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Maman fait-elle vraiment tout?

On pourrait croire que la vie d’aujourd’hui a changé les rôles de la mère et du père au sein de la famille. Si c’est parfois le cas, il semble que cela constitue encore une exception, selon 20 Minutes.

En effet, selon des observations notées après l’analyse de deux études de l’Ined (Institut national d’études démographiques, en France) menées en 2005 et 2008, peu de changements se sont faits dans les familles ayant un ou des enfants de moins de 14 ans.
 
Les mères sont encore majoritairement responsables de l’éducation des enfants. Elles s’occupent des tâches directement reliées à eux, comme les aider à faire leurs devoirs et les habiller. Quant aux pères, ils s’occupent de leurs enfants, mais sont encore relégués aux loisirs, à les endormir et à les reconduire à l’école.

La venue d’un enfant ne ferait pas nécessairement en sorte que le père participe dans la famille. Au contraire, il serait parfois plus porté à être mis en retrait du fonctionnement de la vie quotidienne et de l’éducation des enfants.

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Les futurs papas ont des questions particulières

Un service de santé anglais a mené une étude sur la préparation des parents quant à la venue de leur enfant. Un rapport de recommandations a même été produit, selon ce que rapporte The Telegraph.

Si la future maman voit le jour de l’accouchement comme une journée remplie d’émotions, son conjoint se préoccuperait plus de détails pratiques, comme trouver une place de stationnement une fois à l’hôpital et où se procurer du thé.
 
Le guide en question suggère donc que la visite habituelle de la salle d’accouchement soit proposée en soirée ou les week-ends afin que le père puisse s’y rendre seul. Des conseils médicaux et sur la vie de famille en fonction des différences culturelles devraient alors être offerts.
 
Puisqu’il appert que le papa développera sa relation avec son enfant à partir de six mois, il devrait mieux comprendre les émotions entourant la naissance.

En somme, selon le rapport, les parents devraient en général recevoir plus de soutien émotif quant à la venue de leur enfant.

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La dépression de maman est un facteur de stress

Selon Psychological Science, un tout-petit peut ressentir beaucoup de stress par rapport au comportement et à l’état de santé de ses parents, et ce, lorsqu’il est à peine âgé de trois ans.

Une étude parue dans cette revue scientifique a en effet démontré qu’une hormone de stress était fortement présente dans la salive d’enfants de cet âge.
 
Les jeunes participants qui étaient confrontés à des situations stressantes, même si elles étaient inoffensives, accusaient ainsi de hauts taux de cortisol.
 
On prenait cette mesure tout de suite après avoir provoqué un événement causant un certain stress aux enfants. Les chercheurs ont donc conclu que déjà à trois ans, les enfants étaient stressés par un parent dépressif qui les entourait d’émotions négatives.
 
Les réponses les plus fortes ont été observées avec la maman, lorsque celle des enfants avait un historique de dépression ou qu’elle démontrait de l’agressivité en jouant avec eux.
 
Toutefois, on note qu’il n’y avait pas suffisamment d’hommes dans le cadre de cette recherche pour détailler comment ils interagissent avec leur enfant. La dépression était aussi moins présente dans ce groupe.

Malgré tout, cette étude expose l’un des effets que la dépression d’un parent peut entraîner sur l’enfant.

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Les pleurs de bébé pour une maman dépressive

Selon PsychCentral, une mère dépressive ne présentera pas la même réponse cérébrale qu’une femme en parfaite santé, alors que cette dernière sera plus poussée à aller chercher son enfant qui pleure en réponse à l’activité de son cerveau.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Oregon après avoir suivi 22 femmes. Les participantes étaient mères pour la première fois et leur bébé était âgé de 18 mois. Elles ont été divisées en deux groupes, selon si elles avaient un historique de dépression ou non.
 
À l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique, on a remarqué une différence de l’activité cérébrale en fonction du degré de dépression. Toutefois, les femmes dépressives ne présentaient pas une réponse négative. Elles démontraient plutôt moins de réponse cérébrale que les autres dans la même situation.
 
Les mères en bonne santé étaient en mesure de répondre d’une manière positive lorsque l’enfant pleurait. Celles qui étaient dépressives avaient des lacunes quant à cette réaction.

Pourtant, la réponse de la mère aux pleurs de bébé est très importante dans le développement de celui-ci. Un réel lien existe entre le comportement et les réponses physiologiques.

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Internet aide maman et bébé à dormir

Selon le journal SLEEP, on pourrait bientôt se fier à Internet pour endormir notre bébé en pleurs. Un nouveau programme web a fait ses preuves : il a réduit de 50 % les éveils nocturnes ainsi que leur durée.

Offrant un soutien personnalisé, ledit programme a été en essai durant 3 semaines auprès de 264 mères ayant un enfant âgé de 6 à 36 mois. On a pu constater une réelle amélioration du sommeil.
 
Ainsi, dans le groupe d’essai, les enfants s’endormaient plus rapidement et leur temps de sommeil complet par nuit a été plus long. En fait, la période la plus longue de sommeil continu avait augmenté de plus de deux heures.
 
