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Risque élevé de cancer chez les mamans afro-américaines

Selon une étude effectuée auprès de 59 000 Afro-américaines, menée depuis 1995, les risques de cancer sont particulièrement élevés chez ces femmes lorsqu’elles n’allaitent pas.

Précisément, comme l’explique La Presse, cette population de femmes est 50 % plus exposée à un cancer du sein (celui dit « de récepteurs hormonaux négatifs aux oestrogènes et à la progestérone ») si elle a 2 enfants ou plus et qu’elle n’allaite pas.

Sur toute la cohorte, 318 femmes ont développé ce type de cancer du sein, alors qu’une tumeur cancéreuse avec ces mêmes récepteurs et hormones a été diagnostiquée chez 457 d’entre elles.

Une augmentation de 50 % de prévalence a été remarquée chez les femmes qui avaient accouché de 2 bébés ou plus, sauf pour celles qui avaient choisi l’allaitement.

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Une grossesse pour papa

Le futur papa pourrait enfin comprendre ce que traverse sa conjointe en attendant la venue de bébé. Une veste bien particulière, la Mummy Tummy Jacket, pourrait offrir cette chance aux hommes.

Mise au point par des chercheurs japonais, elle consiste en une poche d’eau ventrale recréant la prise de poids liée à la grossesse. De plus, elle comprend des seins qui se remplissent de lait, nous apprend Daily Mail.

Le futur papa vivrait aussi l’expérience des coups de pied du bébé grâce à des actionneurs intelligents. Le tout s’arrête quand on caresse le faux ventre comme le ferait la future maman.

On ne sait pas encore si cette invention sera un jour commercialisée, mais la réponse a été très positive : 80 % des mères à qui l’on a demandé l’avis en ont été satisfaites.

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Des mamans prédestinées aux jumeaux

Une étude parue dernièrement dans Biology Letters amènera certainement de nombreuses discussions. On y apprend qu’une femme qui a des jumeaux porte un enfant plus lourd lorsqu’elle a une grossesse unique.

Précisément, en comparant des données de naissances datant de 1889 en Angleterre et d’autres datant de 1978 et 2009 en Gambie, ont a remarqué qu’une mère de jumeaux avait de plus gros bébés.
 
C’est qu’une grossesse gémellaire augmente le réseau sanguin de l’utérus. Ainsi, les fœtus suivants, même s’ils sont seuls, seront mieux nourris, si l’on peut dire. Fait surprenant, ce lien a aussi été remarqué en sens inverse.
 
En effet, un poids plus élevé a été noté chez les bébés dont la mère n’avait pas encore eu de jumeaux, mais qui allait en porter par la suite. Il est encore difficile d’expliquer pourquoi certaines femmes sont ainsi prédisposées aux grossesses multiples.
 
On penche pour l’influence de la protéine IGF-1, laquelle est en grande partie responsable des grossesses multiples chez les animaux, mais il s’agit encore d’un mystère.
 
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La routine pour un allaitement réussi

Après évaluation, on annonce dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine qu’une méthode d’intervention à domicile donne de bons résultats quant à l’allaitement. On soutient encore une fois que la pratique d’allaitement constitue un facteur prédominant quant à la prévention de l’obésité.

Basée sur la routine, la méthode en question consiste en la mise en place de périodes d’allaitement réglées. On encourage aussi la mère qui allaite à placer son enfant dans la bonne position, ce qui engendre la décontraction des muscles du cou et du dos de l’enfant, entre autres.
 
On voulait vérifier si une telle intervention pourrait améliorer les pratiques d’allaitement du bébé jusqu’à son premier anniversaire. Au total, 667 mères et leur premier bébé ont été suivis.
 
Ceux qui avaient reçu des visites à domicile dans le cadre de l’intervention ont affiché une durée de l’allaitement beaucoup plus longue que les autres, après 12 mois. Les aliments solides avaient aussi été intégrés bien plus tard dans ce même groupe.
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La routine pour un allaitement réussi

Après évaluation, on annonce dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine qu’une méthode d’intervention à domicile donne de bons résultats quant à l’allaitement. On soutient encore une fois que la pratique d’allaitement constitue un facteur prédominant quant à la prévention de l’obésité.

Basée sur la routine, la méthode en question consiste en la mise en place de périodes d’allaitement réglées. On encourage aussi la mère qui allaite à placer son enfant dans la bonne position, ce qui engendre la décontraction des muscles du cou et du dos de l’enfant, entre autres.
 
On voulait vérifier si une telle intervention pourrait améliorer les pratiques d’allaitement du bébé jusqu’à son premier anniversaire. Au total, 667 mères et leur premier bébé ont été suivis.
 
Ceux qui avaient reçu des visites à domicile dans le cadre de l’intervention ont affiché une durée de l’allaitement beaucoup plus longue que les autres, après 12 mois. Les aliments solides avaient aussi été intégrés bien plus tard dans ce même groupe.
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Si vous mangez des cornichons à la crème glacée…

Ce serait maintenant confirmé : ce que l’on mange durant la grossesse influe sur les goûts du futur bébé. C’est ce qu’avancent des chercheurs du Monell Chemical Senses Center, nous apprend Medical News Today.

Les goûts futurs du bébé se décideraient dans le ventre de la mère, car le liquide amniotique contiendrait les saveurs de ce que cette dernière mange. Cela formerait les souvenirs de ces mêmes saveurs avant la naissance.
 
