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Les aliments à proscrire pendant la grossesse

Malheureusement, certains aliments ne causant habituellement aucun problème deviennent très risqués lorsqu’une femme attend un enfant. Afin de vous assurer la meilleure alimentation possible pendant ces 9 mois, le site Babble vous cite certains aliments que vous devriez tenir loin de votre assiette.

Les sushis. En effet, le poisson cru pourrait contenir la bactérie responsable de la listériose. Le fœtus pourrait s’en retrouver fort affecté. Même chose pour les fromages au lait cru et les viandes crues. En plus de la listériose, la toxoplasmose s’ajoute aux risques pour ces formages.

Une autre bactérie pouvant causer de sérieuses intoxications est la salmonellose. Celle-ci peut être retrouvée dans les œufs crus, donc, bien tristement, dans certains desserts. Il faudra toujours s’assurer que les desserts n’en contiennent pas quand viendra le moment de vous sucrer le bec.

La consommation d’alcool, de café ou d’autres stimulants de la sorte devrait être limitée pour ne pas dire évitée.

Aussi, un récent rapport de l’Agence française de sécurité des aliments émettait une inquiétude quant à la consommation d’édulcorant. Un lien aurait été fait entre sa consommation et les accouchements prématurés.

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Attention aux insecticides près des femmes enceintes et des enfants

Plusieurs femmes enceintes et nouvelles mamans ne seraient pas assez conscientes des effets des pesticides. Il n’est pas suffisant de les placer hors de la portée des enfants. Leur simple utilisation est aussi fort néfaste.

Un article publié dans le journal Science of the Total Environment explique les répercutions. Il est entre autres mentionné qu’en utilisant des insecticides dans et autour de la maison, les femmes attendant un enfant augmentent le risque de leur bébé de développer un cancer infantile tel qu’une leucémie, d’avoir des troubles neurologiques et de développement du fœtus.

Les auteurs de la recherche attribuent aussi un des problèmes au fait que comme les bébés respirent plus près du sol, qu’ils sont généralement attirés vers les plantes et les jardins, et que leur système immunitaire et de désintoxication naturelle n’est pas encore très fort, ils sont souvent surexposés à ces produits chimiques.

Les chiffres découverts au cours de la recherche étaient troublants quant à la quantité de femmes utilisant ces produits, mais elle a été réalisée en Espagne, où les températures sont plus clémentes que dans notre pays et où il y a plus d’infestations d’insectes.

Ces chiffres ne sont donc pas révélateurs des gens de chez nous, mais peu importe d’où l’on vient, l’utilisation de produits plus naturels est on ne peut plus recommandée.

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Les garderies à l’aide des mères dépressives et leur famille

Il est estimé que 30 à 40 % des nouvelles mamans souffriront un jour ou l’autre de dépression. Devant ces chiffres, des chercheurs canadiens ont effectué une étude afin de déterminer s’il était préférable d’envoyer les enfants de mères dépressives à la garderie.

Les résultats de la recherche publiés dans le journal JAMA Psychiatry se sont montrés fort concluants, alors que seulement 7 % des enfants suivis qui allaient à la garderie montraient des signes de problèmes émotionnels, contre 32 % pour ceux qui restaient exclusivement avec leur mère.

À la lumière de ces chiffres, Alan Kadzin, professeur en psychiatrie infantile œuvrant à la réputée Université Yale, a déclaré : « Le message principal à retenir est l’énorme différence qu’offre le service de garderie à ces enfants. Ce n’est pas anodin, mais il ne s’agit pas de simple gardiennage ».

Malheureusement, l’incidence de la dépression rend souvent les mères affectées moins engagées, consistantes et à l’écoute. Elles ont une tendance plus négative avec leurs petits.

En garderie, ces enfants jouissent d’un contact social important, de jeux, jouets et activités, pendant que les mères vivant le stress de la dépression peuvent se reposer.

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Les accouchements orgasmiques

Mythe ou vérité? L’accouchement orgasmique est loin d’être considéré comme réel ou même acceptable pour plusieurs. Pourtant, 3 femmes sur 1000 ressentiraient du plaisir au moment d’accoucher.

Un documentaire a d’ailleurs déjà été fortement propulsé au sein des chauds débats en 2009 à propos du phénomène. Debra Pascali-Bonro a réalisé Orgasmic Birth: The Best-Kept Secret (Naissance orgasmique: Le secret le mieux gardé).

