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La plupart des personnes âgées souffrent de problèmes de malnutrition

La plupart des personnes d’âge mûr qui vivent seules, sans soutien médical et qui font une visite à l’urgence sont malnutris.

Le plus alarmant pour Timothy F.Platts-Mills, coauteur de la récente étude, ils sont nombreux à n’avoir jamais été diagnostiqués pour malnutrition. La plupart ne sont donc pas au courant de leur trouble.

L’étude de l’Université de Caroline du Nord s’est penchée sur les cas de 138 adultes de 65 ans et plus qui ont subi un examen médical et répondu à un questionnaire.

Les données mettent en lumière que 16 % des participants à l’étude étaient malnutris. Parmi eux, 77 % n’étaient pas au courant de leur état. Selon les réponses, parmi les 138 participants, 60 % étaient à risque de malnutrition. Il n’y avait donc que 24 % des répondants qui se nourrissaient suffisamment.

La situation serait pire chez les aînés en perte d’autonomie, présentant des symptômes de dépression, des ennuis de mobilité ou des problèmes à s’alimenter, énumère Top Santé.

Pour les chercheurs, la solution pour améliorer cette réalité consisterait à « mettre en œuvre une supplémentation nutritionnelle qui serait peu coûteuse et qui permettrait de réduire les réadmissions de ces patients ».

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De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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Une banque de lait maternel pour les enfants dans le besoin

R.K. Agarwal, officier en chef des opérations de cette nouvelle initiative inaugurée au Rajasthan, est fier de pouvoir offrir sans frais « du lait maternel pasteurisé et sans danger ». C’est ce qu’il a confié à l’agence AFP, selon Medicalxpress.

Il s’agirait du premier centre de la sorte instauré dans le nord de l’Inde. Agarwal, qui est pédiatre, a mentionné que leur culture est habituée à ce genre d’aide entre mères. « Ici, c’est une tradition. Il a d’ailleurs été prouvé scientifiquement que le lait maternel fait des miracles auprès des nourrissons. »

Rappelons que selon UNICEF, 1 enfant sur 3 qui souffre de malnutrition provient de l’Inde. Voilà donc pourquoi la Divya Mothers Milk Bank est si précieuse pour la population locale. Ce sont des bénévoles qui sillonnent les rues environnantes pour solliciter des mères à donner volontairement leur lait maternel pour cette cause.

Les candidates passent une batterie de tests afin d’éviter toute maladie qui pourrait s’avérer dangereuse, puis le lait maternel est pasteurisé, avant d’être réfrigéré.

Les nouveau-nés qui ont le plus besoin de ce lait sont les prématurés. Bien souvent, les mères ne produisent pas de lait et le fait de nourrir l’enfant avec du lait maternel lui offre de bien meilleures chances de combattre les infections. Ainsi, ses chances de survie et de développement normal sont considérablement accrues.

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Malnutrition : un antibiotique bon marché peut sauver de nombreux enfants

(AFP) – Un antibiotique bon marché combiné au traitement nutritif habituel peut sauver nombre d’enfants souffrant de malnutrition, révèle un essai clinique publié dans la dernière édition de la revue médicale américaine New England Journal of Medicine.

L’étude clinique a été menée au Malawi avec 2767 enfants de six mois à cinq ans par des chercheurs de la faculté de médecine de l’Université Washington à St Louis.

Ces enfants atteints de grave malnutrition ont été traités, soit avec un antibiotique (amoxicilline ou cefdinir) soit avec un placebo combiné à un traitement hautement nutritif pendant une semaine.

Chez ceux traités avec un de ces antibiotiques, le taux d’échec du traitement nutritif a été réduit de 24,4 % avec l’amoxicilline et de 39 % avec le cefdinir, comparativement au groupe témoin ayant pris un placebo.

Le taux de mortalité a également nettement baissé de 35,6 % avec l’amoxicilline et de 44,3 % avec le cefdinir, par rapport aux enfants du groupe du placebo.

Le traitement nutritif était composé d’aliments à base de beurre d’arachide fortifié avec du lait en poudre, de l’huile, du sucre et des micronutriments.

L’efficacité des antibiotiques montrée par cet essai clinique devrait changer la pratique médicale actuelle pour traiter la malnutrition et conduire l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à recommander un plus grand recours à ces médicaments, selon ces chercheurs cités dans le New York Times.

La malnutrition sévère touche plus de 20 millions d’enfants dans le monde, dont un million en meurent chaque année.

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.

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Les suppléments alimentaires pour contrer la malnutrition infantile

Des chercheurs européens, en collaboration avec Action Against Hunger – France (ACF – France), ont étudié l’impact des suppléments alimentaires auprès d’enfants à risque de malnutrition. L’objectif était de pallier ce risque par l’apport énergétique nécessaire, à l’aide de la prise quotidienne de produits prêts à l’usage.

Malheureusement, les résultats n’ont pas été concluants, du moins quant au gain de poids de ces enfants âgés de 6 mois. Medicalnewstoday.com rapporte que cette étude visait la confirmation de l’utilité de cette forme d’apport nutritionnel à l’échelle mondiale, dans les cas d’urgence et dans les pays défavorisés.

En revanche, les résultats ont démontré qu’à la suite de la prise de suppléments alimentaires, les enfants participant présentaient une plus forte croissance et un taux d’hémoglobine plus élevé que ceux n’ayant pas reçu ces nutriments additionnels. En plus, la diarrhée et la fièvre étaient moins présentes chez ces nourrissons.

