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Les couples en conflit sont de moins bons parents

C’est ce qu’avance une étude américaine parue récemment dans une édition du Journal of Family Issues.
 
Pour appuyer ses dires, Mark E. Feinberg, chercheur du Prevention Research Center for the Promotion of Human Development de l’Université d’État de la Pennsylvanie et auteur de l’étude, a observé 156 couples qui ont fait preuve de violence l’un envers l’autre pendant la grossesse, 6 mois après la naissance de leur enfant, puis une fois que le petit a été âgé d’un an.
 
Ces observations ont permis à Feinberg de conclure que lorsqu’il y avait conflit et mauvaise entente dans le couple avant que le bébé vienne au monde, cela engendrait et augmentait presque systématiquement les risques de négligence et de maltraitance envers les petits.
 
Il a également été démontré qu’il y a en moyenne plus de mères que de pères qui dépassent les limites (négligence, maltraitance, etc.) avec leurs enfants. Selon le spécialiste, cela s’expliquerait par le fait que la femme est plus souvent en compagnie de l’enfant que l’homme.
 
« La bonne relation entre les parents est primordiale pour l’enfant et les soins qu’il peut recevoir », déclare dans son étude le chercheur. Il encourage les couples en difficulté à ne pas traîner leurs problèmes avec eux et obtenir un suivi dès le début de la grossesse pour favoriser une relation saine, mais aussi et surtout pour assurer de meilleurs jours aux bébés.
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Les couples en conflit sont de moins bons parents

C’est ce qu’avance une étude américaine parue récemment dans une édition du Journal of Family Issues.
 
Pour appuyer ses dires, Mark E. Feinberg, chercheur du Prevention Research Center for the Promotion of Human Development de l’Université d’État de la Pennsylvanie et auteur de l’étude, a observé 156 couples qui ont fait preuve de violence l’un envers l’autre pendant la grossesse, 6 mois après la naissance de leur enfant, puis une fois que le petit a été âgé d’un an.
 
Ces observations ont permis à Feinberg de conclure que lorsqu’il y avait conflit et mauvaise entente dans le couple avant que le bébé vienne au monde, cela engendrait et augmentait presque systématiquement les risques de négligence et de maltraitance envers les petits.
 
Il a également été démontré qu’il y a en moyenne plus de mères que de pères qui dépassent les limites (négligence, maltraitance, etc.) avec leurs enfants. Selon le spécialiste, cela s’expliquerait par le fait que la femme est plus souvent en compagnie de l’enfant que l’homme.
 
« La bonne relation entre les parents est primordiale pour l’enfant et les soins qu’il peut recevoir », déclare dans son étude le chercheur. Il encourage les couples en difficulté à ne pas traîner leurs problèmes avec eux et obtenir un suivi dès le début de la grossesse pour favoriser une relation saine, mais aussi et surtout pour assurer de meilleurs jours aux bébés.
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Abus d’enfants : le statut socioéconomique ou la race?

Une école de l’Indiana University of Medicine a examiné les diagnostics de 2109 médecins américains qui ont participé à l’étude.

Lorsqu’on leur a présenté des scénarios qui pourraient éventuellement, mais pas nécessairement, indiquer la maltraitance des enfants, les spécialistes croyaient plus en des sévices qu’un simple accident chez les enfants blancs venant d’une famille pauvre que chez les enfants noirs venant d’un faible statut socioéconomique ou les enfants noirs ou blancs venant d’une famille plus aisée monétairement.

Ces résultats contredisent les études précédentes qui reliaient les probabilités plus accrues de sévices chez les enfants de race noire.

Les chercheurs veulent maintenant se pencher sur les multiples facteurs qui peuvent entraîner les médecins à un mauvais diagnostic dans des situations de négligence, ne sachant pas réellement comment déterminer un cas de sévices ou d’accident.

Les résultats de cette étude sont publiés en ligne dans le Journal of Pediatrics.

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Les sévices conduisent à des maladies

Les petites filles qui subissent de la maltraitance physique ou des sévices sexuels seront plus enclines à souffrir de maladies cardiovasculaires, lit-on sur Medical News Today. Précisément, elles sont exposées à de plus grands risques de crise cardiaque, de maladies cardiaques et d’AVC.

Une récente étude indique que les filles victimes de maltraitance physique durant l’enfance courent un risque 45 % plus élevé de tels problèmes de santé à l’âge adulte. Si elles ont été forcées à des rapports sexuels répétés, elles se retrouvent 62 % plus à risque d’une maladie cardiovasculaire.

Parallèlement, des violences « légères à modérées », si l’on peut les nommer ainsi, n’ont pas été reliées à des risques particulièrement plus élevés.

Le plus influent facteur, dans le cas d’un haut risque de maladie cardiovasculaire, est que les jeunes filles maltraitées avaient fortement tendance à prendre du poids durant l’adolescence et la vie adulte.

