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Le travail de maman ne nuit pas

L’Université Laval vient de présenter une étude remettant en question la pensée selon laquelle une femme devrait y repenser à deux fois avant de retourner travailler après avoir eu des enfants.

Il semble que l’activité professionnelle de maman aurait une influence sur sa progéniture, et ce, d’une manière très positive. En effet, plus une femme serait impliquée dans son travail, plus son enfant serait enclin à connaître la réussite scolaire.

Toutefois, certains aspects du travail peuvent avoir des répercussions moins heureuses. Parmi ceux-ci, on retrouve les horaires atypiques, les promotions et les changements d’orientation de carrière. Le temps accordé aux enfants en serait ainsi diminué.

Malgré tout, les emplois des parents peuvent avoir un impact quant à la scolarité de leurs enfants. Une corrélation a été remarquée : les enfants qui réussissent moins bien à l’école auraient plus tendance à avoir un parent épuisé par son travail.

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Belles dents pour maman, belles dents pour bébé!

On lit sur Medscape les résultats d’une étude ayant porté sur l’influence que peut avoir la santé dentaire de la mère sur celle de son enfant et sur différents aspects de la qualité de vie s’y rattachant.

L’étude regroupait 827 participants âgés de 32 ans; les mères de certains avaient été questionnées quant à leurs habitudes bucco-dentaires lorsque leur enfant avait 5 ans.

Il s’est avéré que lorsqu’il y avait des effets quant à la santé dentaire de la mère, ceux-ci se projetaient jusqu’à près de 30 ans plus tard, pour son enfant. En fait, les participants dont la mère n’avait pas de bonnes habitudes avaient une moins bonne qualité de vie en lien avec leur santé bucco-dentaire.

En général, la santé dentaire de la mère et les habitudes y étant reliées semblent avoir une influence sur celles de l’enfant. Une intervention en bas âge s’annonce donc nécessaire, même si dans certains cas, on croit que ce serait trop peu, trop tard.

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Le pouvoir d’une bonne maman

On lit dans Psychological Science que si un enfant grandit dans la pauvreté, ce qui peut le confronter à plus de problèmes de santé, il peut toutefois éviter le pire en ayant une bonne maman.

Ayant suivi plus de 1 000 adultes, les chercheurs ont remarqué que certains de ceux qui avaient grandi au sein d’un milieu précaire étaient en parfaite santé, ce qui ne représente pas la norme.

Rappelons que plusieurs études précédentes ont démontré le lien entre la pauvreté et un moins bon état de santé. En effet, les enfants désavantagés qui vivent du stress voient leur développement physiologique atteint, ce qui les rend plus vulnérables aux maladies.

La présente étude a donc établi une corrélation entre la mobilité et les soins parentaux, d’une part, et le syndrome métabolique à un âge plus avancé, d’autre part.

Il semble donc que la résilience aux maladies de certains enfants défavorisés peut être amenée par la constante attention de leur mère à leur bien-être émotionnel. Démontrer de l’affection à son enfant peut donc avoir un effet bénéfique sur sa santé présente et future.

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Le tire-lait pour aider les prématurés

Bien que son usage soit parfois pénible, le tire-lait comporte de nombreux avantages et peut même bonifier l’allaitement. C’est ce que soutient une étude parue dans le Journal of Perinatology et ayant porté sur son impact auprès des bébés prématurés.

Après avoir suivi des mères ayant accouché prématurément, on a remarqué que celles qui avaient employé un tire-lait durant les deux premières semaines de vie de leur bébé avaient vu leur production de lait maternel augmenter substantiellement.

On parle ici d’une augmentation de 75 % de la quantité produite de lait maternel, ce qui constitue une différence majeure. La raison en est que le tire-lait reproduit la succion faite par le poupon né à terme.

Cette succion répétée durant les premiers jours de vie du bébé a un effet sur la prolactine, laquelle est l’hormone justement responsable de la production du lait maternel. Ainsi, la maman sera en mesure de produire la quantité de lait nécessaire, même si son bébé prématuré n’est pas encore prêt pour créer cet effet d’entraînement.

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Neuf cents kilos par jour pour maman

Rester à la maison pour s’occuper de son enfant ne serait vraiment pas sans risques. Une récente étude menée par une compagnie d’assurances a démontré qu’une mère au foyer devait soulever en moyenne 900 kilos par jour.

Comme nous pouvons le lire sur Bischolar.com, c’est en tenant compte de toutes les réalités quotidiennes (repas, siestes, etc.) que l’on a pu évaluer le poids soulevé quotidien des mamans à la maison.

Le poids moyen du bébé à soulever était de 10 kilos; il s’agissait d’un bébé de 9 mois, et maman se retrouvait à le soulever 90 fois par jour. N’oublions pas que bébé grandit continuellement, alors son poids augmente au fur et à mesure.

Une mère au foyer se retrouve donc à devoir soulever un poids de plus en plus important, et ce, tout en étant fatiguée. Et si l’on parle souvent de ce manque de sommeil si commun chez les mamans, on oublie souvent l’activité physique qu’elle doit déployer en s’occupant de bébé.