Ainsi, l’enfant aurait certaines préférences alimentaires durant toute sa vie. Le même phénomène se produirait quant au lait maternel.
De plus, une protéine, la Serca3, jouerait un rôle particulier quant à la reconnaissance d’une saveur amère. Cela expliquerait pourquoi certaines personnes y sont plus sensibles que d’autres.
 
L’exposition avant la naissance à certaines saveurs et leur renforcement par la suite ferait en sorte qu’un enfant en vienne à les apprécier ou non.
 
L’alimentation de la mère durant la grossesse aurait donc des répercussions multiples sur l’enfant à naître.
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Autobus scolaire : la prudence est de mise!

Prévoyant la rentrée scolaire, tout parent devrait prendre le temps de parler de la sécurité entourant le transport scolaire avec son enfant. On lit quelques conseils sur le sujet sur Medical News Today.
 
D’abord, on attend l’autobus scolaire avec un peu de sérieux. On ne s’excite pas. Il faut aussi s’organiser pour être à l’arrêt d’autobus au moins cinq minutes avant l’arrivée prévue du véhicule; on n’aura pas à courir pour l’attraper.
 
Une fois dans l’autobus, on demeure assis. Il ne faut jamais sortir sa tête ni ses bras à l’extérieur, et on laisse l’allée libre. On tâche aussi de ne pas déranger le conducteur pour rien.
 
Lorsqu’on sort, on fait une seule file, et dans le calme. Si l’on échappe quelque chose, et ce, aussi lors de son entrée dans le véhicule, on avise tout de suite le chauffeur.
 
Mentionnons finalement que l’enfant doit respecter une distance d’environ 10 pieds en passant devant l’autobus scolaire, car il s’agit d’un angle mort pour le chauffeur. Ici, toutefois, cette zone dangereuse a été réduite par la pose d’une barre de sécurité sur certains autobus scolaires.
 
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Piqûre de guêpe : que fera maman?

On lit sur DailyMark que selon les résultats d’un sondage, les trois quarts des mamans ne savent pas quoi faire en cas de choc anaphylactique. Environ 500 mères ont été questionnées sur ce sujet.

Si leur enfant avait une réaction allergique sévère à une piqûre d’abeille, 76 % d’entre elles ne pourraient pas la traiter et 66 % s’inquiètent pourtant des guêpes durant la saison chaude. 82 % évitent donc consciemment les lieux où il se trouve beaucoup d’insectes.

Pourtant, dans un tel cas, les règles à suivre sont plutôt simples. Première chose, on appelle à l’aide : on compose le 911. Surtout, on reste calme et on encourage l’enfant à faire de même.

Ensuite, en attendant l’ambulance, on fait étendre le petit sur le dos, les pieds relevés. De cette façon, le flux sanguin est dirigé vers la tête et le cœur. Si jamais l’enfant vomit, on le tourne simplement sur le côté, puis on le remet en position initiale jusqu’à l’arrivée des secours médicaux.

Dans la dernière année, on aurait enregistré une hausse de 13 % quant aux demandes d’aide reliées aux piqûres de guêpes. On appelle malgré tout au calme et on demande aux parents de relativiser les choses.

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Tirer son lait à la main

Selon l’avis d’experts, comme nous l’apprenons dans Archives of Disease in Childhood, il faudrait employer une méthode naturelle plutôt qu’un tire-lait durant les premiers jours après l’accouchement.

Ainsi, il serait préférable de faire une pression avec la main plutôt que d’employer le tire-lait classique, en particulier pour un nouveau-né qui présente un réflexe de succion plus faible.

De plus, d’une méthode à l’autre, aucune différence n’existerait quant à la quantité de lait tiré, au degré de douleur ou à la confiance en l’allaitement de la maman.

Ce sont là les conclusions de chercheurs ayant suivi 68 mères et leur bébé. Les enfants avaient des difficultés à boire et demeuraient sans réflexe de succion ou en présentait un faible durant les 12 à 36 premières heures après la naissance.

Par la suite, un suivi a été fait sur l’allaitement lorsque les bébés ont eu une semaine, un mois, puis deux mois.

Après 2 mois, le taux d’allaitement était plus élevé chez les mamans qui avaient pressé leur lait à la main (97 %) que chez celles qui avaient utilisé un tire-lait (73 %).

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Des formations pour éviter la mort infantile

Afin de répondre aux besoins de formation quant aux morts liées à l’accouchement, une entreprise norvégienne, Laerdal Medical, propose deux ensembles pratiques.

Selon Destination Santé, le but est surtout de répondre à la demande de formation et de savoir-faire des pays en voie de développement.

Moins chers que tous les autres ensembles du genre, Neonatalie et Mamanatalie sont destinés respectivement au nouveau-né et à la maman. Ces ensembles seront distribués par le système d’approvisionnement des Nations Unies de Copenhague au Danemark.

On peut, grâce à ces ensembles, apprendre en pratique quels sont les premiers soins à prodiguer à la mère et à son enfant lors de complications de naissance.

Les décès lors d’un accouchement demeurent une situation grave et réelle. Chaque année, à travers le monde, on compte 2 millions de morts infantiles et 350 000 mamans décédées lors de la mise au monde.