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L’éducation des enfants maltraités

On lit sur Medical News Today les résultats d’une étude soutenant que les enfants maltraités peuvent réussir à l’école s’ils reçoivent le soutien nécessaire.

Ayant porté sur 702 enfants de 6 à 10 ans, cette étude démontre que la durée et le type de maltraitance ont un effet sur la réussite scolaire.

Malgré tout, un enfant ayant vécu ce drame dans sa vie sera quand même en mesure d’atteindre la réussite scolaire si son enseignant lui offre son soutien. En quelques mots, il s’agit ici de l’aide à maîtriser ses émotions, à rester concentré et à garder sa motivation.

L’enseignant aidera donc l’enfant maltraité à réussir en l’encadrant quant à ses compétences nécessaires à la vie quotidienne.

Ces compétences consistent en l’autorégulation (la maîtrise des pensées et des gestes), la concentration (accomplir des tâches en s’appliquant sur chacune d’elles) et la motivation (trouver des défis d’apprentissage à atteindre).

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La maltraitance vue par résonance magnétique

On lit dans Radiology que la preuve de maltraitance faite à un jeune enfant pourrait être faite à la suite d’une imagerie cérébrale par résonance magnétique.

À l’aide de ce procédé, on peut reconnaître des saignements à la moelle épinière, qui surviennent souvent à la suite d’un traumatisme violent. Les caractéristiques du traumatisme crânien volontaire, en ce qui concerne la radiologie, comprennent des saignements à l’intérieur du crâne et des lésions cérébrales.

En examinant le rachis des enfants ayant subi un traumatisme crânien modéré à sévère, on pourrait distinguer les cas accidentels des volontaires. Un procédé de distinction de ces cas serait donc à envisager.

Le traumatisme crânien sévère, indiquent les chercheurs, constitue la cause première des lésions cérébrales chez les bébés. Le taux de mortalité relié à cette situation s’élève de 20 à 38 %. De plus, 30 à 78 % des enfants qui en font l’objet en gardent d’importants problèmes neurologiques et de développement.

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Prévenir le syndrome du bébé secoué

Quoiqu’on en parle de plus en plus ouvertement, le syndrome du bébé secoué demeure une forme de maltraitance encore méconnue. Ce traumatisme crânien touche des bébés de moins d’un an, et surtout de moins de six mois. La récidive se produit dans la moitié des cas.

On peut donc lire sur le Web des recommandations sur le sujet provenant de la Haute Autorité de Santé (HAS), une instance française; elles sont publiées sur son site. Des renseignements sont offerts aux professionnels de la santé, en vue de diagnostics plus rapides du syndrome, ainsi que des conseils aux parents, notamment.

Le premier à suivre, pour les parents d’un nourrisson, est de se retirer, « se mettre à l’écart », lorsqu’ils se sentent énervés ou exaspérés; ils doivent plutôt demander de l’aide à leurs proches. Si les pleurs du bébé sont incessants, on le couche dans son lit, sur le dos, et l’on s’isole.

Malgré tout, on rappelle que si les gestes de secousse peuvent être dangereux pour bébé, il n’y a pas de danger lorsqu’on lui fait faire l’avion ou qu’on le lance dans les airs pour le faire rire.

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La dépression atteint plus les enfants maltraités

Des chercheurs du King’s College London Institute of Psychiatry soutiennent que la dépression touche plus les enfants maltraités que les autres. En fait, il semble que les enfants qui vivent des sévices courent deux fois plus de risques de vivre plus d’un épisode de dépression.

Selon leurs résultats parut dans l’American Journal of Psychiatry, ces épisodes de dépression tendent aussi à être plus longs, et les personnes répondront moins bien au traitement la plupart du temps.

Les chercheurs se sont basés sur les résultats de 16 études, ce qui revient à 23 000 patients, pour tirer ces conclusions.

La dépression constitue le problème de santé mentale le plus courant au monde. On estime que 1 adulte sur 15 en souffre chaque année, aux États-Unis seulement.

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Les enfants négligés auront un QI plus faible

Les enfants qui sont ou qui ont été victimes de sévices courent plus de risques de connaître des échecs scolaires.

C’est la conclusion d’une étude de l’Université du Queensland en Australie, parue dans Pediatrics, qui a porté sur 7 000 mères et leurs enfants nés entre 1981 et 1983.

Les chercheurs ont dû se servir de données confidentielles de rapports de sévices ou de négligence parentale pour arriver à leurs résultats.

Une fois que les 3 796 enfants sont devenus adolescents (14 ans), ils ont été évalués quant à leurs capacités de lecture, de raisonnement abstrait et d’aptitudes mathématiques.

Les 298 adolescents dont on avait rapporté des sévices ou de la négligence, soit 7,9 % des participants, avaient en moyenne 3 points de moins à leur test de QI que ceux qui n’en avaient pas souffert.

Cette étude met donc en lumière, une fois de plus, les graves répercussions de la maltraitance vécue par certains enfants.