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Méthode d’entrainement au sommeil, bénéfique tant pour bébé que maman

Deux méthodes d’entraînement au sommeil ont été testées et ont fait l’objet d’une étude en Australie. Il s’agit des routines controlled comforting et camping out, reconnues pour améliorer le sommeil de l’enfant et réduire la dépression maternelle à court terme.

La recherche s’étendait sur une période de 5 ans, afin de vérifier les effets à court terme et à long terme de ces méthodes de routine du sommeil. 225 enfants ont été suivis. Pour participer, les parents devaient avoir encore de la difficulté avec le sommeil de l’enfant âgé au-delà de 7 mois.

Le groupe d’enfants a été séparé en deux. Ainsi, la moitié des parents utilisaient le controlled comforting, et l’autre moitié faisait le camping out.

La méthode camping out consiste à s’asseoir auprès de l’enfant et quitter la chambre lorsqu’il s’endort. Au fur et à mesure, l’enfant se sent en sécurité plus rapidement et s’endort plus facilement. Quant à la méthode controlled comforting, elle consiste à laisser l’enfant pleurer en étirant les périodes de réconfort, afin que le nourrisson s’autorégule et finisse par lâcher prise.

Il a été prouvé que les effets bénéfiques, comme la diminution du niveau de stress de l’enfant, l’amélioration de la relation parent-enfant et la santé mentale de la mère, s’étendaient sur une période de 2 ans. Au-delà de cette période, les enfants comme les parents étaient entrés dans la même routine que ceux n’ayant pas suivi le programme.

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3 jeunes femmes sur 4 préféreraient être mères au foyer

C’est 75 % des 1008 femmes interrogées, dans le cadre de la recherche, qui affirment que si ce n’était pas des difficultés financières, elles resteraient à la maison pour élever leurs enfants.

Le Dailymail rapporte que c’est donc à reculons qu’elles reprennent le marché du travail, dans l’espoir d’amoindrir les dettes accumulées pendant le congé de maternité.

Par contre, il n’y a pas que les questions d’argent. Les femmes ont peur du jugement de leurs pairs, puisque l’idée, de nos jours, est qu’une famille traditionnelle est constituée de deux parents qui travaillent à temps plein. Un stéréotype qui fait malheureusement écho à la majorité du reste du globe.

Pourtant, l’étude démontre clairement que seule 1 femme sur 7 souhaite développer sa carrière, et aucune autre étude ou analyse gouvernementale n’a été publiée à ce propos.

La recherche a été menée sous la supervision d’Ann Robinson de uSwitch. « L’époque actuelle fait en sorte que les femmes se sentent obligées de retourner au travail, surtout à cause de la pression financière. »

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L’OMS recommande l’allaitement maternel exclusif jusqu’à l’âge de six mois

 

 

(Relaxnews) – Dans le cadre de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel (1er – 7 août), l’OMS réitère ses recommandations pour protéger les nourrissons des maladies courantes et de la malnutrition.

Comme chaque année, plus de 170 pays à travers le monde, dont la France, organisent la Semaine mondiale de l’allaitement maternel. L’occasion de rappeler les avantages de ce mode d’alimentation pour les nourrissons.

Alors que seuls près de 40 % des bébés âgés de moins de six mois sont exclusivement nourris au sein, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rappelle que l’allaitement maternel « est l’un des moyens les plus efficaces de préserver la santé et d’assurer la survie de l’enfant ».

L’autorité mondiale rappelle que ce mode d’alimentation est constitué d’anticorps nécessaires à la protection des nourrissons contre de nombreuses maladies courantes, comme la diarrhée ou la pneumonie.

De fait, l’OMS recommande l’allaitement maternel dès la première heure suivant la naissance, et appelle les mères à continuer à nourrir exclusivement l’enfant au lait maternel pendant six mois. Des aliments complémentaires doivent être introduits après les six premiers mois de vie, tout en continuant l’allaitement au sein jusqu’à l’âge de deux ans.

