiques juste avant la grossesse ou durant ses premiers stades a été liée à un risque faible de malformations cardiaques congénitales, dans une récente étude.

Le risque était également plus élevé pour d’autres types de malformations congénitales.

Le Dr Thomas R. Frieden a déclaré : « Les femmes qui sont enceintes ou qui songent à tomber enceintes devraient savoir qu’il y a des risques associés à l’utilisation d’analgésiques. Elles ne devraient consommer que des médicaments qui sont essentiels, après consultation auprès de leur médecin. » 

Soulignons qu’environ 40 000 enfants naissent avec des malformations cardiaques congénitales aux États-Unis chaque année. Plusieurs d’entre eux décèdent au courant de l’année, alors que les enfants qui survivent peuvent être sujets à de longues hospitalisations, de multiples opérations et de longs traitements pour des problèmes médicaux.  

Les auteurs de cette étude tiennent tout de même à préciser que les risques encourus avec la consommation d’analgésiques avant ou durant la grossesse sont peu élevés.

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Espoir quant aux malformations cardiaques infantiles

Il semble qu’une malformation congénitale du cœur pourrait être réparée en utilisant les cellules souches de la personne malade. Il s’agit là d’une grande percée dans le traitement des malformations cardiaques chez les enfants.

Cette nouvelle avenue provient d’une recherche menée par l’Association américaine du cœur parue dernièrement dans la revue scientifique Circulation.

En laboratoire, on a effectivement pu reconstruire le cœur touché par des malformations congénitales en employant les cellules souches du patient. Cette voie thérapeutique est si prometteuse que de nombreux petits patients pourraient ainsi éviter la transplantation cardiaque.

Grâce aux avancées de la médecine, les enfants étant atteints au cœur peuvent maintenant vivre plus longtemps, voire éviter la crise cardiaque. Leur qualité et leur durée de vie s’en trouvent elles aussi grandement améliorées.

Après avoir suivi des patients âgés de quelques jours jusqu’à 13 ans, on a pu remarquer que le nombre de cellules souches est beaucoup plus grand chez les poupons et qu’il tend à descendre très rapidement en fonction de l’âge. On a aussi remarqué qu’elles se retrouvaient surtout dans le ventricule droit du cœur.

Ce nouveau traitement est très encourageant pour les enfants atteints d’une malformation cardiaque, car dans leur cas, les maladies du cœur ne se présentent pas de la même façon que chez l’adulte et ne se traitent donc pas avec les mêmes méthodes.

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Moins de décès dus aux anomalies cardiaques chez les nouveau-nés

Selon un article paru dans Circulation, les décès causés par les malformations cardiaques congénitales ont baissé de 24 % en une dizaine d’années.

Les avancées technologiques en seraient probablement la cause, de même que les meilleurs diagnostics et traitements qu’elles engendrent.

S’étant étalée de 1999 à 2006 aux États-Unis, cette étude réalisée en collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) offre beaucoup d’espoir aux nouveau-nés aux prises avec ce type de malformations.

Ces anomalies de la structure cardiaque peuvent entraîner de nombreux problèmes de santé. Parmi eux, on compte le haut rythme cardiaque, la haute pression sanguine et la congestion des artères.

D’autre part, il semble que le taux de mortalité lié à ces problèmes soit en baisse depuis déjà de nombreuses années. En effet, une étude précédente parue en 2001 avait relevé une chute de 39 % de 1979 à 1997.