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Dix-huit mois pour la confiance de maman

Il faudrait 18 mois en moyenne à une jeune maman pour retrouver sa confiance en elle et qu’elle se sente de nouveau femme, apprenons-nous sur 7sur7.

Une étude britannique vient en effet de démontrer que les mois suivant l’accouchement sont si remplis que les mères ont ainsi peu de temps pour prendre soin d’elles.

Parmi les participantes de cette recherche, pas moins des deux tiers ne se trouvaient pas attirantes après avoir accouché.

Le surplus de poids accumulé durant la grossesse semblait être l’une des préoccupations majeures des jeunes mamans.

Certaines ont même avoué se sentir en compétition avec d’autres mères ayant perdu tout ce poids plus rapidement qu’elles.

D’autre part, la solitude est aussi un problème que de nombreuses femmes de l’étude vivaient.

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Moins de bébés chez les diplômées

Plus une femme atteint un niveau d’études élevé, moins elle aurait d’enfants. C’est une corrélation à laquelle est arrivé l’Institut national d’études démographiques en France. 

La cause serait-elle qu’il est difficile de conjuguer carrière et famille? On remarque du moins que cette dernière est fondée plus tard si la femme est diplômée.

En effet, si les femmes ont leur 1er enfant en moyenne à 25 ans, ce nombre grimpe à 30 si elles font des études supérieures.

Quant au taux de fécondité, il a été de 1,8 chez les diplômées en 2008, contre 2,5 chez les autres femmes.

On a finalement remarqué que si en 2000, 34 % des enfants étaient nés d’une maman ayant fait des études supérieures, ce taux avait grimpé à 43 % en 2008.

On peut lire le détail de ces statistiques dans L’Express et le 20 minutes.

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On s’inquiéterait trop de la fièvre

Selon une étude dont les conclusions sont parues dans le Journal of the American Medical Association, une forte fièvre éblouirait les parents quant aux réels problèmes de santé de l’enfant.

Une forte fièvre devrait être considérée comme un phénomène courant et normal plutôt que la raison première d’une entrée à l’hôpital.

Il semble en effet qu’un grand nombre de parents en oublient de s’inquiéter de la déshydratation de l’enfant par exemple, tellement ils considèrent le nombre inscrit au thermomètre.

Un autre point relevé dans cette étude du Centre médical de l’Université de New York est que la posologie des médicaments pour enfants est peu claire.

Comme on sait, l’administration trop faible d’un médicament contre la fièvre n’a aucun effet, tandis qu’une trop forte dose peut devenir dangereuse.

De plus, la concentration de l’acétaminophène et de l’ibuprofène n’est jamais la même et a changé au cours des dernières années.

On rappelle donc de toujours se fier au poids de l’enfant pour doser ces médicaments et, surtout, de devenir vigilant aux autres symptômes d’une maladie.

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L’enfant épileptique et la dépression de maman

Chez les femmes apprenant un diagnostic d’épilepsie chez leur enfant de 24 mois et moins, de 30 à 38 % souffriraient ensuite de dépression.

Or, on apprend dans Epilepsia que cet état de santé de la mère affecte grandement la qualité de vie de l’enfant.

Toutefois, les répercussions dépendent de l’entourage familial et des ressources d’aide dont elle dispose.

L’apparition de la dépression est commune chez les mères apprenant que leur enfant est épileptique. Une maladie chronique ou grave représente un très haut facteur de stress chez le parent.

Ce constat provient d’un récent sondage de l’Université de l’ouest de l’Ontario réalisé auprès de 339 femmes. Ces dernières avaient toutes un enfant faisant partie de la Health-related Quality of Life of Children with Epilepsy Study (HERQULES).

L’incidence de la dépression serait donc de 30 % si le diagnostic survient à 6 mois, de 32 % à 12 mois et de 30 % à 24 mois. À la base, 38 % des mères concernées sont à risque.

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Un plus gros placenta chez les femmes stressées

Après avoir suivi 75 000 femmes enceintes, des chercheurs ont démontré que le stress augmentait la taille du placenta.

L’étude en question, dirigée par la Faculté de psychologie de Bâle, en Suisse, a été publiée dernièrement dans le magazine PloS One.

Dans le cadre de celle-ci, on a pu constater que le placenta était plus gros et plus lourd à la naissance de l’enfant chez les femmes vivant le plus grand stress.

Parmi les éléments stressants relevés, on compte ceux reliés au milieu de travail et à la vie familiale.

Il semble que ce développement accru du placenta proviendrait d’un besoin de protection du bébé. Il protégerait le fœtus des effets néfastes du stress.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que des facteurs comme la peur et la dépression n’ont aucune incidence sur la grosseur du placenta.

On ignore encore si la taille du placenta a une influence sur la santé du bébé.

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Les mères dorment moins que les pères

Une récente étude de l’Université du Michigan a démontré que les femmes se lèvent deux fois et demie plus souvent la nuit que les hommes pour s’occuper des enfants.