« L’allaitement maternel optimal allié à une alimentation d’appoint aide à prévenir la malnutrition et peut sauver près d’un million de vies d’enfants. […] Si les mères et les familles étaient encouragées à allaiter au sein, de nombreuses vies pourraient être sauvées », précise l’OMS.

 

 

 

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Encore trop de dépressions post-partum

Alors que la naissance d’un enfant représente souvent la réalisation d’un voeu précieux et de nombreux moments de pur bonheur en perspective, 10 % des femmes sombrent dans une dépression post-partum, et plusieurs d’entre elles ne seront jamais décelées, rapporte le site Top Actus Santé.

Cette dépression peut survenir peu après l’accouchement, mais aussi jusqu’à 1 an plus tard, alors que certaines femmes se sentent isolées avec leur bébé, sans trop savoir comment gérer tous les aspects de la maternité. En plus, la plupart des mamans dans cette situation n’osent pas parler de leur état et ne reçoivent donc pas l’aide nécessaire.

Or, il est maintenant fortement recommandé à toutes les femmes enceintes d’avoir un entretien prénatal précoce, dès le début du second trimestre de grossesse. Cet entretien permet de parler de tous les sujets voulus, rassurer la future maman et déceler un risque possible de dépression post-partum.

L’entretien prénatal précoce représente donc un bon espoir pour mieux combattre ce type de dépression. Cependant, le manque de personnel apte à recevoir les femmes pour un entretien et le fait que ce rendez-vous ne soit pas obligatoire, ou du moins bien ancré dans les habitudes de suivi de grossesse, sont deux points à travailler pour en augmenter l’efficacité.

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Le cytomégalovirus, une nouvelle menace pour maman et bébé

Sur le site leral.net, la gynécologue Géraldine Dahan met en garde les futures mères contre ce virus de la famille des virus Herpes qui affecte également le bébé.

Elle explique « Le processus de contamination est assez classique, il se fait notamment par la salive, quand quelqu’un tousse par exemple ».
 
Le gros problème, c’est que tout comme d’autres virus, la moitié de la population en serait porteuse. Les gens ne le savent pas, mais bien souvent, ils sont porteurs « sains » et ne développent pas les symptômes.
 
La bonne nouvelle, c’est que si vous contractez le virus avant la grossesse, votre organisme développe des anticorps qui conduisent à l’immunité.
 
Or, si le cytomégalovirus se développe pendant la grossesse, il est impératif de le détecter le plus tôt possible, puisque dans 30 à 40 % des cas, le fœtus est infecté.
 
Une prise de sang, une amniocentèse ainsi que des échographies seront nécessaires à l’identification du virus.
 
Les conséquences sur le fœtus sont importantes. S’il s’agit d’une infection durant le premier trimestre de la grossesse, la future mère risque une fausse-couche. Si l’enfant survit, il peut développer un handicap mental, des problèmes psychomoteurs et d’autres troubles.
 
Comme il n’existe aucun traitement pour soustraire l’enfant à la contamination, il est essentiel que la future mère soit prise en charge rapidement.
 
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Pratiques alimentaires de bébé : lancement d’une première étude française

Pour la première fois, en France, l’Unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (Usen) est chargée de réaliser une étude nationale sur les pratiques alimentaires des bébés durant leur première année de vie.

Cette étude est maintenant lancée depuis quelques heures. Baptisée Epifane 2011-2013, celle-ci évaluera 3500 mères qui ont accouché dans l’une des 140 unités périnatales choisies au hasard en France, entre la mi-janvier et la mi-mars 2012.

Cette enquête permettra de mieux cerner les besoins des enfants en matière d’alimentation et servira à sensibiliser les mères.

L’étude permettra aussi de déterminer la durée et la fréquence de l’allaitement maternel avant que l’enfant ait un an, mais également la période charnière de la diversification alimentaire, explique LeParisien.fr.

Les nouvelles mamans devront répondre à un questionnaire lors de leur séjour à l’hôpital, puis elles seront suivies par l’intermédiaire d’entretiens téléphoniques ou de questionnaires sur Internet, quatre fois par an.