On assiste donc à une prolifération des maux de dos et d’épaule chez les nouvelles mères, car ces dernières se retrouvent souvent à faire de l’activité physique plus exigeante que ce qu’elles avaient connu auparavant. Il est donc suggéré que les femmes suivent un programme d’exercices ciblé dès le moment de la grossesse.

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Maman ours, bébé ours

Une récente étude parue dans Psychological Science nous apprend qu’une femme qui allaite aura plus tendance à avoir un réflexe de défense que l’on appelle « l’effet maman ours ». Autrement dit, elle serait plus portée à défendre son bébé avec un instinct de vengeance.

Des caractéristiques physiques accompagnent cet état d’agressivité : les femmes présentent alors une pression sanguine plus basse. On pense donc que l’allaitement peut aider à diminuer la réponse corporelle à la peur et à donner le courage nécessaire à la défense.

Les chercheurs soulignent toutefois que les femmes qui allaitent ne seront pas pour autant portées à se battre ou à causer du tort à leur enfant. Elles auront plutôt tendance à se défendre, elles et leur bébé, d’une manière agressive. Il s’agit d’un réflexe qui est fortement remarqué chez les mammifères.

Pour tirer ces conclusions, on a fait passer des tests de réaction (sur ordinateur) à 55 femmes. Ces dernières étaient divisées en 3 groupes : 18 allaitaient, 17 nourrissaient leur enfant avec du lait maternisé et 20 n’étaient pas mères.

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Un nouveau salon pour les mamans

La fin de semaine du 10 et 11 septembre, les nouvelles et futures mamans sont attendues, de même que les papas, au Salon photo poupon-bedaine. L’événement se tiendra au Collège Letendre à Laval, de 9 h à 17 h.

Comme on s’en doute, des sessions photo professionnelles y seront offertes gratuitement aux femmes enceintes et à celles qui ont un bébé de moins de huit mois.

De plus, elles pourront recueillir une foule de renseignements sur la maternité lors des conférences prévues à l’horaire et en visitant les nombreux exposants du salon.

Présenté par Bio-K+, le Salon photo poupon-bedaine vise à collecter des fonds pour la Fondation OLO et Nourri-Source Laval. La porte-parole est la nouvelle et très heureuse nouvelle maman, Marie Plourde.

Pour en savoir plus sur cet événement et pour se procurer des billets en ligne, on visite le www.pouponbedaine.com.

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L’incroyable amour de maman

Un bébé qui a un tempérament difficile répondra mieux à des personnes extérieures à sa famille et à de nouvelles situations s’il a un attachement réel à sa mère. Il semble que l’amour de maman vienne même à bout des enfants plus irritables, apprend-on dans Child Development.

C’est ce qu’on a conclu après avoir suivi 84 bébés, de leur naissance à leurs 2 ans. On reconnaît les premiers signes de l’irritabilité dès l’âge d’un mois, et ils étaient définis par une série de tests sur les réactions des enfants.

Quant à leur attachement à leur mère, il a été évalué lorsqu’ils ont eu 12 mois. Afin de l’établir, on a observé le comportement de chaque enfant avec sa maman. Finalement, de 18 à 24 mois, les enfants ont été exposés à des adultes inconnus et à de nouveaux jouets.

Il en est donc ressorti que les enfants qui étaient les plus irritables à la naissance devenaient les plus sociables s’ils avaient un sincère attachement à leur maman.

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Un nouveau salon pour les mamans

La fin de semaine du 10 et 11 septembre, les nouvelles et futures mamans sont attendues, de même que les papas, au Salon photo poupon-bedaine. L’événement se tiendra au Collège Letendre à Laval, de 9 h à 17 h.

Comme on s’en doute, des sessions photo professionnelles y seront offertes gratuitement aux femmes enceintes et à celles qui ont un bébé de moins de huit mois.

De plus, elles pourront recueillir une foule de renseignements sur la maternité lors des conférences prévues à l’horaire et en visitant les nombreux exposants du salon.

Présenté par Bio-K+, le Salon photo poupon-bedaine vise à collecter des fonds pour la Fondation OLO et Nourri-Source Laval. La porte-parole est la nouvelle et très heureuse nouvelle maman, Marie Plourde.

Pour en savoir plus sur cet événement et pour se procurer des billets en ligne, on visite le www.pouponbedaine.com.

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Maman en surpoids : impacts sur le foie

On lit dans Pediatric Research que les effets de l’embonpoint sont nombreux chez l’enfant. Des chercheurs ont découvert une autre influence de l’indice de masse corporelle (IMC) de la future maman.

C’est qu’un IMC élevé durant la grossesse aurait des répercussions encore plus importantes que l’on croyait jusqu’ici. Ainsi, un bébé né d’une mère en surpoids sera non seulement plus gros et aura plus de gras dans la région de l’abdomen, il aura aussi une plus grande quantité de gras dans son foie.

De plus, même si l’indice de masse corporelle de la mère demeure dans les normales, il peut tout de même influencer la quantité de gras que le bébé accusera à sa naissance. On soutient aussi que ce lien pourrait exposer l’enfant à de plus grands risques de problèmes métaboliques.

Cette étude a porté sur 105 nouveaux nés dont on a déterminé l’indice de masse corporelle. L’IMC de leur mère avait été évalué avant leur naissance.