Parue dans Social Forces, la recherche en question a porté sur les données concernant près de 20 000 parents sur le marché du travail de 2003 à 2007.

Ainsi, parmi les familles de deux travailleurs ayant un enfant de moins d’un an, la mère a plus souvent tendance à se lever la nuit pour prendre soin du bébé. La proportion est de 32 % chez les femmes contre 11 % chez les hommes.

Une fois que l’enfant a d’un à deux ans, les chiffres changent. Ainsi, la mère a un sommeil interrompu dans 10 % des cas. Pour le père, le taux demeure bas, soit deux pour cent.

Les taux baissent une fois de plus lorsque l’enfant a de trois à cinq ans. Il semble alors que les femmes se lèvent la nuit dans une proportion de trois pour cent, contre un pour cent chez les hommes.

De plus, la différence demeure malgré le statut de chaque parent. Ainsi, dans le cas où la femme est la principale source de revenus du couple, elle se lève tout de même la nuit dans 28 % des cas. Si le père a un tel rôle, il se réveille la nuit pour s’occuper de l’enfant dans quatre pour cent des cas seulement.

Les femmes semblent donc faire face à un autre facteur influant sur l’avancée de leur carrière par rapport aux hommes.

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Les femmes crieraient trop en accouchant

Une fois sur quatre, les cris d’une femme qui accouche peuvent dépasser cent quinze décibels.

Or, un bruit de 115 décibels est au-dessus de la limite permise d’exposition professionnelle ont fait remarqué des sages-femmes d’un hôpital de Skövde, en Suède.

On peut lire dans le Dagens Sjuksköterska, un quotidien de ce pays destiné aux infirmières, que certaines de ces professionnelles suédoises se plaignent des cris des futures mamans.

La requête n’a pas été prise trop au sérieux jusqu’ici. Cette plainte quant aux conditions de travail de personnes aidant à donner la vie est des plus surprenantes.

Il semble pourtant qu’elle est fréquente et répétée. Pourtant, il serait difficile de demander à une femme de retenir ses cris pendant son accouchement.

Certains recommandent donc aux sages-femmes de se mettre des bouchons dans les oreilles afin de régler en partie ce problème.

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Vitamine D et maladies respiratoires de bébé

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une recherche américaine ayant porté sur une cohorte de 922 enfants néo-zélandais.

Les enfants dont on pouvait analyser le sang de leur cordon ombilical étaient ensuite observés à l’âge de cinq ans.

Les chercheurs ont remarqué un lien entre le faible taux de vitamine D de la femme enceinte et l’apparition de maladies respiratoires ou du râle chez son enfant.

On a évalué à 39 % le taux de risques pour les enfants dont la mère atteignait un taux minimal de vitamine D. Ce taux doublait lorsque la mère se situait encore plus bas.

Toutefois, aucun lien n’a pu être établi entre ce manque de vitamine et un plus haut risque de développement de l’asthme.

Après avoir écarté les facteurs liés au mois de naissance, c’est-à-dire la saison, on a remarqué une incidence des troubles cités chez des bébés de trois mois dont la maman avait un taux déficient de vitamine D.

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La voix de la mère stimule le cerveau de son bébé

Le langage bébé, celui que la mère utilise pour parler à son enfant, est reconnu scientifiquement.

On apprend maintenant que la voix de la mère joue un grand rôle dans l’activation de certaines parties du cerveau de l’enfant.

En effet, la voix de maman active l’hémisphère cérébral gauche de bébé, particulièrement en ce qui a trait au traitement linguistique et verbomoteur.

Or, si l’enfant entend la voix d’une autre femme, l’hémisphère cérébral droit est activé, ne touchant qu’à la reconnaissance vocale.

Cette nouvelle découverte de chercheurs de l’Université de Montréal et du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine prouve le rôle de la mère dans l’apprentissage de la parole de son enfant. Elle en est l’initiatrice.

On peut en effet lire dans le communiqué nous annonçant leurs conclusions qu’il existe bel et bien un lien entre l’acquisition prénatale du langage et les compétences motrices de la parole.

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Une jolie femme a plus de chances d’avoir une fille

Une récente étude a fait un lien entre la beauté d’une femme et le sexe de son enfant.

Le Dr Kanazawa, de L’École d’économie de Londres, a mené cette étude des plus discutable s’il en est une. Selon lui, une femme au physique attrayant a plus de chances d’avoir des filles.

Des collègues et lui-même ont tout d’abord évalué la beauté de 17 000 enfants âgés de 7 ans. Plus tard, quand les sujets avaient atteint l’âge de 45 ans, on leur a demandé le sexe de leurs enfants.

Il semble donc que les femmes à qui l’on avait attribué un physique ingrat lorsqu’elles étaient plus jeunes ont plus souvent eu des garçons.

Les personnes qui étaient considérées comme jolies lorsqu’elles étaient enfants ont quant à elles eu autant de filles que de garçons.

Après cette suite de déductions, le Dr Kanazawa a conclu que ce lien était causé par la sélection naturelle, car la beauté sert plus aux femmes qu’aux hommes.