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Les mamans n’ont plus à culpabiliser pour le travail

Souvent, pour joindre les deux bouts, les deux membres d’un couple doivent travailler. Certaines mamans pouvaient ressentir une certaine forme de culpabilité à devoir retourner au boulot et ainsi quitter leur bébé.

Une nouvelle étude britannique réalisée par le Economic and Social Research Council (ESRC) démontre que les enfants qui ne passent pas le plus clair de leur temps avec leur maman n’ont pas d’effet négatif significatif par rapport à ceux qui ont leur maman à la maison.

Les résultats de la recherche prouvent que les enfants qui doivent partager leur maman avec un travail ne souffrent pas de problème de développement émotif durant les premières années de leur vie.

Au contraire, l’étude démontre que si les revenus familiaux ne sont plus au rendez-vous parce que la mère doit rester à la maison, cela a plus d’impact. Cette observation semble d’ailleurs affecter plus les petites filles que les petits garçons.

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De nouvelles statistiques alarmantes pour les futures mamans fumeuses

Le Daily Mail rapporte les récents résultats d’une étude menée à partir de 172 documents de recherche publiés dans les 50 dernières années.
 
Une fois de plus, les scientifiques se sont penchés sur les effets néfastes du tabac sur les nouveau-nés. Les documents analysés comprenaient un total de 174 000 cas de malformations de toutes sortes, qui ont été comparés, puis compilés selon différents facteurs.

Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.

D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.

Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.

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Avis contraires sur l’alimentation de maman

De façon générale, en regard aux dernières découvertes, on s’entend pour dire qu’une pauvre alimentation durant la grossesse augmente les risques pour le bébé de naître avec un faible poids de naissance. Des dangers pour sa santé future ont aussi été reconnus, dont des problèmes cardiaques.

Or, une toute nouvelle recherche, menée par la London School of Hygiene and Tropical Medicine, avance que la prise de suppléments alimentaires durant la grossesse n’offre pas une telle protection, une fois que l’enfant a atteint l’adolescence.

Ayant porté sur 1 300 enfants de 11 à 17 ans de la Gambie, en Afrique, l’étude consistait à évaluer certains des premiers risques de diabète et de maladies cardiaques. Pour la moitié d’entre eux, la mère avait pris des suppléments alimentaires équivalant à 1000 calories par jour, et ce, à partir de la 20e semaine de grossesse.

On n’a pu prouver une différence entre ce groupe et le deuxième, qui jouait ici le rôle de témoin, quant à leur indice de masse corporelle, leur pression sanguine, leur taux de cholestérol ou leur taux d’insuline.

De plus, la prise de calcium durant la grossesse n’a pas non plus eu d’impact sur la pression sanguine des enfants, une fois qu’ils ont eu de 5 à 10 ans.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Autre répercussion de la dépression maternelle

On s’inquiète des répercussions possibles sur la santé de l’enfant si sa mère vit une dépression durant sa grossesse. Un nouveau risque en découlant vient d’être annoncé : la prépondérance des problèmes respiratoires.

Une dépression maternelle et des états comme l’anxiété et le stress augmenteraient les risques d’asthme chez l’enfant. Selon des résultats parus dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology, ce lien serait très fort.

En effet, dans le cadre de cette recherche, 70 % des femmes ayant vécu d’importants symptômes dépressifs durant leur grossesse avaient aussi remarqué que leur enfant, une fois l’âge de 5 ans atteint, avait une respiration difficile ou râlante.

Par cette corrélation, on soutient aussi l’idée selon laquelle les risques d’asthme sont très élevés durant la période prénatale.

Cette étude a porté sur 279 femmes (et conséquemment leurs enfants) et s’est étendue sur quelques années, soit avant, pendant et après leur grossesse.

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Futures mamans, pourquoi avez-vous des haut-le-coeur?

Notre corps nous réserve de nombreuses surprises durant une grossesse. Parmi celles-ci, on retient la sensibilité à certaines odeurs. Selon ce que nous explique Howstuffworks, les haut-le-cœur dus aux œufs cuits ou au fromage auraient des fondements hormonaux.

La raison de cette extrême sensibilité serait en effet la hausse de l’estrogène chez la femme enceinte. Différentes études sur le sujet convergent vers cette conclusion.

Aussi, la plus grande sensibilité aux odeurs serait la cause des nausées matinales, de même que les choix alimentaires plus difficiles de la future maman. Le corps humain serait ainsi fait, peut-être en vue de protéger le fœtus de certaines substances chimiques et de toxines.

Cela survient en début de grossesse, au moment où le corps de la femme s’adapte à ses nouvelles transformations. N’oublions pas, malgré tout, que ce ne sont pas toutes les femmes qui vivent cette sensibilité.

Pour celles chez qui cela survient, on a déjà tenté de découvrir quels étaient les aliments coupables. Ceux qui reviendraient le plus souvent sont les produits laitiers, le café, la viande et certains plats épicés.

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La sclérose en plaques n’affecte pas la grossesse

Il vient d’être prouvé qu’un enfant né d’une mère souffrant de la sclérose en plaques n’est pas exposé à de plus grands risques pour sa santé, et ce, que ce soit durant la grossesse ou lors de l’accouchement.