En ce moment, c’est la façon dont procèdent les organisations d’aide internationale lorsqu’elles doivent venir en aide à la population. Elles distribuent de la nourriture, bien sûr, mais dans le cas des nourrissons, les produits préparés à haute teneur nutritionnelle sont souvent utilisés.

Lieven Huybregts, de l’Université Ghent en Belgique, est le principal auteur de cette étude. « À la lumière de ces résultats, nous devrions investiguer plus en profondeur, selon d’autres contextes spécifiques, pour prévenir le risque de malnutrition infantile. »

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Il fait bon d’être une maman au Canada

C’est la Norvège qui remporte les grands honneurs, alors que le Niger se retrouve au bas de l’échelle, à la 165e position. Quant à la France, elle détient la 14e place, et les États-Unis arrivent au 25e rang.

Depuis 13 ans, l’organisme Save the Children se fie sur divers facteurs pour comparer les pays et voir lesquels sont plus ou moins en mesure de respecter la qualité de vie et les droits des mères et des enfants.

Ainsi, la santé des femmes, leur niveau d’éducation, leur statut économique, la santé et la nutrition infantiles sont quelques-uns des facteurs pris en considération pour établir le classement.

Que le Canada soit désigné 19e meilleur pays pour être mère cette année, gagnant une place de plus que l’an dernier, s’expliquerait notamment par le fait que la représentation féminine est plus importante au Parlement fédéral et que le congé de paternité est mieux reconnu au sein du congé parental, relate La Presse Canadienne.

Pour gravir encore des échelons, le Canada devrait s’améliorer sur les points de l’éducation des femmes, de la réussite économique féminine et des indemnités de maternité, avance Save the Children.

Derrière la Norvège, l’Islande, la Suède et la Nouvelle-Zélande notamment, le Canada brille loin devant l’Afghanistan, classé à l’avant-dernier rang, et le Niger, qui doit sa dernière position notamment à la crise alimentaire qui met en péril la vie d’un million d’enfants et qui est responsable d’au moins 20 % de la mortalité maternelle.

Ce rapport est publié quelques jours avant le sommet du G8 qui se tiendra les 18 et 19 mai à Camp David, aux États-Unis.

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Redéfinir la malnutrition chez l’enfant

On associe habituellement la malnutrition aux enfants vivant au sein de pays en voie de développement. Or, il s’agit aussi d’une réalité partagée par bien des enfants des pays industrialisés.

On peut lire dans Deutsches Ärzteblatt International que cela touche de 2 à 24 % des jeunes patients des hôpitaux pédiatriques dans les pays industrialisés. La malnutrition peut nuire au développement physique de l’enfant, mais aussi à l’atteinte de sa maturité psychomotrice. Ses aptitudes intellectuelles et son immunité peuvent également être touchées.

Les symptômes les plus courants de la malnutrition sont le plus souvent un poids insuffisant ou une perte de poids, laquelle est causée par un manque de nutriments. On rappelle que plus tôt la malnutrition est remarquée, meilleur sera le traitement attribué à l’enfant.

D’autre part, on note qu’un retard de croissance peut aussi être engendré par une maladie sous-jacente. Le retard est souvent un symptôme d’une maladie neurologique ou gastro-intestinale. Le traitement doit alors cibler la maladie en tant que telle, mais un apport nutritionnel peut aussi être apporté à l’enfant atteint.

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La malnutrition des adolescentes les condamne à une vie de problèmes

La plupart des adolescentes risquent d’être malades plus tard, car elles évitent les aliments sains.
 
Selon le DailyMail, elles se condamnent à une vie remplie de problèmes de santé comme le cancer, les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète, sans compter que plusieurs risquent d’être obèses.
 
La plupart mangent moins de trois portions de fruits et légumes par jour. Seulement une adolescente sur 13 mange les cinq portions recommandées.
 
De plus, elles évitent de manger de la viande, causant donc des carences en fer qui causent l’anémie et rendent l’organisme plus vulnérable aux infections.
 
L’image corporelle étant également une obsession pour certaines, ces dernières n’hésitent pas à sauter des repas dans le but de rester minces. Seulement, elles peuvent s’empiffrer avec du chocolat et des croustilles.
 
Il est important que les adolescentes adoptent un régime alimentaire équilibré si elles souhaitent éviter de nombreux problèmes.
 
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Potins

Selena Gomez est déjà de retour auprès de ses fans

Selena Gomez reprend la promotion de son prochain film à paraître, Monte Carlo, en présentant un spectacle au centre commercial de Santa Monica, en Californie, qui avait été reporté.

People rapporte que Gomez a pris la scène avec énergie hier (13 juin), interprétant Who Says et A Year Without Rain, riant et s’amusant avec la foule. Comme quoi il n’y a rien de mieux qu’un endroit rempli de fans pour remettre sur pied une adolescente de 18 ans.
 
La cause de son hospitalisation, à la suite de maux de tête violents accompagnés de vomissements, a été mise sur des problèmes de santé reliés à sa pression artérielle.
 
Or, lorsqu’on lui demande ce qui s’est passé, Gomez répond : « Je souffrais simplement de malnutrition, alors mon taux de fer a chuté. D’autre part, j’étais exténuée ».

Après la représentation qu’elle a donnée au centre commercial de Santa Monica, elle s’est excusée auprès de la foule qui comptait plus de 500 jeunes fans : « Je suis désolée pour tous ceux qui se sont pointés ici vendredi dernier, alors que je ne pouvais être présente. Je vous aime de tout mon cœur ».