Pouvant être lus sur le site Plurielles.fr, les résultats d’une étude récemment publiée dans la revue Sexologies semblent vraiment prouver que le phénomène existe et qu’il est tout à fait normal. Alors que la plupart des femmes ne ressentiront que douleur, d’autres, plus précisément celles sans péridurale, éprouvent de forts orgasmes.

Barry Komisaruk, professeur en psychologie à l’Universtité de Rutgers dans le New Jersey, dit qu’il n’y a rien de surprenant dans ce phénomène. Mais comme la majorité des gens refusent d’accepter l’idée d’une sensation sexuelle agréable lors de l’accouchement, le sujet est très mal accepté.

Le professeur explique que physiquement, au moment d’accoucher, il se produit une intense stimulation du canal vaginal et du clitoris. Il y aurait ainsi une production de dopamine, ce qui allégerait aussi la douleur.

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Papa utilise Google pour l’aide aux devoirs!

Fini le temps où l’on devait se souvenir de nos matières afin d’aider nos enfants à faire leurs devoirs. L’avènement d’internet est apparemment une vraie bénédiction pour les pères en manque de réponses.

C’est le PDG de la compagnie anglaise de service internet Plusnet, Jamie Ford, qui s’est penché sur la question.

Les résultats ont aussi levé le voile sur les habitudes des enfants quand il est question d’aide pour les devoirs d’école et pour les questions de la vie courante.

Nous apprenons que c’est plus de 67 % des filles et garçons qui se dirigent vers papa quand ils cherchent des réponses. On découvre aussi que les filles ont plus tendance à se fier à leur père, avec 68 % d’entre elles qui vont à lui pour parfaire leurs connaissances, contre 62 % pour les garçons.

En questionnant les pères participants, il a été déterminé que les devoirs étaient le plus problématiques pour eux. En fait, 63 % d’entre eux se dirigeraient directement vers leur clavier pour trouver réponse aux questions.

Concernant les résultats de sa recherche, Ford a confié : « C’est agréable de voir que les enfants se fient encore à leur père pour les aider. Il est encore plus intéressant de constater que ces pères se fient surtout à internet pour s’assurer de bien répondre aux questions de leurs enfants ».

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L’iode dans le pain est insuffisant pendant la grossesse

Publiée sur le site MedicalXpress, une étude menée par l’Institut Robinson de l’Université d’Adélaïde en Australie a démontré que la consommation de pain iodé n’empêchait pas les carences en iode auprès des femmes enceintes et leur bébé à naître.

L’auteure de la recherche, la professeure Vicki Clifton, mentionne que malgré que ce ne soit pas largement connu, l’iode est un élément nécessaire pour le bon développement du cerveau humain ainsi que pour celui des fonctions thyroïdiennes.

Elle explique : « En 2009, les producteurs de pain australiens ont mis en place un programme obligatoire exigeant l’utilisation de supplément d’iode dans le pain afin de renforcer son apport à la communauté. Notre étude visait à déterminer s’il y avait un impact positif sur les femmes enceintes ».

Malgré l’effort des producteurs, les résultats ont dévoilé une carence de l’élément chimique chez les participantes. Ceci dit, les chercheurs insistent auprès des futures mamans pour qu’elles ne se fient pas qu’à ce produit, qui leur donne l’impression d’obtenir les doses nécessaires.

Il est recommandé de prendre des suppléments d’iode afin d’éviter des problèmes de développement du cerveau du foetus, en plus de maintenir un niveau suffisant pour sa propre santé.

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Accoucher à la maison est moins risqué

Selon une récente étude publiée sur le site Medical Xpress, les femmes présentant un accouchement à faible risque qui décident de donner naissance à la maison courent un moins grand danger de complications graves que celles planifiant de faire de même à l’hôpital.

Les résultats sont basés sur les femmes qui en étaient au moins à leur deuxième accouchement, et les compétences des sages-femmes pourraient faire varier les données. Certains autres facteurs ont aussi été pris en considération, comme l’âge de la mère, le statut socio-économique, l’ethnie et la période de gestation.

Ainsi, une équipe de chercheurs néerlandais a décidé de vérifier si les femmes à faible risque en début de travail avec accouchement à domicile avaient un taux plus élevé d’effets rares, mais graves que lors des accouchements planifiés à l’hôpital. Les effets sont surtout les ruptures utérines, l’éclampsie ou une hémorragie majeure obstétrique nécessitant une grande transfusion sanguine.

D’autres complications indésirables comprenaient des hémorragies post-partum (perte considérable de sang après l’accouchement) et l’extraction manuelle du placenta. 146 752 femmes ont été suivies, dont 63 % ont donné naissance à la maison, contre 37 % en centre hospitalier.