Des chercheurs du Canada ont en effet pu démontrer que les bébés nés d’une maman atteinte n’avaient pas un poids de naissance nécessairement plus faible et ne vivaient pas plus de problèmes de santé que les autres. Aucun lien n’a pu être établi non plus quant à l’accouchement par voie naturelle ou par césarienne.

Une très mince différence a toutefois été remarquée chez les femmes plus sévèrement malades quant à des difficultés lors de l’accouchement, mais celle-ci n’était pas suffisamment étoffée pour que l’on porte une conclusion sur ce point.

D’ailleurs, ni l’âge auquel la maladie atteint la future maman ni sa durée n’ont pu être reliés à un quelconque problème natal, comme l’expliquent les Annals of Neurology.

Ces observations sont basées sur des données périnatales de la Colombie-Britannique datant de 1998 à 2009. Parmi ces naissances, on a relevé 432 femmes ayant la sclérose en plaques, contre 2 975 femmes non atteintes.

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Quand la fessée devient quotidienne

Donner la fessée ou une claque à notre enfant peut être si subtil, ou encore trop ancré dans notre quotidien, que nous ne nous en rendons même plus compte. C’est ce que vient de soulever une expérimentation de la Southern Methodist University de Dallas.

Réalisée auprès de 37 familles, elle consistait en ce que la mère enregistre volontairement ses interactions avec ses enfants durant la soirée, et ce, pour 6 jours. Les résultats présentés sur le site SMU Research en surprendront plus d’une.

Les enregistrements comprenaient au final de 12 à 36 heures de matériel par mère et l’on y comptait des moments du quotidien familial, tels la préparation du souper ou le bain des enfants.

Bien que les mamans ne soient pas à proprement parler violentes, elles auraient souvent recours aux punitions corporelles, selon les observations. Par exemple, on a relevé 11 fessées données à un enfant de 3 ans qui se chamaillait sans cesse avec sa sœur.

Cette recherche unique en son genre a permis de mieux comprendre l’escalade des événements qui mène à la claque ou à la fessée, ce qui pourra sûrement relativiser le débat sur les punitions corporelles que nous connaissons.

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Le pire moment de la journée!

Une intéressante étude ayant porté sur 2 000 mères du Royaume-Uni nous révèle les pires moments de la journée pour une mère de famille. Les résultats de cette recherche menée par Betterbathrooms ont été présentés dans le Telegraph.

L’heure la plus stressante est 17 h 55, ce qui correspond au moment de la préparation du repas du soir. Il semble que la conciliation travail-famille comprenne certaines plages horaires assez intenses pour les mamans.

De plus, la moitié des mères ont ajouté que leurs enfants refusent de manger, une fois le repas servi. Elles trouvent aussi difficile de varier les plats chaque jour.

La seconde position du moment le plus stressant est 7 h 15, qui est aussi l’heure, pour plusieurs familles, du bain des tout-petits. Vient ensuite le moment de dormir, soit 20 h 45. Plusieurs mères seront soulagées d’apprendre qu’elles ne sont pas les seules à avoir de la difficulté à endormir leurs rejetons.

Les mères ayant participé à ce sondage ont finalement avoué que s’occuper de leur famille est plus stressant et demandant que leur emploi.

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Du soutien pour l’enfant ayant une mère dépressive

Si les jeunes enfants de mères dépressives semblent accuser plus de problèmes de comportement que les autres en grandissant, on pourrait minimiser les dégâts en leur offrant du soutien.

C’est ce que suggère une étude de l’Université d’Adélaïde, en Australie, parue dans Pediatrics. Précisément, les enfants de deux ans dont la mère est dépressive, mais qui passent au moins une demi-journée par semaine avec un autre adulte, vivraient moins de problèmes comportementaux plus tard.
 
Quatre heures hebdomadaires passées avec une gardienne ou un membre de la famille, ou passées dans un service de garde, suffisent à réduire manifestement lesdits problèmes.
 
Ces résultats proviennent d’une étude longitudinale ayant débuté en 1998. 557 femmes et leur enfant ont été suivis, et ce, à partir de la grossesse jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans. Au final, les données portant sur 438 femmes et leur enfant étaient accessibles aux fins de la recherche.
 
Les cas de dépression étaient évalués à deux moments, soit lorsque le bébé a eu deux ans, puis trois ans et demi. Parmi les 438 mères retenues, 303 ne souffraient pas de la dépression, tandis que 88 d’entre elles en vivaient des périodes et que 47 en étaient atteintes de manière constante.

Ajoutons, en contrepartie, que des problèmes de comportements étaient plus courants chez les enfants de cinq ans dont la maman souffrait d’une dépression continue.

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Papa n’a pas toujours raison

Une recherche américaine parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior nous indique que le père aurait finalement un impact plus grand que la mère quant aux risques d’obésité de leur progéniture.

Conséquemment, un papa qui fréquente couramment des chaînes de restauration rapide aura plus souvent des enfants qui suivent cette même habitude.
 
Durant 15 mois, on a observé les choix alimentaires de parents ainsi que leur façon de passer du temps avec leurs enfants. Des études précédentes avaient déjà établi un lien entre la consommation de mets préparé en restauration rapide et l’obésité infantile.

Ce que l’on remarque de nouveau, dans ce cas-ci, c’est que le choix de restaurant serait lié à l’obésité. Il y a fort à parier que des discussions naîtront au sein des familles lorsque papa décidera du lieu de sortie pour sa journée bien à lui…