Ces améliorations en ont entraîné d’autres. On a en effet remarqué des effets sur l’état général de la maman. Elle dormait mieux, était de meilleure humeur et avait plus confiance en elle.

Finalement, les mères du groupe d’essai vivaient moins de tension, de dépression, de confusion et, bien sûr, de fatigue. Tous ces changements se sont faits si rapidement et efficacement qu’ils ont même surpris les chercheurs.

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Futures mamans, toutes aux haltères!

Des chercheurs de l’Université de Géorgie ont voulu connaître les vrais effets de l’haltérophilie durant la grossesse. Pour ce faire, ils ont suivi 32 femmes durant 12 semaines.

Durant l’étude, ils ont analysé la progression des performances ainsi que la pression artérielle des participantes. Au bout de 618 séances d’entraînement, les femmes ne présentaient aucune lésion musculo-squelettique.
 
Au contraire, il en est ressorti que la pratique de ce sport peut avoir des conséquences très positives. Il semble en effet que l’haltérophilie, lors d’un entraînement modéré, réduit les maux de dos de la femme enceinte.
 
La prudence est toutefois de mise. Rappelons que jusqu’ici, cette activité était à proscrire durant une grossesse, car elle pouvait provoquer l’accouchement, produisant une hormone pouvant entraîner le relâchement du tissu conjonctif, la relaxine.

Les résultats de cette recherche sont parus récemment dans le Journal of Physical and Health.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Dépression : l’influence de la rémission de maman

On apprend dans The American Journal of Psychiatry que durant l’année suivant le traitement pour une dépression majeure de leur mère, les enfants voient eux-mêmes leurs symptômes d’un problème psychiatrique s’estomper.

Les risques sont en effet plus élevés, pour un enfant dont l’un des parents est gravement dépressif, de vivre un désordre psychiatrique. Cette amélioration conjointe est donc des plus encourageante.
 
Il s’agit là des résultats d’une étude menée par l’Institut national de santé mentale (États-Unis) ayant porté sur 80 mères.
 
On a ainsi remarqué que si une rémission rapide avait des effets sur la mère et son enfant, dans le cas d’une rémission plus tardive, les symptômes de l’enfant disparaissent aussi, mais il a encore de la difficulté à fonctionner, à la maison et à l’école.

Finalement, lorsque la mère est en dépression pendant plus de deux ans, et ce, sans réduction de ses symptômes, l’enfant a des risques accrus d’en avoir aussi, comme des problèmes de comportement, par exemple.

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Un bébé dans la quarantaine fait vivre plus longtemps

Selon une récente étude publiée dans The Lancet, devenir maman ou avoir un autre enfant dans la quarantaine ferait vivre plus vieille. On a tiré cette conclusion après avoir remarqué que les femmes centenaires étaient plus nombreuses à avoir vécu une grossesse durant leur quarantaine que les autres.

Une femme qui tombe enceinte après 40 ans verrait donc ses chances de devenir centenaire être multipliées par 3.
 
Les chercheurs ont remarqué ce fait surprenant en comparant deux groupes, soit un comprenant des femmes centenaires et un autre incluant des femmes décédées à l’âge de 73 ans.
 
Parmi celles ayant vécu plus de 100 ans, 19 % avaient donné naissance à un enfant une fois la quarantaine atteinte. Quant aux autres, elles avaient accouché après 40 ans dans seulement 6 % des cas.

Donner la vie à un âge plus avancé pourrait donc constituer un secret de longévité.

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L’effet de la déprime sur une nouvelle maman

À l’aide d’images par résonnance magnétique, des chercheurs ont découvert que les pleurs d’un bébé provoquaient une réaction moins positive dans le cerveau des mères qui étaient déprimées que dans celui des mères qui ne l’étaient pas, rapporte HealthDay News.

L’auteure principale de cette étude, Heidemarie K. Laurent, a déclaré que contrairement à une étude précédente, « il semble que les mères déprimées ne répondent pas de manière plus négative que les mères non déprimées. Ce que nous avons observé était plus comme une lacune quant à la réponse positive ».

Cette étude, qui apparaît en ligne dans le journal Social Cognitive and Affective Neuroscience, est la première à examiner la façon dont le cerveau de mères déprimées répond aux pleurs du bébé.

Les chercheurs ont étudié le cerveau de 22 femmes en utilisant une technique d’imagerie par résonance magnétique, ce qui mesure l’activité du cerveau à travers les changements du débit sanguin. Toutes les mères ayant été observées durant l’étude avaient un enfant de 18 mois et étaient mères pour la première fois.

Laurent révèle : « Dans ce contexte, il était intéressant de voir que les mères non déprimées étaient capables de répondre au son de pleurs par un signal positif. Leur réponse était constante dans leur désir de vouloir s’approcher de leur enfant. Les mères déprimées avaient clairement un manque, du côté de cette réaction. »

Le but de cette étude est donc de démontrer que la dépression peut avoir un impact de longue durée sur les relations entre une mère et son enfant en affaiblissant la réponse du cerveau face aux signaux émotionnels d’un bébé.