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Mieux dormir après l’arrivée de bébé

Alors que votre sommeil est maintenant très affecté par l’arrivée de votre bébé, certains trucs peuvent vous aider à le maximiser. Sur le site de Female First, l’expert du sommeil Dr Nerina cite plusieurs habitudes à prendre pour combattre la fatigue typique aux nouveaux parents.

Premièrement, il est dit de faire du sommeil une priorité. Alors que le sommeil est entrecoupé chaque nuit, dormir durant le jour pourra déjouer les effets du manque de sommeil et même vous aider à mieux dormir le soir.

D’ailleurs, il parle aussi des siestes éclair. Il s’agit là de périodes d’environ 15 minutes pendant lesquelles vous n’êtes pas totalement endormi, mais très reposé.

Si vous vous réveillez pendant la nuit et n’arrivez plus à vous endormir, ne restez pas à tournoyer dans votre lit. Il suggère plutôt de vaquer à une occupation relaxante comme lire ou boire une tisane.

Le docteur Nerina rappelle aussi l’importance de décompresser avant l’heure d’aller au lit, d’éviter la caféine, l’alcool et les pensées préoccupantes! Si vous avez mille et une choses à ne pas oublier pour le lendemain, écrivez-le, ça vous empêchera de stresser.

Il maintient que faire de l’exercice, mettre un ventilateur pour ne pas entendre tous les petits bruits, boire beaucoup d’eau et faire des siestes quand c’est possible vous garantira un meilleur sommeil.

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Mieux dormir après l’arrivée de bébé

Alors que votre sommeil est maintenant très affecté par l’arrivée de votre bébé, certains trucs peuvent vous aider à le maximiser. Sur le site de Female First, l’expert du sommeil Dr Nerina cite plusieurs habitudes à prendre pour combattre la fatigue typique aux nouveaux parents.

Premièrement, il est dit de faire du sommeil une priorité. Alors que le sommeil est entrecoupé chaque nuit, dormir durant le jour pourra déjouer les effets du manque de sommeil et même vous aider à mieux dormir le soir.

D’ailleurs, il parle aussi des siestes éclair. Il s’agit là de périodes d’environ 15 minutes pendant lesquelles vous n’êtes pas totalement endormi, mais très reposé.

Si vous vous réveillez pendant la nuit et n’arrivez plus à vous endormir, ne restez pas à tournoyer dans votre lit. Il suggère plutôt de vaquer à une occupation relaxante comme lire ou boire une tisane.

Le docteur Nerina rappelle aussi l’importance de décompresser avant l’heure d’aller au lit, d’éviter la caféine, l’alcool et les pensées préoccupantes! Si vous avez mille et une choses à ne pas oublier pour le lendemain, écrivez-le, ça vous empêchera de stresser.

Il maintient que faire de l’exercice, mettre un ventilateur pour ne pas entendre tous les petits bruits, boire beaucoup d’eau et faire des siestes quand c’est possible vous garantira un meilleur sommeil.

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Les nausées matinales et les antihistaminiques

Une récente étude conduite par l’équipe de Marlena Fejzo de l’Université de Californie à Los Angeles fait état de nouveaux liens entre les nausées matinales et certains troubles observés chez les nouveau-nés.

Les femmes souffrant d’hyperemesis gravidarum, sévères nausées et vomissements lors de la grossesse, ont plus tendance à pencher vers l’utilisation d’antihistaminiques afin de trouver le sommeil malgré leurs symptômes.

Celles qui sont atteintes se trouvent parfois à être gravement malades tout au long de leur grossesse, n’arrivant pas à se nourrir. À force de vomir, certaines se défoncent les tympans, se fêlent des côtes, et d’autres ont même eu un décollement de la rétine ou l’œsophage déchiré. Voilà, entre autres, pourquoi la prise de ce type de médicaments est si populaire.

Cependant, la majorité des futures mamans ne sont pas au courant des risques pour l’enfant à naître. Fejzo mentionne notamment des problèmes de naissances prématurées, de bébés avec un poids sous la moyenne, ce qui peut causer d’autres problèmes.

En effet, les nourrissons nés à moins de 37 semaines risquent d’avoir plus de problèmes liés à la respiration et à la nutrition. Les recherches se poursuivent maintenant pour déterminer si l’hyperemesis gravidarum peut avoir des répercussions plus tard dans la vie des bébés des mères atteintes.