Catégories
Uncategorized

Le congé de maternité, un acquis

Une analyse longitudinale présente des données des plus encourageantes quant à la vie des mamans d’aujourd’hui, et conséquemment de leur bébé. Le rapport américain Maternity Leave and Employment Patterns of First-Time Mothers: 1961-2008 présente les avancées des femmes quant à leur intégration au marché du travail et leur vie de mères.

On lit donc sur The Sacramento Bee que de grands changements se sont opérés au cours des 30 dernières années. Ainsi, 51 % des femmes (aux États-Unis) sur le marché du travail ont pu profiter d’un congé de maternité, de 2006 à 2008. Le taux était de 42 % entre 1996 et 200.

Une femme peut donc, aujourd’hui, faire une pause dans sa carrière pour s’occuper consciencieusement de son bébé, tout en pouvant profiter d’une stabilité financière.

D’autre part, des différences existent entre les mères. Par exemple, les femmes qui n’ont pas leur diplôme d’études secondaires sont moins enclines à pouvoir profiter du congé de maternité que les femmes ayant un diplôme d’études collégiales.

Celles qui travaillent à temps plein sont aussi plus susceptibles d’en bénéficier, en comparaison à celles qui occupent un poste à temps partiel.

Catégories
Uncategorized

Un soutien à la nouvelle maman

Des spécialistes soutiennent que la visite d’une infirmière à la maison après l’accouchement est d’une grande importance. Selon eux, cette visite a même un impact sur la santé et la sécurité de la mère et du bébé.

Les nouvelles mamans sortent habituellement de l’hôpital dans les 48 heures après leur accouchement. Bien que les rendez-vous externes avec une infirmière soient toujours prévus, ils ne sont malheureusement pas toujours honorés.

On souligne aussi l’importance, comme nous le lisons sur EurekAlert!, que le déplacement de l’infirmière demeure avantageux pour la mère, car elle n’a pas à passer du temps en salle d’attente avec son poupon.

De plus, la qualité des soins, dans une visite à domicile, est reconnaissable. Elle s’apparente à celle des soins reçus en clinique.

Ajoutons en terminant qu’une nouvelle maman qui reçoit une visite à domicile sera plus encline à allaiter son bébé; elle bénéficiera aussi, généralement, d’une plus grande confiance en elle-même.

Catégories
Uncategorized

Dodo jusqu’à trois ans avec maman

Une récente étude de l’Université de Cape Town, en Afrique du Sud, vient remettre en question les préceptes reçus quant à l’endroit où devrait dormir bébé.

On a souvent parlé, ces derniers temps, des dangers que courait un bébé en dormant avec ses parents. Plusieurs cas de mort subite ont été mentionnés. Ici, on souligne toutefois que ces cas n’étaient pas liés au fait que la mère dormait avec l’enfant. Les causes étaient plutôt la fumée de cigarette, les oreillers ou couvertures, l’abus d’alcool, etc.

Il semble au contraire que le jeune enfant devrait dormir avec ses parents jusqu’à l’âge de trois ans, car cela est bon pour son cœur et conduit à un meilleur comportement à mesure qu’il grandit. Cette situation pourrait même se poursuivre jusqu’à quatre ans, ajoute-t-on sur Mail Online.

Après avoir suivi par moniteur les battements cardiaques de bébés, on a remarqué que ceux qui dormaient avec leur mère dormaient mieux, en comparaison à ceux qui avaient somnolé sur sa poitrine. Leur battement cardiaque révélait aussi moins de stress; on parle ici de trois fois moins.

Catégories
Uncategorized

Trop mince pour devenir maman?

Des chercheurs de Chicago mettent de l’avant le problème de la trop grande minceur pour avoir une grossesse. On parle le plus souvent, comme le souligne Mail Online, de la difficulté à tomber enceinte quand on a un surpoids ou que l’on est obèse, mais on parle rarement des effets de l’insuffisance pondérale.

On savait déjà qu’en étant trop mince, il est difficile de tomber enceinte naturellement, car le niveau d’œstrogène est alors trop bas.