Outre l’alimentation, les données recueillies porteront également sur la santé de la mère et de l’enfant. Les premiers résultats seront ensuite rendus publics à l’automne 2012.

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Le foetus affecte le cerveau de la maman

Les hormones préparent en fait les femmes à la maternité, selon une étude publiée dans la revue médicale Current Directions in Psychological Science par Laura M. Glynn, une psychologue de l’Université Chapman aux États-Unis.

Mme Glynn a étudié les impacts du foetus sur le développement du cerveau de la maman et de sa future relation avec l’enfant, explique Magicmaman.

Selon elle, les mouvements du bébé stimulent le rythme cardiaque de la mère et la conductivité de la peau.

Les cellules foetales, qui passent à travers le placenta dans la circulation sanguine de la mère, sont attirées par certaines régions du cerveau, ce qui optimise le comportement maternel.

Les hormones prépareraient le cerveau de la femme à être prêt pour la maternité. Ces substances déclencheraient une envie de répondre aux besoins du bébé.

Les hormones transformeraient la femme en une mère attentionnée, efficace et sensible aux moindres bruits et gestes.

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Maman préviendrait les problèmes de drogue

Selon une récente recherche menée sur des rats par l’University of Adelaide et la Duke University, la mère pourrait jouer un rôle majeur quant à la prévention des problèmes de drogues de ses enfants.

En fait, il semble qu’une mère attentionnée et attentive aux besoins de ses enfants aiderait ces derniers à résister à la tentation de consommer de la drogue plus tard dans la vie.

Il est ressorti d’une expérimentation qu’une mère rat influençait de manière significative la réponse immunitaire du cerveau de sa progéniture durant la petite enfance.

On apprend aussi sur Medical News Today que l’attention maternelle augmentait la production de la molécule Interleukine-10 (reliée au système immunitaire) dans le cerveau.

Ainsi, les jeunes rats arrivaient à mieux résister à la tentation de la morphine. C’est la première fois que l’on démontre la réponse moléculaire provoquée par la morphine sur les cellules gliales de la partie du cerveau dédiée à la récompense.

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Tout pour encourager l’allaitement

Si l’on apprend que l’allaitement exclusif n’est pas aussi répandu que l’on croit, tous les moyens semblent bons pour encourager les mères à choisir cette forme d’alimentation pour leur bébé.

Ainsi, on lit dans l’Huffingtonpost qu’aux États-Unis, par exemple, le lait maternisé a été interdit au sein de sept hôpitaux du Rhode Island.

Mentionnons tout de même qu’il est toléré si la nouvelle maman connaît des difficultés dans son allaitement ou si elle manque de lait.

Cette mesure peut sembler draconienne, mais elle aurait certains effets. On apprend donc que dans le Rhode Island, 38 % des mamans continue d’allaiter leur bébé six mois après sa naissance, en comparaison à 44 % des femmes dans la même situation, à l’échelle nationale.

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Accoucher à la maison pourrait être dangereux

Selon une récente étude, les nouvelles mamans qui accouchent à la maison seraient trois fois plus à risque de voir mourir leur bébé ou que ce dernier ait des dommages au cerveau, apprend-on sur Mail Online.

Il semble qu’accoucher à l’hôpital, lorsque c’est la première fois, s’avère beaucoup plus sûr pour la santé et la sécurité du nouveau-né.

Précisément, les femmes qui sont mères pour la première fois et qui optent pour l’accouchement à domicile seraient 2,8 fois plus susceptibles de vivre de graves problèmes, comparativement à celles qui choisissent l’hôpital.

D’autre part, plus de la moitié des femmes qui avaient choisi d’accoucher chez elles ont finalement dû être transférées à l’hôpital en raison de complications. Ces cas nécessitaient une attention médicale importante, et ils étaient associés à la détresse du poupon ou à un manque d’oxygène, qui peut engendrer des dommages au cerveau.

Finalement, 36 % des femmes qui accouchaient dans un service de maternité dirigé par des sages-femmes ont, elles aussi, dû être transférées en raison de difficultés.