Toutefois, les chercheurs ont suivi des femmes qui avaient toutes été suivies en clinique de fertilité, ce qui veut dire qu’on leur avait toutes administré des hormones. Ainsi, des femmes très minces, de poids normal et obèses avaient produit un nombre d’ovules semblable.

Une nouvelle explication quant à la difficulté à tomber enceinte lorsqu’on est en insuffisance pondérale serait que les embryons s’implantent plus difficilement dans l’utérus, en raison d’une sous-alimentation.

Catégories
Uncategorized

Entendre papa et maman

Un bébé né prématurément, qui se retrouve aux soins intensifs néonataux, aura tout à gagner en entendant la voix de papa et maman. Selon une étude parue dans Pediatrics, ces bébés en viendraient à atteindre un meilleur niveau de vocalisation des sons entre la 32e et 36e semaine d’âge gestationnel.

Pour un nouveau-né, la vocalisation des sons commence par son premier cri. Ses parents démarrent alors le processus en répondant à cet appel. De plus, lorsque sa mère lui répond sur une base continue, le bébé commence dès lors à entreprendre son apprentissage du langage.

Il s’agit d’un élément clé, car l’apprentissage des sons est la base de la communication, mais aussi de la survie. Selon les experts, un tel processus d’apprentissage, pour être réussi, dépend de deux choses.

Premièrement, le bébé doit être capable de partager ses messages de façon claire. Deuxièmement, ses parents doivent être en mesure de comprendre ces messages.

Après avoir suivi près de 40 poupons, des chercheurs ont ainsi démontré qu’entre la 32e et 36e semaine, comme il a été mentionné plus haut, les bébés avaient connu une augmentation significative de leurs vocalisations si leurs parents auprès d’eux.

Catégories
Uncategorized

Maman a raison, ou la télévision?

Une surprenante étude parue dans Sex Roles questionne une nouvelle fois le rôle de la mère quant au rôle sexuel et les attitudes qu’un enfant suivra. Il semble, de plus, que ce ne soit pas la même chose pour les filles et pour les garçons.

Selon les chercheurs belges qui ont dirigé cette recherche, il semble qu’une fille ayant une bonne relation avec sa mère sera protégée, d’une certaine façon, des stéréotypes télévisuels.

L’effet apparaît toutefois contraire chez un garçon. En effet, ce dernier sera plus enclin à reproduire les attitudes reliées aux stéréotypes du monde de la télévision s’il a un plus fort attachement envers sa mère.

Sous forme de sondage, l’étude en question a porté sur 1026 élèves dispersés dans 9 écoles de la Belgique. On a analysé les attitudes des sujets quant à la sexualité, aux rôles sexuels traditionnels, au temps passé devant la télévision et à leur attachement envers leur mère.

Il avait déjà été démontré, dans le cadre de recherches précédentes, qu’une maman peut jouer un rôle crucial quant au respect des attitudes et des rôles sexuels traditionnels.

On a donc évalué si l’attachement de celle-ci et de ses enfants pouvait en venir à jouer un rôle tampon quant aux stéréotypes véhiculés par l’univers télévisuel, et si l’effet était différent chez les garçons et les filles.

Catégories
Uncategorized

Quelle est la maman d’aujourd’hui?

On voit de mieux en mieux quel est le profil de la mère de l’époque actuelle. Cette fois, ce sont des données françaises qui nous sont fournies par l’Inserm et présentées dans Le Figaro.

Tout d’abord, il semble que les femmes aient leur premier enfant plus tard, dans les pays industrialisés. Ainsi, la proportion, en France, de femmes qui tombent enceintes à 35 ans et plus est passée de 15,9 % en 2003 à 19,2 % en 2010.

La première grossesse survient en moyenne à 27,5 ans. Et l’écart avec le prochain enfant ne cesse d’augmenter. Cette avancée dans l’âge sous-entend quelques inquiétudes, car comme nous le savons, la fertilité de la mère, de même que sa santé et celle de son bébé, s’amenuisent à mesure qu’elle vieillit.

D’autre part, on remarque là aussi une plus grande proportion de femmes en surpoids avant la grossesse. En 2003, 15,4 % des femmes avaient un surpoids avant d’être enceintes, et 7,4 % étaient obèses. En 2010, ces proportions étaient rendues à 17,3 % et 9,9 %.

Le surpoids et l’obésité ont quant à eux d’importants impacts sur la santé du bébé, ayant déjà été reliés aux troubles métaboliques, aux anomalies congénitales et à la mort fœtale, notamment.

Finalement, les naissances prématurées demeurent stables. Elles constituaient 6,3 % de toutes les naissances en 2003, et 6,6 % en 2010.

Catégories
Uncategorized

Mort subite : risque élevé avec papa et maman

Il semble qu’un poupon qui dort avec ses parents serait plus à risque du syndrome de mort subite du nourrisson et d’accidents fatals survenant durant le sommeil.

Cette observation provient d’une étude australienne, laquelle a démontré que parmi 72 morts subites survenues entre 2008 et 2010, 33 se sont produites alors que le bébé dormait sur la même surface qu’un adulte. Parmi cesdites surfaces, on compte le lit, le divan, le matelas et la chaise berçante.

Ajoutons que 28 % de ces 33 derniers cas ont été identifiés comme un syndrome de mort subite du nourrisson, comme il est présenté dans The Canberra Times.

Les chercheurs recommandent donc, d’ici à ce que d’autres recherches soient faites, que le poupon dorme sur une surface séparée de ses parents, dans la même pièce que ceux-ci, et ce, durant au moins ses quatre premiers mois de vie.

Catégories
Uncategorized

Les peurs maternelles du voisinage

Une recherche des universités Rice et Stanford fait état d’une réalité de plusieurs mères, quoiqu’elle soit surprenante. Il semble que le voisinage encourage ou non une mère à laisser ses enfants jouer dehors.

En d’autres mots, la pauvreté environnante pousserait une maman à retenir ses enfants à la maison. Les chercheurs suggèrent cette tendance comme l’une des causes de la baisse de popularité du jeu extérieur des dernières décennies, lit-on dans Family Relations.

De plus, selon leurs observations, le statut économique, l’éducation, l’emploi et la santé physique et mentale influencent les peurs de la mère. La même chose a donc été remarquée quant à la perception que cette dernière a de son voisinage.

Les femmes qui vivent au sein d’un voisinage où sont partagées les mêmes valeurs seraient, à l’inverse, plus enclines à laisser leurs enfants jouer dehors.

On suppose que le lien existant entre cette peur et la pauvreté serait dû aux facteurs qu’on lui associe, par exemple, le manque d’aires de jeux et la criminalité. Les perceptions de la mère joueraient donc un rôle prédominant, et leur peur ne serait pas complètement rationnelle.

Catégories
Uncategorized

Le sexisme viendrait de maman

Il existe certainement un lien intergénérationnel quant au sexisme, selon des chercheurs de l’Université du Pays Basque (Espagne). De plus, selon leur étude parue dans Psicothema, la transmission des stéréotypes sexistes se ferait surtout par la mère.

En effet, après avoir analysé les différentes relations au sein de la famille (mère-fille, mère-fils, père-fille et père-fils) de 1455 enfants et leurs parents, on a remarqué que la mère avait une grande influence quant au sexisme.

Elle transmettrait fortement ses idées préconçues à son fils comme à sa fille. Parallèlement, on a remarqué une forte influence du père quant à son fils. Les chercheurs soulignent un paradoxe, car si les femmes sont les plus importantes victimes du sexisme, il appert qu’elles sont celles qui donnent surtout l’exemple sur ce point.

Toutefois, certains facteurs pourraient expliquer ce phénomène. Parmi eux, on retrouve les tâches ménagères demandées par la mère, le temps passé avec chacun des parents et le rôle maternel dans la transmission des valeurs en général.